Costumes Ruy Blas

public, quant à lui, est très différent de celui d’aujourd’hui : il s’agite, il est très vivant, il réagit beaucoup.   Costumes :​ les costumes connaissent eux aussi une évolution remarquable des suites  des bouleversements qui ont touché le théâtre romantique, à cette époque rien n’est  trop beau pour ces comédiens qui sont adulés et glorifiés.  Au debut du XIX eme, tous les costumes, aussi variés soient­ils, ont tous pour modèle  de base la mode Empire. Elle se caractérise par une taille haute, mettant en valeur la 

classiques. En 1838, VH recommence avec Ruy Blas. Pb : en quoi cette pièce est-elle la scène d’exposition d’un drame romantique ? Une scène d’exposition car on répond aux questions des spectateurs Ou et qd ? Ou :- en Espagne ------/mention de Madrid ds la didascalie initiale, v.37 Castille, nom à connotation es panique Gudiel Bazan Alcade v.16 + décor et costume indiquent que l’on est en Espagne (« palais ») qd : du temps de Philip IV :-costume

- comédie 5.2 Les différents types de comique et de comédie 6 Repères historiques 6.1 Le théâtre dans la littérature française 7 Bilan 8 Voir aussi La spécificité du théâtre[modifier] Sarah Bernhardt dans le rôle de Doña Maria dans Ruy Blas (1897).Au théâtre, il y a un intermédiaire entre le texte écrit par l’auteur et le spectateur : le comédien dit et joue le texte, il l’interprète au sens fort, guidé souvent par un metteur en scène, c’est-à-dire qu’il permet et oriente la compréhension

citer « Ruy Blas » de Victor Hugo. Définition du théâtre : - mise en scène, en effet d’après Molière « le théâtre n’est fait que pour être joué » - Présence d’un dialogue + didascalies (indications scéniques) - Il y a un jeu en direct devant des spectateurs. L’interaction crée une comédie entre deux, entre comédiens/spectateurs. Cela permet une représentation unique. Originalité du mot théâtre : Théein qui signifie voir. C’est un art visuel : c'est-à-dire un décor, costume, maquillage

qui n'ont aucune idée du costume d'un cardinal n'ont pas su le reconnaître sur le document proposé avec le sujet, et n'ont donc pu commenter sa position en retrait, derrière le nouveau duc, et pourtant centrale sur la photographie. Quant aux références à Tartuffe et à l'anticléricalisme de la fin de la Restauration et de la Monarchie de Juillet, elles leur ont tout bonnement échappé, sans parler du traître de mélodrame, qu'ils ont pourtant fréquenté l'an dernier avec Ruy Blas mais dont ils n'ont pas

attachée au bout d’une chaîne > fait obéir l’élève avec cette craie comme on ferait d’un animal avec une baguette ou une chaîne. 3 – Le corps des acteurs * Le costume, surtout sous l’ancien régime est un reflet immédiat de la catégorie sociale * Double inconstance : Arlequin joué par les comédiens italiens = habillé de son costume traditionnel multicolore > permet de l’identifier comme valet. Mais Silvia, au cours de la pièce va essayer une robe somptueuse = passage dans la classe dominante

ainsi, il peut mieux comprendre la pièce. Dans des pièces comme Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux où Sylvia et Dorante décident de prendre la place de leurs valets à l’insu de l’autre avant de décider de se marier. Il y a donc un échange de costumes et la lecture permet une meilleure compréhension parce que la distribution des rôles indiqués dans le texte permet au lecteur de s’y retrouver, alors que dans la représentation le spectateur peut ne pas comprendre qu’il y a un échange de rôles car

partition n'est pas la symphonie : elle n'en est que le support abstrait et demande à être complétée par la direction du chef d'orchestre. d) Le théâtre est en réalité un spectacle total, composé d'éléments visuels et auditifs (expressions, gestes, costumes, décor, éclairage, intoations, bruitage, musique). 2) Mais le théâtre est aussi un texte et peut être appréhendé comme tel a) Les pièces à lire : Musset (Un spectacle dans un fauteuil : La Coupe et les lèvres, A quoi rêvent les jeunes filles)

Victor HUGO, Ruy Blas, 1838, II,2 Lecture cursive Rhinocéros d'Eugène Ionesco, 1949 : le mélange des genres dans le théâtre de l'Absurde ; didascalies et problèmes de mise en scène dans le théâtre du XXe s. Documents complémentaires : Analyse d'images Diverses mises en scène de Dom Juan * Comparaison de deux mises en scène de Marcel Bluwal, et Daniel Mesguisch : -adaptation pour la télévision par Marcel BLUWAL, 1965 et captation de la pièce de Daniel MESGUISCH (étude des couleurs, costumes, décors,

84) 2) L’autre comique : L’absurde -Il met sur le même plan la médecine et la religion (l.30) en créant une sorte d’oxymore « impie-médecine » - Il se vante d’avoir tué quelqu'un et prouve l’efficacité de son remède (l.43-44) - Il croit que son costume le donne de l’intelligence (l.51) « cet habit me donne de l’esprit » - Il croit plus au Moine Bourru qu’au Ciel (l.69) « Je me ferai pendre pour celui-là » II- L’ambiguïté des personnages 1) L’ironie et le laconisme (manière de parler brièvement)