Coup d'État du 18 fructidor an V

à la peine de mort. Le roi est averti le 20 janvier 1793 de sa condamnation. Le 21 janvier 1793, le roi Louis XVI est guillotiné et tout le monde a priori est convaincu que désormais s’en est définitivement fini de la monarchie en France et que du coup la République est définitivement consolidée. Ce n’est pas comme cela que les choses vont se passer dans la mesure où les derniers royalistes dénoncent des conventionnels régicides. Cette exécution du roi va renforcer la contre-révolution, il va y avoir

royale, c'est la réunion des trois ordres du royaume par le biais de représentants : noblesse, clergé et tiers états). Le tiers états s'offusquera de ne pas être représentatif, au final, le tiers état va se réunir en assemblée nationale, il fera un coup d'état car mécontent (le 17 juin 1789 sur une motion de Seyès.). Le tiers état représentant seul la nation française et avant les pouvoirs de la nation française sans la noblesse et le clergé. C'est le premier acte de rébellion amorçant la révolution.

Convocation des états généraux (janvier) Le 8 août 1788, le marasme financier et la dégradation de la situation dans tout le pays amènent Louis XVI à convoquer les états généraux du royaume pour le 1er mai 1789. Le 27 décembre 1788, le Conseil d'État décide que le bailliage sera l'unité électorale de base, qu'il y aura au moins 1 000 députés en fonction de la population et du montant des contributions de chaque bailliage, et surtout qu'il y aura doublement de la représentation du tiers état.

Code civil on constate que le livre 1° est consacré aux personnes. A l’intérieur de ce livre ; il y a 3 blocs : Les titres I à IV qui traitent directement de la personne, l’objet de ce premier bloc est le droit de la personnalité. Puis les titres V à IX, les dispositions de ce 2° bloc ne font plus apparaître la personne isolément mais dans les rapports inter individuels, entre mari et femme, parents et enfants, c’est le droit de la famille. Enfin les titres X à XII font resurgir l’individu diminué

Napoléon Ier  « Napoléon » redirige ici. Pour les autres significations, voir Napoléon (homonymie) et Bonaparte. Napoléon Ier Napoléon dans son cabinet de travail, Jacques-Louis David, 1812 Titre Empereur des Français 18 mai 1804 – 6 avril 1814 (9 ans, 10 mois et 18 jours) Couronnement 2 décembre 1804, en la cathédrale Notre-Dame de Paris Prédécesseur lui-même, Premier Consul de la République Successeur Louis XVIII (roi de France) 20 mars 1815 – 22 juin 1815 (3 mois et 2 jours)

confirmée et complétée par le préambule de la Constitution 1946. Liberté, égalité, souveraineté populaire constituent le cœur de nos institutions. Ces valeurs révolutionnaires nouvelles ont donnée peu à peu une substance nouvelle au concept d’Etat. L’histoire institutionnelle de la France est très riche, la France est le pays de la Constitution, 15 entre 1789 et 1958, mais elle a aussi connue un plus de régime. Dans les années 1793 se met en place un gouvernement révolutionnaire

d’inaliénabilité du domaine de la couronne L’Etat est voué à durer mais au sein de la royauté cette idée n’a été prise en compte qu’à partir du 14ème siècle. Si la couronne n’avait pas un caractère patrimonial, le domaine non plus. Lors du sacre du Charles V il y a la clause selon laquelle le roi s’engage à ne pas aliéner son domaine. L’Edit de Moulin de Février 1566 a fixé de façon définitive et confirmé par l’ordonnance de Blois de 1579. b. le

RETROACTIVITE Art. 8 de la Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 : " [...] Nul ne peut être puni qu'en vertu d'un loi établie et promulguée antérieurement au dédit [...]" Art. 14 de la Déclaration des Droits et des Devoirs de l'Homme et du Citoyen du 5 fructidor de l'an III : "Aucune loi, ni criminelle, ni civile, ne peut avoir d'effet rétroactif." Art. 2 du Code Civil : “La Loi ne dispose que pour l'avenir ; elle n'a point d'effet rétroactif ” Ainsi conformément aux textes précités, une loi ne saurait régir

constitutionnelle de 1789 à 1870 – L’apparition  de  la  séparation  des  pouvoirs  en   France THÈME 4 : Histoire constitutionnelle de 1870 à 1958 – La mise en place du régime parlementaire en France THÈME 5 : La V République – Un régime parlementaire spécifique THÈME 6 : La V République - Les relations entre les pouvoirs législatif et exécutif 2 3 Exercices 1. Définissez les notions fondamentales suivantes : Droit constitutionnel ; Etat ; Souveraineté ; Etat de droit ; Démocratie

en Assemblée constituante. Celle-ci adopte le 26 août la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen qui sera placée en tête de la Constitution de 1791. Depuis, la France a connu treize textes constitutionnels[2], quatre révolutions, deux coups d’État et trois interventions étrangères. On a cherché dans cette histoire agitée des cycles de référence mais ce sont des repères plus pédagogiques que scientifiques : M. et A. Hauriou, J. Gicquel, G. Burdeau ou M. Duverger (cf. La constitution en France