Coup de tête

meilleurs moyens pour permettre de diffuser un message. Par exemple, aux jeux olympiques de Mexico en 1968, sur le podium du 200 mètres, pendant la diffusion de l’hymne national, deux athlètes noirs américains (Tommie Smith et John Carlos) baissent la tête et lèvent leur poing ganté, symbole des Black Panthers, pour protester contre la ségrégation raciale dans leur pays. Le sport devient dès lors une tribune pour dénoncer les difficultés des minorités. * Il rentre aussi dans l’éducation, le sport

diplomatique décrit les brutalités que l’on retrouve dans le sport qui sont très médiatisées et pas du tout caché au grand public. Pascal Duret dans l’essai Socio-logos, analyse les valeurs que les jeunes accordent au sport à travers leur perception du coup de tête donné par Zinedine Zidane au joueur italien Materazzi lors de la finale de la coupe du monde de football de 2006. Le romancier français Laurent Mauvignier, dans l’essai Dans la foule décrit la sauvagerie de la tribune du stade Heysel en Belgique

commettent tout comme nous des erreurs, nous ne devons pas faire d’eux des idéals. Ils sont tout comme nous en proie à des doutes, à des moments de solitude, de tristesse et d’égarement. L’exemple du coup de boule de zidane peut illustrer ceci. En finale de la coupe du monde 2006, zidane done un coup de tête à son adversaire italien materazzi. Son geste en effet n’est pas excusable néanmoins il symbolise la colère, la transgression des règles. Il a été rapporté que l’italien aurait insulté la famille

spectateurs sont émerveillés et Zidane signe sa première passe décisive à Henry sur coup franc. En demi-finale, contre le Portugal, il répond encore présent en inscrivant le penalty de la victoire. Et il récidive lors de la finale, face à l’Italie, en prenant Buffon à contre pied sur une Panenka très osée. Mais le match bascule en prolongation. Zidane passe à deux doigts de marquer le deuxième but français d’un coup de tête détourné par Buffon, puis craque quelques minutes plus tard en répondant à la

cette notion peut avoir sur la société. =­ 1tt4. . Tout d'abord, on constate que la pratique de la violence existe entre joueurs. Comme le signale ascal Du ét dans son enquête: « Perception du "coup de boule" de Zidane par les collégiens» datant de 2007, Zinedine Zidane assène un coup de tête au footballeur italien en réponse à des insultes racistes et ce, sur le terrain durant le match. Cet acte violent a été jugé comme réponse à une violence morale. Ensuite, la violence vient également des

L'impact de la Coupe du monde sur la musique est également important. Chaque sélection a un hymne et de nombreuses musiques sortent en références à l'équipe nationale. Des chansons sont parfois inspirées de faits de jeu comme Coup de boule en 2006 à la suite du coup de tête de Zidane sur Materazzi.De nombreux produits dérivés sont créés, produits et vendus pour chacune des éditions de la Coupe du monde. Des séries de timbres sont éditées dans différents pays et représentent la Coupe du monde. Des

des milliers de personnes les ont acclamées, supportées, ne méritent aucun mérite. La violence et la vulgarité ne sont pas exclues du monde sportif et fait de ses protagonistes de piètres idiots. Je me souviens en 2006 de Zinédine Zidane donnant un coup de boule à Marco Materazzi lors de la Coupe du Monde de football, le match était télévisé en direct et l’action s’est passée devant des milliers de téléspectateurs. En juin dernier ce sont deux athlètes français du 1500m, Mahiédine Mekhissi et Mehdi

millions d'euros pour le joueur Z.Ibrahimovic) Les actes violent quant à eux , qu'il soient physiques ou verbaux sont omniprésent dans le monde sportif. Ils sont malheureusement médiatisés afin d'alimenter le coté spectacle. Rappelons nous le fameux coup de tête de Zidane à l'euro 2006 ou récemment les insultes du footballeurs Samir Nasri a l'encontre de journalistes lors de l'Euro 2012. Cette dernière confrontation à pris une ampleur exceptionnelle et européenne. Le spectacle sportif sacralise également

ouvrent la marque par leur joueur Vedette Zinédine Zidane qui accomplit là son dernier match. Peu après l’Italie revient au score grâce à Marco Materazzi. A dix minutes de la fin de la partie, alors que le score est toujours de 1-1, Zidane assène un coup de tête à Matérazzi. Comment le français allait-il expliquer ce geste violent et prémédité ? Cette faute allait elle déconstruire son image de « star » ou au contraire, la conforter dans son exceptionnalité ? Zidane (bien aidé par des médias nationaux

litigieuse : un événement commenté en mondio-vision pendant des jours et des jours. C’est une décision logique sur le plan des règles, mais contestée sur les conditions de sa maturation. Horacio Elizondo reconnaît aujourd’hui qu’il “n’a rien vu” du coup de boule de Zidane à Materrazzi. Mais il a quand même décidé de sortir le rouge. Comment ? Pourquoi ? L’Argentin lève le voile dans un entretien dont le site internet du Blizzard a révélé un extrait. A chaud, Raymond Domenech avait ironisé sur l’intrusion