Cour d'appel de Caen

d’un contrat en cours d’exécution ». 4° Les faits. Il s’agit de résumer très succinctement ce qui s’est passé, en respectant l’ordre chronologique, sans y introduire d’éléments de droit et en retirant les détails inutiles. Dans les arrêts de la cour de cassation, les faits sont déjà résumés à l’extrême en une courte phrase qu’il suffit souvent de recopier. On peut terminer la présentation des éléments de fait par l’énoncé de ce que l’une des parties réclame à l’autre. 5° La procédure. Il s’agit

enfin, que les subventions contestées n'avaient pas été versées au profit d'une activité économique au sens des règles qui encadrent les aides économiques des collectivités territoriales. Le jugement a été annulé par l'arrêt attaqué de la Cour administrative d'appel (CAA) de Marseille qui juge que si l'organisation du festival a bien le caractère d'une activité de service public administratif, il résulte de l'article L. 1411-2 du CGCT que l'attribution, par une collectivité publique, de subventions

en faisant référence aux attributs et aux caractères du droit de propriété. Paul est propriétaire d’un appartement à Clermont-Ferrand. Il dispose du droit le plus absolu sur cet appartement. Il peut l’habiter, le louer, en disposer. Paul habite Caen et n’occupe pas l’appartement de Clermont-Ferrand qu’il a hérité de sa mère. C’est son droit. Pour autant, la propriété d’une chose ne se perd pas par le non-usage (caractère perpétuel du droit de propriété). Par conséquent, Paul n’a perdu aucun droit

objet social d’autant plus limité que leur responsabilité est étendue. Enfin, l’article 1832 du Code civil exprime la nécessité d’une volonté de ces associés de réaliser et de se partager un bénéfice, c’est-à-dire, selon la définition retenue par la Cour de cassation à l’occasion de l’arrêt Caisse rurale de Manigod rendu le 11 mars 1914, « un gain pécuniaire ou matériel qui s’ajouterait à la fortune des associés », ou, depuis la loi du 04 janvier 1978, une économie. Le corollaire de cela est la volonté

civile, 2ème.éd., 2003, Litec- Ed. du JurisClasseur- Pratique professionnelle) Bibliographie complémentaire - La structure de la décision judiciaire, J. Rubelin-Devichy, travaux dirigés, droit civil, vol. 1 éd l’hermès - La structure des arrêts de la Cour de cassation, M.-N. Jobard bachelier et X. Bachelier, la technique de cassation, Dalloz, coll. Méthodes du droit - Méthode de la fiche de jurisprudence, I. Defrénois-Souleau, Je veux réussir mon droit, Armand Colin, II. Le mariage : une liberté

rendu par la cour d’appel. -Il faut dire quelle était la demande (si vous ne l’avez déjà fait), et ce que décide la cour d’appel sur cette demande. Elle infirme ou confirme la décision des premiers juges, en toute hypothèse, soit en confirmant, soit en statuant à nouveau, elle statue : aux faits elle applique une règle de droit, et en tire une décision, elle fait droit à la demande et condamne, ou rejette la demande. Vous avez à décrire le syllogisme judiciaire accompli par la cour d’appel, et les qualifications

.. 10  a) Cour de cassation ........................................................................................................................ 10   Cour de cassation, civ., 26 mars 1996, n° 94-13145 .......................................................... 10   Cour de cassation, civ., 26 mars 1996, n° 94-11791 .......................................................... 11   Cour de cassation, Assemblée, 17 novembre 2000, n° 99-13701, Perruche ...................... 12   Cour de cassation

faut rajouter une précision importante : le terme n’a aucun effet rétroactif alors que la condition a un effet rétroactif sauf stipulation contraire des parties. Exercice : compréhension et explication de l’arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation du 13 avril 1999. Cet arrêt est très riche d’enseignements. Il permet de bien saisir la définition et la distinction des deux notions que sont le terme et la condition, de s’initier aux subtilités de leurs interprétations objectives et

cessation des pollution. -stationnement des marchands sur la voie publique. La cour administrative d'appel de Nantes (14 avril 1993) a estimé que la mission de maintenir le bon ordre dans les endroits où il se fait occasionnellement de grands rassemblements d'hommes et transférée à l'Etat dans les communes où la police est étatisée ; par exemple, la réception organisée le 6 juin 1984 à l'hôtel de ville de Caen en l'honneur de la visite de la reine d'Angleterre, dans le cadre de la célébration

face à toute cette injustice, à toute cette légèreté dans la gestion du bateau Le Joola et celle de son naufrage. Le sujet abordé par Me El Hadj Daouda Seck, lors du Concours international de plaidoirie pour les droits de l’Homme, qui s’est tenu à Caen le 1er février dernier, lui a valu d’être classé 2e de ce concours en quatre langues. Il a honoré le Sénégal avec un thème loin d’être glorifiant pour ce même pays. Mais, lors de ce concours, Me Seck a tenu à être la voix des sans voix dans un dossier