Cour De Cassation 17 Février 2011

et ses avancés dans le temps ( le droit pénale du travail ) Introduction : Mr. Jean Quikine est un élu de la région qui est convoqué devant le tribunal correctionnel le 10 février 2012 pour être jugé suite à la plainte pour harcèlement sexuel déposé par une de ses collaboratrices . Or, il considère que la loi du 17 janvier 2002 qui a modifié l'art 222-33 du code pénale pour définir le harcèlement sexuel comme « le fait de harceler autrui dans le but d'obtenir des faveurs de nature sexuelle »

29 juin 2001, n°99-85973 (homicide involontaire, fœtus) Document n°2 : Cass. civ. 1ère, 6 février 2008, n°06-16498 (acte d’enfant sans vie) Document n°3 : Cass. civ. 2ème, 14 décembre 2017, n°16-26687 (infans conceptus) Document n°4 : Cass. Civ. 2ème , 11 février 2021, 19-23.525 (infans conceptus) Document n°5 : Cass. civ. 1ère, 14 mars 1995, n°9221226 (disparition) Document n°6 : Cass. civ. 1ère, 17 mai 2017, n°16-18425 (absence) Document n°7 : Cass. civ. 1ère, 16 septembre 2010, n°09-67456

contact avec le public ? Huit fois on lui demande de le retirer. Il refuse, il est licencié. Le port du bermuda est-il un droit fondamental ? CEDH : on ne traite pas la liberté vestimentaire comme la discrimination raciale ou ethnique. La Cour de cassation s’est appuyée sur ce raisonnement. C’est une liberté qui n’est pas fondamentale. Le juge des référés n’avait pas le pouvoir de statuer car il n’y avait pas de trouble manifestement illicite. Quatre libertés mondiales fondamentales (statuts

Une sécurité juridique insuffisamment garantie 49 Chapitre 1. Le cheminement jurisprudentiel de l’affaire Expedia en France 49 Section 1. La décision de l’Autorité de la concurrence 50 Section 2. La confirmation de la Cour d’appel de Paris 51 I. Sur les questions de procédure 51 II. Sur les pratiques reprochées 52 III. Sur les sanctions prononcées 54 Section 3. La question préjudicielle posée à la CJUE 55 I. Les fondements

SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES Faculté de droit et de sciences politiques REGIME GENERAL DES OBLIGATIONS Cours : Natacha Sauphanor-Brouillaud Professeur à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines TRAVAUX DIRIGES Année universitaire 2010-2011 UNIVERSITE DE VERSAILLES SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES Faculté de droit et de sciences politiques REGIME GENERAL DES OBLIGATIONS Cours : Natacha Sauphanor-Brouillaud Professeur à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines TRAVAUX

Rapport du Rapporteur spécial sur les droits de l’Homme des migrants François Crépeau, Etude régionale : La gestion des frontières extérieures de l’union européenne et ses incidences sur les droits de l’Homme des migrants, 24 avril 2013 (extraits) 17 à 21 5 Communication de la Commission au Conseil et au Parlement européen sur la politique de l'Union européenne en matière de retour, (Bruxelles, le 28 mars 2014, COM(2014) 199 final) (extraits) 22 et 23 6. Rapport n° 463 de M. Yann

........................................ p. 17 § 1. La loyauté dans l'exécution....................................................................................................................................................... p. 17 A. Obligations du fournisseur..................................................................................................................................................................................... p. 17 B. Obligations du distributeur..............

de son salarié, alors que ce même salarié, au moment où le dommage a été causé avait été affecté à un autre service. Quel était alors le responsable ? La Cour de Cassation a donné la solution à cette question. Ce droit de donner des instructions, ce pouvoir de donner des ordres peut il être transféré ? Un arrêt récent du 17 février 2011 (10-10499-10-10670) traite cette question : Une mère ayant accouché d’une fille lourdement handicapée, des poursuites pénales furent engagées contre le médecin

Cependant, la difficulté ne s'arrête pas là. Car non seulement cette limite entre vie privée et vie professionnelle est plus que perméable, mais encore, la Cour de cassation a tendance à autoriser certains licenciements alors qu'ils sont apparemment fondés sur un fait de la vie privée. Sur quoi repose donc cette distinction ? Comment la Cour de cassation délimite-t-elle la vie privée et la vie professionnelle ? Des éléments appartenant à la vie privée et intervenus sur le lieu professionnel peuvent-ils

premier lieu, la Cour d’appel débouta Mr Spileers de sa demande au motif que son licenciement reposait sur une cause réelle et sérieuse, soit le non respect de la clause litigieuse. En effet, selon la juridiction d’appel, cette clause était valide dès lors que justifiée par la nature et le lieu des fonctions commerciales exercées par l’intéressé et par le bon fonctionnement de l’entreprise. Mais face à cet arrêt rendu en sa défaveur, ce dernier entrepris alors un pourvoi en cassation au motif qu’au