Courbe De La Productivité Marginale Et Courbe De La Productivité Moyen

part de chaque région dans les exportations mondiales. (Notez que l’on a quatre panels : les exports totaux, les taux de croissance et les parts dans le commerce mondial, ce qui permet de calculer la contribution à la croissance). Tout d’abord la courbe supérieure représente la croissance mondiale du commerce : très forte augmentation en 2000 (bulle Internet), puis décrochage en 2001 (La chute des cours boursiers et les attentats du 11 septembre on conduit à une récession mondiale). Pour la première

est de rechercher la courbe d'indifférence la plus élevée, sous sa contrainte de revenu. L’utilité collective n’est que la somme des utilités individuelles selon Bergson et Samuelson. L’utilité collective n’est pas la simple agrégations des utilités individuelles et ils établissent que si cinq conditions ne sont pas satisfaites alors il est impossible d’obtenir que la préférence collective soit la somme des préférences individuelles. (4) La convexité des courbes d'indifférence tient à

simplifiant on peut ramener les politiques conjoncturelles entre politique de rigueur (stop) et politique de relance (go), principe du stop and go. Les politiques de relance (keynésienne) on pour objectif la lutte contre le chômage et la croissance. Les moyens utilisés sont; Le déficit budgétaire permet l'augmentation de la demande global de l'économie et par conséquent stimule la croissance. 3 – Le clivage entre politique de rigueur et de relance. La politique de relance est d'inspiration keynésienne,

selon la théorie de Spence, l'éducation n'a pas d'effet sur la productivité du futur employé : elle est seulement utile pour prouver une compétence face à un employeur. Dans la réalité pourtant il est reconnu que l’éducation est considérée comme une source notable de productivité et de mobilité sociale, et donc de croissance économique. D'aucuns diront qu'en fait l'éducation joue ces deux rôles : elle augmente d’une part la productivité des individus et fournit d’autre part un signal utile sur les

peut distinguer 4 grandes périodes dans l’histoire de la pensée économique, ce qui permet de montrer que la conception même de l’économie politique a évolué parallèlement à la société. • Période de l’Antiquité classique(Gréco-romaine) • Moyen-âge (4ème siècle après JC => 15ème siècle) • Temps moderne (16ème siècle au 20ème siècle) Cela correspond aux 4 grandes périodes de l’histoire générale. Ce n’est pas tout à fait un hasard si ces périodes coïncident avec celles de la pense

elle se trouve dépendante de la loi des rendements. Les rendements, les échelles sont décroissants. Au fur et à mesure que le coût marginal et le coûts moyens augmentent, l'entreprise va chercher à limiter le seuil qui correspondra à la production optimale, un maximum de production. donc le coût moyen c’est l'ensemble de coût divisés par la quantité, le coût marginal c'est le coût de la dernière unité, la dernière quantité produite. Ici sur q*, correspond à l'optimum de production. le maximum de

réalité, ce point de vue ? C'est [...] que le plein emploi n'existe certes pas toujours, mais qu'il tend toujours à s'instaurer [...] : attendu que si le système n'était pas troublé, le plein emploi existerait toujours, dans la réalité, l'emploi, en moyenne, reste au-dessous de ce niveau, et atteint un certain montant, attribuable aux troubles. [...] Bien entendu, il y a des frictions et le travail n'a pas une mobilité complète [...]. Comme je l'ai dit dans ma Theory of Unemployment1, « si la libre

activité quelconque peut se mesurer par la valeur de ce à quoi j’ai renoncé en assignant mon temps à quelque chose de précis. Le coût d’opportunité est la valeur de ce à quoi je renonce en exerçant une activité. C. Analyse marginale: « raisonner à la marge » ou « analyse marginale »: il ne faut prendre en compte que les éléments qui peuvent encore être modifiés au moment où la décision 4 doit être prise. Ce qu’on ne peut plus changer, on ne peut plus le changer. Ca ne sert à rien de les prendre

simultanée. Cela veut dire qu'ils varient dans le même sens que le cycle économique. - L'investissement fluctue beaucoup plus que la consommation - L'emploi (N) est procyclique ↔ le chômage est contra-cyclique - Le salaire réel et la productivité moyenne du travail sont procycliques - L'offre de monnaie et le prix des actions sont procycliques et conduisent le cycle. (la Bourse = indicateur avancé du cycle économique) - L'inflation et les taux d'intérêt nominaux sont procycliques

population croît à un taux exogène constant : DL/L = n. H7 : il y a équilibre sur le marché du travail : Ld = Ls. H8 : la fonction de production, Y = F (K, L, t) est dite « néoclassique » ou « bien élevée ». 1) Rendements factoriels : les productivités marginales du capital (F'K = PmK) et du travail (F'L = PmL) sont positives et décroissantes. 2) Les rendements d'échelle sont constants : F( λ K, λ L ) = λ . F( K, L ). 3) Conditions d'Inada : limK→0(F'K) = limL→0(F'L) = ∞ et limK→∞ (F'K) = limL→∞(F'L)