Cours De Dominique Rousseau

publications Case postale 136 – CH-1211 GENÈVE 21 http://www.iued.unige.ch – publications@iued.unige.ch 1 Mémoire de diplôme d’études supérieures (DES), présenté le 18 novembre 1999 Directeur de mémoire : Gilbert RIST (IUED, Genève) Juré : Marie-Dominique PERROT (IUED, Genève) 2 TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS 5 INTRODUCTION Problématique Méthode et démarche 7 8 9 CHAPITRE 1 LES CONCEPTS D’« ECOTOURISME » ET DE « TOURISME DURABLE » « Ecotourisme » et « développement durable » La notion de «

aborder le cours de phénoménologie de la religion11 dans le cadre duquel ces lignes sont écrites sans faire dialoguer le poète et penseur avec les matériaux nouveaux intégrés grâce à Richard Kearney. Il nous semble que la force suggestive de Baudelaire a toute sa place dans cet essai de compréhension de la difficulté de l’approche humaine, philosophique ou religieuse, de Dieu; que cette médiation herméneutique peut donner lieu à un échange fructueux avec les principales figures évoquées au cours du séminaire

par l’intermédiaire de Brécourt. La généralisation des caractères passe par la fantaisie, c’est-à-dire l’imagination et l’art. Le « castigat ridendo mores », devise de la comédie imaginée par le poète Santeul (1630-1697) et donnée à l’Arlequin Dominique pour qu’il la mette sur la toile de son théâtre, n’est efficace que si le personnage n’est pas une personne en particulier. Et si le spectateur est suffisamment intelligent pour ne pas tomber dans le piège de l’identification, ce que le dispositif

de son histoire. C'est la position de l'humanisme abstrait, qu'incarnent Rousseau et Kant. Troisième option, enfin, où il s'agit de considérer que l'essence de l'homme réside dans son individualité, c'est-à-dire dans une liberté incarnée dans une nature concrète, située hic et nunc. Ce sera la position romantique, dont les germes se trouvent pourtant ancrés dans le Siècle des lumières et, encore une fois, chez Rousseau et Kant. 11 Pierre-Henri Tavoillot, « l’idée d’universalité », », in

transmettre ce que nous avons reçu ? 4 A visionner les débats de ces vingt dernières années, un spectateur pourrait penser que les travailleurs sociaux ont connu l’usure avant même que d’avoir assouvi leur soif d’identité et que, en bout de course, les professions du social sont sinon menacées du moins sérieusement malmenées. De sorte que, à la veille du troisième millénaire, pourraient disparaître l’héritage et les héritiers. En effet, les chances de connaître le compagnonnage s’estompent

Mme LORENTE (PA) - Mme DAVEINE & Mlle DUPUY (Resp. Classes Prépas.) Lycée FENELON 2, rue de l’Eperon (6ème) Tél. 01.44.41.18.88. - Fax. 01.43.26.40.04. M. COURTIAU - M. VOLKMANN (PA) - Mme BARCLAY (Resp. Classes Prépas.) Lycée HELENE BOUCHER 75, cours de Vincennes 75971 Paris Cedex 20 Tél. 01.55.25.65.00. - Fax. 01.43.72.20.44. M. MINNE - Mme LAGARDE (PA) & (Resp. Classes Prépas.) Lycée HENRI IV 23, rue Clovis 75231 Paris Cedex 05 Tél. 01.44.41.21.21. - Fax. 01.43.29.95.21. M. CORRE - M. BONNOT

DOMUNI Travail sur le cours du professeur Benoît-Dominique de la Soujeole « L’Eglise en tant qu’une » Comparer la présentation de l’unité de l’Eglise par la comparaison corps-âme et par la pensée en binôme. L’ecclésiologie de Bellarmin fondant l’unité de l’Eglise dans une certaine analogie du corps et de l’âme et l’eccésiologie qui tente d’approcher cette même unité par la pensée en binôme sont redevables d’un certain contexte historique et philosophique. Préalablement à l’exposition des

essentielle de savoir : Pourquoi la fiction ? A quoi elle sert au juste ? qu’est-ce qui fait son charme ? La fiction est tout d’abord un mode de représentation très prisé des écrivains et des artistes parce qu’elle leur laisse la latitude de donner libre cours à leur imagination sans qu’ils soient enfermés par l’histoire. L’auteur est libre de composer son histoire, de créer ses personnages selon les visées qui lui sont propres. La fiction a aussi un rôle social incontestable puisqu’elle s’inspire de la

réintroduisant la question de la légitimité dans les institutions qui se mettent en place au cours de cette période », S. Caporal, « Les institutions de la Ve République et la légitimité », IIIe Congrès français de Droit constitutionnel, Université de Bourgogne, Dijon, mai 1996, rapport dactylographié et distribué, p. 3. Dans cette communication, nous reprenions la formule de Jean-Louis Quermonne et Dominique Chagnollaud : « Le recours au principe de légitimité et sa transposition en régime démocratique

l’histoire des religions, dans l’enseignement secondaire, en discipline spécifique serait lui rendre le pire des services puisqu’elle ne pourrait, dans un calendrier plein comme un œuf, qu’occuper une place décorative et un horaire à la marge, celui du cours de musique. À plus long terme, serait à craindre, en l’absence de concours réguliers (licence, agrégation ou Capes), et d’instance autonome de validation des savoirs (Conseil national des universités), une substitution du clerc au laïc. Des intervenants