Coût d'opportunité

manière récurrente : Réunions superflues ; Personnel trop nombreux ce qui se traduit par un coût excessif ; Un délaissement des objectifs pour une focalisation basée sur les chiffres ; C’est pourquoi pour certains, le contrôle budgétaire est perçu comme « un piège à cadres », expression émanant de M. Deschamps dans son ouvrage « Le budget, piège à cadres ». Ensuite, pour reprendre la contrainte liée au coût, nous sommes à même d’illustrer nos propos. En effet, selon une étude canadienne menée par

de services p. 16 V Coûts inhérents à l’application de la politique des services p. 17 V-1 Le coût compétitif p. 17 V-2 Le coût politique p. 18 V-2-1 Le service perçu comme innovation p. 18 V-2-2 Nécessité d’adopter une nouvelle approche manageriale p. 19 Conclusion

l'objet de coût. C'est le cas des matières entrant dans la composition d'un produit, mais aussi des pièces de rechanges qu'un technicien monte sur un téléviseur en réparation ou du coût horaire de son intervention (ce qui ne signifie nullement qu'il soit payé à l'heure) qui peuvent être affectées immédiatement, sans calcul intermédiaire, à la réparation d’’un client.Les charges indirectes Les charges indirectes nécessitent des calculs intermédiaires avant de pouvoir être imputées à l'objet de coût. Les

le capital physique. En effet, de même qu’un investissement en capital physique (une usine, un pipe line ou un barrage) permet de produire des flux de biens ou de services pendant de longues années, et donc de créer des revenus qui dépasseront le coût initial d’investissement, de même les êtres humains peuvent investir en eux-mêmes afin de devenir plus productifs de façon permanente au cours de leur vie active. Cet investissement en eux-mêmes entraîne des coûts, mais les gains additionnels qui

évoluer l’organisation. 2. La DRH doit surveiller et réduire les risques qui sont liés à plusieurs événements : accident du travail. Elle doit, avec les responsables, assurer une politique efficace et compétitive. Elle doit réduire les coûts (ex : coût de fonctionnement). Paragraphe 5 : Une responsabilité partagée Ex : dans le cadre d’une évolution de la masse salariale, le service RH propose au comité de direction : ↓ | | ↓ | Un taux d’augmentation générale | | Un budget d’augmentation

à entreprendre avec des ressources données. ». Dans un environnement commercial, un projet, c’est : - Un travail limité dans le temps avec un début et une fin - entrepris dans des contraintes de coût et de délai - visant à atteindre des résultats définis donc atteindre un niveau de qualité satisfaisant (qui répond au besoin du commanditaire). Gestion de projet : les méthodes et les disciplines utilisées pour

coûts discrétionnaires. – Les centres de recettes. – Les centres de profits. CENTRE DE COUTS Centre où l’on enregistre que des coûts, mais où l’on peut comparer ceux-ci avec la production fournie. (Atelier) Indicateurs possibles : Quantité produite, Coût unitaire des produits, Qualité, Délais CENTRE DE COUTS DISCRETIONNAIRES ( SUPPORTS) Sa mission est d’aider une activité opérationnelle mais dont on ne peut établir le lien entre les coûts engagés et le résultat obtenu. Le montant des coûts est à

fréquente dans les grandes entreprises. Le choix peut être aussi celui de la non croissance (Ex : Petit artisanat). 2) Les économies d'échelle : La répartition des coûts fixes sur une plus grande quantité entraîne généralement une chute du coût unitaire global. De plus l'effet de taille permet une meilleure utilisation des capacités de production, une automatisation des activités, ... 3) La masse critique (ou taille critique) : Il s'agit de la taille minimale qu'impose le marché à une

commander, à l'établissement des méthodes de réapprovisionnement, à l'évaluation du rendement des investissements en stock. Toutes ces structures des coûts peuvent être reparties en quatre catégories : le coût d'achat, le coût de commande, le coût de stockage et le coût de rupture de stocks. En effet, le coût de rupture quand bien même sous estimé par bon nombre des gestionnaires est susceptible de compromettre le fonctionnement de toute l'entreprise et par conséquent sa crédibilité à l'égard de ses partenaires

conccurent) et interne (entreprise) Segmentation : critères de segmentation Ciblage : analyse d’attractivité et de compétitivité Positionnement : identifier l’avantage concurrentiel = choix de la stratégie de base Marketing mix : 4 c (client cout communication, commodité) Contrôler : par rapport aux objectifs SWOT= synthèse des études internes et externes. Le diagnostique : Consiste à comprendre l’impact de l’environnement externe, la capacité stratégique de l’organisation et les attentes