Cout Du Capital

 PLAN DU TRAVAIL INTRODUCTION Chapitre I : Les différentes formes d’endettement et coût de la dette Section I : Endettement par appel direct à l’épargne Section II : Les prêts et crédits consentis par les banques et les autres intermédiaires financiers Section III : le coût de la dette Chapitre II : l’effet de levier indicateur des stratégies d’endettement Section I  : effet levier de l’endettement Section II : la rentabilité économique et la rentabilité financière

Notes de cours – Amortissement Table des matières Principe de base 2 Coût en capital (CC) d’un bien amortissable (art. 54) 3 Disposition et produit de disposition 3 Catégorie de biens amortissables 4 Les brevets 5 Particularités des catégories 6 Fonctionnement de l’amortissement 7 Disposition d’un bien amortissable 9 Cas particuliers 11 Biens affectés à plusieurs usages (par. 45(1)) : 11 Changement d’usage (par. 45(2)) : 11 ** Problème synthèse dans

des choix différents liés à des financements différents. Usage Recette Dépenses Acquisition 2 • -) Caractéristique des flux. • Les dépenses initiales d’investissement : – Coût HT de l’immobilisation • Investissements induits en BFE sous forme d’actifs circulants • Si utilisation des actifs existants Coût = valeur vénale • Durée de vie : – Durée économique du projet, pas fiscale ou technique. Période d’exploitation et de perception du cash flow de recettes. • Problème d’obsolescence

effet, nous sommes au moins d’accord que la dette a un coût qui peut être fixe ou variable. Le coût fixe est celui qui reste constant toute la durée de vie du prêt. Il se calcule en général à partir du TBB + Marge (TBB = Taux de base bancaire). Le financement par fonds propres a également un coût. Il est certain que le coût comptable est nul mais au plan financier il y a un coût à payer aux actionnaires. On pourrait parler ici de coût d’opportunité car l’actionnaire aurait pu rémunérer ses fonds

beaucoup d’effets pervers (surcoût - dépendance - endettement - etc......) allant dans le sens de l’accentuation du sous-développement. Les raisons de ce dérapage sont nombreuses : erreurs de localisation, de dimensionnement, dépassement de coût, des faillites retentissantes, et paradoxalement on assiste à des renflouements sur fonds publics de grandes entreprises. L’importance de ces erreurs est un phénomène mal apprécié, sans doute l’erreur est elle humaine et aucune technique ne

▶ Introduction Le cout du travail est egal au salaire net plus les cotisations sociales versees par les salaries et les employeurs. Aujourd’hui, les entreprises peuvent s’installer a l’etranger et produire en utilisant de la main-d’oeuvre locale qui, dans certains pays, est nettement moins chere que dans les pays developpes et les pays europeens. Les entreprises ont donc interet a comparer les couts entre les pays avant de choisir une localisation geographique et de faire faire par une societe

L’ORGANISATION SOCIALE DE L’ENTREPRISE Chapitre 3 : La production dans l’entreprise Notions du programme : Facteurs de production, coût total, coût moyen, coût marginal, recettes totales, recette marginale, recette moyenne, productivité, lois des rendements décroissants, compte de résultat, bilan. Notions complémentaires : Economies d’échelle, secteurs d’activité, capital fixe, capital circulant, coûts fixes, coûts variables I- La diversité des entreprises Selon le secteur d’activité Secteur d’activité * :

priorités, de sélectionner les décisions et de définir les objectifs. (L’objet de la première partie). Cette politique va déterminer la configuration de la structure financière de l’entreprise, laquelle va se traduire par un certain coût du capital. Mais l’appréciation de ce coût, la volonté d’optimiser cette structure, ont soulevé de nombreux problèmes dans la pratique, d’où le développement de cadres théoriques tentant d’apporter des éclaircissements et des outils pour les résoudre (Partie II). Partie

du capital et les économies d’échelle. © Editions Belin 2015 Doc. 4 1. Il existe plusieurs propriétaires dans une société ou du moins la possibilité d’en avoir plusieurs (SAS). 2. Les SARL ont plusieurs propriétaires et sont redevables de l’impôt sur les sociétés. Les EURL ont un propriétaire unique qui est imposé sur ses revenus. Une SAS peut ne comprendre qu’un seul salarié et ne requiert aucun capital minimum, tandis que la SA doit avoir au moins 7 actionnaires et 37 000 euros de capital social

gestionMarge sur coût variable = Chiffre d’affaires - Coûts variables (pour décider de la suppression d’un produit, je regarde la MSCV)Marge sur coût direct = CA - Coût direct (ie CA-CV-CFD (=cout fixe direct))Point mort (Quantités) = somme des coûts fixes/ marge sur coût variable unitaire Marge sur cout variable unitaire = prix de vente unitaire - cout variable unitaire Seuil de rentabilité = Coût fixe/taux de marge sur coût variableTaux de marge sur coût variable = marge sur coût variable/CAMarge