Coutume de Normandie

volonté générale écrite, votée par le Parlement. 2) jurisprudence: décision rendue par les tribunaux, les cours de justice; décisions qui sont susceptible d'être source de justice lorsqu'elle créées des solutions nouvelles ⇒force de précédent. 3) la coutume: l'usage qui lorsqu'il est reconnu par l'ensemble du corps social comme règle obligatoire ou suivi d'effet de droit constitue une source de droit (ex. droit commercial) 4) la doctrine: construction intellectuelles et savantes par les juristes qui

Règles relatives au statut des personnes, et notamment à une catégorie sociale importante à l’époque : les esclaves. 3e source : Deutéronome = loi qui est donnée pour la 2e fois, nouvelle version du code de l’Alliance, codification d’anciennes coutumes qui portent sur des questions religieuses mais aussi sur des règles de Droit public et familial.   §2 Les caractères du Droit hébraïque.  * Droit divin donc de Dieu   Les mésopotamiens affirmaient avoir donné le droit sur ordre des dieux

– la langue des retrouveurs/ Trouvadous /Troubadours* – “pieds” : c’est donc un personnage du genre des “fous de Cour” ou Fol – assez “elfique* –” qui, subrepticement, nous “conduit”, nous guide sur les chemins de la Connaissance de l’Ancienne Coutume (cf. notre art. Paganisme*). Remarquons ici que cette même rune est gravée – ou figure implicitement – sur la coquille “saint Jacques” des pèlerin de Compostelle/ Combo Stella, “la Combe aux Étoiles”, célèbre lieu d’initiation* druidique au “Bout

frères. Chaque gens avait un nom qui la caractérisait. Ex : la gens Julia ou la gens Fabia. On retrouve ces noms plusieurs siècles après. Chaque gens avait sa propre divinité protectrice et son propre culte religieux. Ils avaient aussi leur propre coutume (« mores » en latin). Ils portaient des habits qui les distinguaient des autres familles. Dans chaque gens, on trouvait les membres de la famille et un ensemble de personnes qui travaillaient pour la famille et qui dépendaient d’une façon ou d’une

engagement plus net de l'Eglise: politique conjointe de la royauté et des grands évêques méridionaux. Ce qui pose problème, se sont les peines qui résultent de coutumes non écrites. Pour ce qui est de l'inceste, c'est l'Eglise qui intervient à travers les édits royaux. Difficulté d'édicter les lois car les peuples barbares apportent avec eux leurs coutumes. Les Papes sont pris comme conseillers par les clercs en mission ou par les dirigeants eux-mêmes. Ainsi, le pape Grégoire écrit à Augustin (premier évêque

seigneur s’entoure de milites, hommes d’armes), la fiscalité locale (péages, droit de marché), la fonction judiciaire sur les paysans. La seigneurie banale est faible ou inexistante dans les contrées où les rois ont su garder un pouvoir fort, comme , Normandie ou Flandre. * * * 4 Face au seigneur, ou plutôt dans la hiérarchie sociale, sous lui, se situe le paysan. Si l’esclavage de type antique s’efface à l’époque post-carolingienne il tend à être remplacé par le servage qui regroupe l’ensemble

telles évolutions : ⇒ Comment ont evolue ces quartiers demographiquement ? ⇒ Et enfin, pourquoi ? II] Identites culturelles et activités quotidiennes de ces quartiers. a- Les différentes identités culturelles : ⇒ Quelles sont leurs coutumes ? ⇒ Cultures ? leaders ? ⇒ Qu’est ce qui les identifie ? b- Leurs activités culturelles : ⇒ Gastronomie ⇒ Langues III] Les problèmes des quartiers et leur avenir prévisible. a- Les problèmes : ⇒ Emeutes ? ⇒ Problèmes financiers

d'ordres. Toutes ces révoltes ont donc un caractère antifiscal et antiétatique. Cette intrusion de la fiscalité royale est plus mal acceptée dans les provinces plus récemment rattachées à la couronne, perçue comme une atteinte intolérable aux « coutumes, libertés et franchises  immémoriales ». Aux yeux des masses rurales, les meilleurs défenseurs de l'exemption traditionnelle seront les nobles. Conséquence paradoxale de la modernité de l'impôt : tout en minant l'équilibre entre les trois ordres

hommes qui, en majorité, se rendaient en Bretagne, en Normandie, à Paris et à Orléans. Les gens de métiers sont, en général, ramoneurs, rémouleurs, lanterniers, souffletiers, étameurs ou savetiers ; quelques fripiers, les inévitables scieurs de long et, provenant presque tous de Besse, des bateliers. La spécialisation des émigrants par village parait ici assez nette ; de Saint-Diéry ne partent que des porteurs d’eau qui vont tous en Normandie, de Saint-Genest-Champesp des marchands de peau de lapin

L'empereur a compris qu'il fallait accepter et ne plus repousser les tribus Ces traités se traduit par une politique : l'hospitalisas l'empire accepte que les barbares s'installent et d'avoir un royaume avec ses propres institutions, ses propres coutumes, en revanche les barbares devront se soumettre à l'autorité de l'empereur, ils devront fournir des denrées mais surtout du personnel pour les armées, des moyens humains pour l'administration et pour l'agriculture. Et on voit de développer, de nombreux