Coutumes De Beauvaisis Prologue

extrait d'une des leges Barbarorum (qui mettent par écrit les coutumes germaniques) source directe auteur: le Roi des Lombards Rotari ("à la chevelure rousse") contexte historique: les Lombards représentent la 3ème vague d'invasions, proprement dite. Puisqu'ils ne veulent pas "s'intégrer" aux Romains, ils veulent absolument sauvegarder leurs coutumes. Ils mettent donc par écrit (en latin mais termes germaniques subsistent)leur coutumes dans des Pactus (ou leges barbrorum). Ceux-ci garderont une

Ur-Nammu était le fondateur de la 3ème dynastie qui a dominé la cité d’Ur. Le roi de Sumer et d’Akkade possédait un empire sur qui englobait tout le Proche-Orient. On a des traces de cette culture jusqu’en Perse (est) et en Syrie (ouest). On connaît le prologue de ce code, et une trentaine de paragraphes. On l’a trouvé à Nippur. A Babylone, un roi nous a laissé un autre code: Hammourabi. C’était un roi entre 1792 et 1750 av Jc. Il a réalisé l’unification politique de la Mésopotamie lui aussi. Il e s’est

régime, assimilables à une constitution. {text:bookmark-start} {text:bookmark-end} Chapitre 1 : Des lois personnelles aux droits locaux (Vème – Xème siècles) {text:bookmark-start} {text:bookmark-end} *Section 1 : La* personnalité des lois Prologue : `"Il a plus aux francs, et il a été convenu entre eux et leurs chefs, que pour favoriser au sein du peuple le maintient de la paix, il fallait couper court à l’enchaînement sans fin des bagarres. Et de même qu’ils l’avaient emporté, d’un bras

des parties ; le prologue et l’épilogue sont décrits dans une langue poétique et décrivent le pouvoir ; le corps du texte qui présente les règles de droit est écrit en prose. En Mésopotamie ancienne, le droit s’inscrit dans une relation au divin. 1) une relation divine Le prologue du code évoque de très nombreuses divinités. Chaque dieu porte sur la stèle un petit signe qui évoque le caractère divin de la personne. Le nom du roi n’est pas précédé de ce signe, dans le prologue il est présenté

Moyen Age, Ve-milieu du VIIIe siècle, Paris, 1972, p. 89-90). La plupart des hommes, au lieu de rechercher une croyance saine, s'ils sont exhortés par leurs prêtres ou conseillés par leurs amis d'abandonner leurs erreurs, se contentent d'opposer la coutume de leur nation, les rites pratiqués par leurs ancêtres... Désormais, des excuses de ce genre ne peuvent plus être admises. De toute votre antique généalogie, vous n'avez rien voulu conserver que votre noblesse et vous avez voulu que votre descendance

juridique considérable puisqu'il nous reste environ 500 000 tablettes de documents cunéiformes dans les grands musées européens. I - Les premiers codes Ces tablettes expliquent avec quoi se forme le droit. Les sources principales du droit sont : La coutume, principalement orale (ex : actes de pratiques (droit de successions) et juridiction locales comme l'assemblée des anciens) La loi rassemblées dans des codes La documentation des tablettes nous provient principalement de la pratique avec des textes

judiciaire. M-A : pas de distinct° pénale/criminelle et civile. Institut° judiciaires : Institut° du latin « instituere » = créer, ériger, disposer, établir. Créer qlq chose qui va demeurer, durer ds le tps. L’institut° c’est ce que la loi ou la coutume a établi. Permet aux indiv de vivre ensemble ds structures « instituées ». On parle de « corps institués » par moment. Judiciaire : latin « judiciarius » de « judex,icis » = le juge. Judicus = jus diare = dire le droit. Instit° qui disent le droit

n’était pas bien distingué de la religion. Le comportement social était régi par un ensemble de règles, dicté par les dieux à Numa. Les Romains vont distinguer un droit humain, l’IUS, essentiellement de caractère coutumier, non écrit, du FAS. Coutume= façon d’être des anciens, se transmet oralement, usage répété. Mus majorum= différents usages transmis par les anciens. Formules judiciaires et calendriers judiciaires gardés par pontifes et consuls. C’est pour obtenir une législation écrite

impérial d’origine divineAmurabi se présente comme l’intermédiaire entre le dieu et le peuple ; Le texte de ses lois serait dicté par la dieu Samas qui est représenté au sommet de la stèle donnant la dictée au roi Amurabi. On trouve ainsi dans le prologue du texte : « Je suis Amurabi Roi du droit c’est moi auquel Samas a fait présent des lois ». Dans son épilogue il est indiqué : « Tels sont les sentences équitables que Amurabi Roi plein d’expériences a imposé pour faire prendre à son pays la ferme

règles en usage pour les habitants de son royaume. Un texte est présent, divisé en deux styles d’écriture : poétique pour le prologue et l’épilogue. Le corps du texte qui présente les règles du droit est écrit en prose. La prose pour le droit, la poésie pour décrire le pouvoir d’origine divine. Sa force provient d’une relation divine. 1) La relation divine Le prologue du Code d’Hammourabi évoque un nombre important de Dieux, qui s’étendent jusqu’au Roi Hammourabi. Il est appelé à une vie