Creon Et Eurydice

son jeune élève, l'enlève pendant une course de chars et en fait son amant. Accablé de honte, Chrysippe se serait pendu. Après la mort d'Amphion, Laïos devient roi de Thèbes et épouse Jocaste. Mère /grand-mère :Jocaste fille de Ménécée et sœur de Créon, est l'épouse de Laïos puis de son propre fils, Œdipe, de qui elle aura quatre enfants, deux garçons (Étéocle et Polynice) et deux filles (Antigone et Ismène). Elle se pend lorsqu'elle apprend la vérité des liens l'unissant à Œdipe. Père :Œdipe ->

1. résumé de la tragédie d’Œdipe. Œdipe est le fils de Laïos, roi de Thèbes avant Polynice, Étéocle et Créon. Laïos a consulté l’oracle de Delphes qui lui a relevée qu’il allait mourir à cause de son fils et que celui allait épouser sa femme. Quand l’enfant est né, il l’a abandonné et a été recueilli et élevé par Polybe, le roi des Corinthe. Plus tard, il consulte lui-même aussi l’oracle qui lui raconte l’histoire. Il est terrifié puisqu’il prend Polybe et sa femme pour ses vrais parents et

émise par le roi Créon d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice (tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille ou les deux frères veulent tuer l'autre pour devenir roi car ils étaient jumeaux, mais les deux meurent.) Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque

mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque grandiloquence, devant le chœur des vieillards thébains — choisis pour leur docilité — sa philosophie

Antigone, mais Créon • Antigone est l'instrument des dieux, Hémon le moyen et Créon la victime • il existe une véritable dualité entre Creon et Antigone, chacun des deux, dans leur obstination, leur solitude et leur certitude sont de pur héros Sophocléen Résumé • Antigone a l’intention de braver l'interdiction d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon •

précisément le héros de tout ancrage dans le passé, Eurydice (1941) où la mort, en purifiant les amants, leur donne l’absolu. Autant de thèmes, de personnages, de réflexions qui préfigurent Antigone. Une pièce que l’ambiguïté des réponses proposées par Anouilh plaça d’emblée, malgré le succès remporté, au cœur d’une polémique, la censure des occupants allemands ayant autorisé la représentation après avoir lu, semble-t-il, la victoire finale de Créon comme une justification de l’ordre. Le passage

et est peu extravertie ; elle dégage néanmoins beaucoup de charme. Elle est la fille d’Œdipe, ancien roi de Thèbes, et est promise à Hémon, qui est le fils de Créon, l’actuel roi de la ville. Ses deux frères, Polynice et Etéocle, se sont entretués pour régner. Etéocle fut enterré en héros et Polynice fut jeté en pâture aux vautours. Créon décréta que quiconque tenterait de rendre hommage à Polynice serait puni de mort. C’est sur ces bases là que commence la tragédie. Antigone qui est heureuse par

sept chefs). Créon, nouveau roi de Thèbes et frère de Jocaste, ordonne des funérailles solennelles pour Étéocle, mais interdit d'ensevelir son autre neveu, Polynice, considéré comme traître à la Cité. Seule Antigone s'oppose à cette décision et refuse de s'y soumettre. Ayant fait donner une sépulture à Polynice, elle est condamnée par Créon à être enterrée vivante dans le tombeau des Labdacides. Son fiancé Hémon, fils de Créon, se tue sur le cadavre d'Antigone et l'épouse de Créon se suicide après

du 5e siècle avant JC. Anouilh revisite donc le mythe antique en créant une pièce sombre. La pièce est écrite en 1942 est jouée pour la première fois en 1944. C’est en pleine occupation allemande que Jean Anouilh fait joué deux pièces sombres : Eurydice en 1941 et Antigone en 1944. Cette pièce peut être représenté comme un symbole de la résistance et de rébellion contre les lois de l’Etat jugées injustes. Le mythe antique est désacralisée chez Anouilh car l’idéal religieux est supprimé. Antigone

que leurs deux jeunes sœurs, Ismène et Antigone. Ismène était belle, elle avait les cheveux blonds et elle était souriante. Antigone, quant à elle, était maigre, laide et renfermée. Le trône était désormais occupé par Créon, l’oncle d’Antigone. Après la mort des deux frères, Créon rejeta Polynice, qu’il qualifiait de traitre et ordonna qu’on ne l’enterre pas. Une sévère punition serait donnée pour celui ou celle qui tenterait de toucher son cadavre. Voyant l’injustice de cette déclaration, Antigone