Crépuscule des idoles

par rapport à l’événement, les individus abandonnent leur vie pour la spiritualité chrétienne. Le Socrate de Nietzsche[modifier | modifier le code] « Socrate est le tournant décisif de l’histoire universelle » — Friedrich Nietzsche, Le Crépuscule des idoles Friedrich Wilhelm Nietzsche voit en Socrate un cas d’hyperrationnalité provoqué par le désordre des instincts. Selon Nietzsche, Socrate, pour lutter contre ses violents désordres intérieurs, avait besoin de s’appuyer sur la raison pour ne

sectes orphiques et pythagoriques dont Platon a subi l'influence. Mais revenons à cette hiérarchisation par la beauté. On ne doit pas être surpris de trouver ici le beau surgir (comme Nietzsche se demande, dans "le cas Socrate" du Crépuscule des idoles, "par quelle idiosyncrasie a-t-il pu en arriver à l'équation vrai = bien = beau"). Effectivement, nous sommes ici dans le cadre de la vue : quoi de plus naturel, dès lors, que le vrai émanant du bien et vu par l'âme soit trouvé "beau"?

était possible grâce au vrai. On peut donc se demander ce qu’il se passerait s’il n’y avait pas de vrai, ce qu’il resterait du faux, afin de démontrer que le faux n’est pas forcément reflet du vrai. C’est une idée que développe Nietzsche dans Crépuscule des idoles, où l’auteur part de l’idée que le monde est vrai, donc qu’il représente la vérité absolue puisqu’il est tout ce que nous connaissons comme réel. Il définit d’abord ce monde comme “accessible à l’homme pieux”, c’est à dire que le monde est

reconnaissait d’ailleurs entre le sublime et la laideur une certaine compatibilité quand celle-ci se trouve unie à des qualités capables de susciter une forte terreur transmuée en délice. Ce que d’une certaine manière Nietzsche reprendra dans le Crépuscule des idoles quand il dira que c’est par la laideur que l’art est profond. On pourrait toutefois se demander si certains facteurs n’ont pas contribué à la naissance d’une autonomie du laid. Dans ce cas, ne faudrait-il pas défendre que le terrain à partir

d'être écrit mais ses contemporains ne s'en soucient guère. À partir de 1886, le rythme d'écriture s'accélère : livre V du « Gai Savoir » et « Par delà le bien et le mal », 1887 « La généalogie de la Morale », 1888 « Le cas Wagner », « Le crépuscule des Idoles », « Nietzsche contre Wagner », « L'Antéchrist » et « Ecce homo ». Cinq œuvres écrites fiévreusement. C'est la dernière année de lucidité de Nietzsche. Le 3 janvier 1889, sur la place Carlo Alberto, à Turin, Nietzsche embrasse un cheval

l’amour, extrait de l’Etre et le Néant (1943). * L’art nous éloigne-t-il de la réalité? (par Mélisande Urcun- TS- travail effectué en 2 h sur table). * Nietzsche et la doctrine du libre arbitre (explication de texte extrait du Crépuscule des idoles)). * Quelques citations… * Robert Badinter : Intervention au Sénat sur le projet de loi interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public. * DOUTE ET LIBERTE CHEZ DESCARTES (en complément du cours sur la liberté)

oui alors la liberté= simple croyance. Quid de son mécanisme ? 2.Oui la liberté n’est qu’une illusion mais nécessaire : Nietzsche : «  De quelle volonté procède l’affirmation du libre-arbitre ou encore d’une libre-volonté ? », Texte, Le crépuscule des idoles, § 7 : « Erreur du libre arbitre. — Il ne nous reste aujourd’hui plus aucune espèce de compassion avec l’idée du « libre arbitre » : nous savons trop bien ce que c’est — le tour de force théologique le plus mal famé qu’il y ait, pour rendre

à la réalité de ce monde-ci (Cf. Schopenhauer et ce qu’il dit de l’hindouisme, § 63.). Il y a la un retournement complet de la réalité de ce monde-ci (retournement qu’a parfaitement saisi Nietzsche, par exemple Généalogie de la morale, Le crépuscule des idoles). La « vraie vie » n’est pas celle-ci. Mais parce que la vraie vie n’est pas donnée au croyant il a à s’en préoccuper : d’où cet activisme parfois totalement irrationnel. L’homme est totalement dépossédé de lui-même, ou plutôt en exil de sa

c'est prendre conscience que l'autre est plus que moi, c'est l'humanité absolue que j'ai en face de moi, un être infini. + / totalité /memeté / rapport au besoin au désir / face à face. 29. Comment expliquez-vous le sens du sous-titre du Crépuscule des idoles de Nietzsche : Comment philosopher à coup de marteau? Nietzsche dans son sous-titre fait référence au marteau du médecin. Ce marteau n'est pas celui que l'on croit. Le marteau sert à poser des questions, à casser les illusions. D'une part

concision dans la communication : email, SMS, Twitter, Facebook. On peut aussi leur proposer des lectures complémentaires d’auteurs modernes et contemporains qui ont gardé vivante la tradition de la maxime et de l’aphorisme, comme Nietzsche (Le Crépuscule des idoles) ou Cioran (De l’Inconvénient d’être né). [3] Autres thèmes possibles : la nature paradoxale de l´homme, la concupiscence, la légitimité du pouvoir royal... [4] Logiquement censurés, en partie, dans l’édition de Port-Royal. BIBLIOGRAPHIE