Crim 8 Janvier 2003 Complicité

.........................................8 Les sources internationales..................................................................................................................8 L'Union Européenne........................................................................................................................8 La question du Conseil de l'Europe.................................................................................................8 Le domaine d'application de la loi pénale

dispose que « Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrite ». Ce principe a été repris dans le Code pénal actuel à l’art. 111-2 qui dispose que « La loi détermine les crimes et délits et fixe les peines applicables à leurs auteurs. Le règlement détermine les contraventions et fixe dans les limites et selon les distinctions établies par la loi les peines applicables aux contrevenants ». Ce grand principe se retrouve aussi

atteinte aux valeurs communes de l'humanité toute entière. Cela permet de répondre à différentes questions telles que : qui est compétent pour exercer les poursuites ou juger ? Comment récolter les preuves ? Comment appréhender les auteurs de ces crimes ? Comment les juger et faire exécuter leurs peines ? L'objectif du droit pénal international est également de contribuer à la préservation de la paix et de la sécurité internationale. Par exemple l'affaire EICHMANN et sa capture, ayant posée de

HAZAN 8 mars 2010 LA PUBLICITE MENSONGERE Le délit de publicité trompeuse ou mensongère a été créé par la loi du 2 juillet 1963. Cette loi n’incriminait que les « allégations » mensongères, a été remplacée par l’article 44 de la loi Royer n°73-1193 du 27 décembre 1973. Ce texte, large et imprécis, a étendu le champ d’application du délit en visant également les « indications » et « les présentations » fausses ou de nature à induire en erreur. Suite à l’adoption de la loi du 3 janvier 2008 pour

contraventions qui sont des contraventions par imprudence ou des contraventions intentionnelles.Est-ce qu'on a des contraventions intentionnelles. Oui, des violences intentionnelles ayant entraînées une incapacité de travail d'une durée inférieure à 8 jours donc ici on est bien en présence de violences intentionnelles mais le dommage est tellement léger que le législateur a considéré qu’il ne fallait pas en faire un délit ou même un crime et qu’une qualification contraventionnelle suffisait, c'est

sanctionne les comportements les plus attentatoires à la société ( : meurtres, viol, vol, escroquerie, abus de biens sociaux…). Ces comportements s’appellent des infractions pénales, toutes les infractions pénales sont classées en trois catégories : les crimes, les délits, les contraventions. Le droit pénal sanctionne au moyen d’un type de sanction spécifique : la sanction pénale : les peines. Ces peines sont l’exclusivité du droit pénal. Il y a l’emprisonnement, l’amende, le travail d’intérêt général,

dommages-intérêts punitifs, ils ont un aspect dissuasif extrêmement efficace. Dans ce contexte, il faut s’interroger sur les demandes récurrentes de dépénalisation du droit des affaires. Les malversations ne plaident pas en sa faveur. Le rapport Coulon de janvier 2008 préconise une démarche orientée dans 3 directions : - promouvoir une nouvelle configuration du champ pénal en modifiant les modes de régulation applicable à l’activité, au contrôle et à la structure des entreprises - la construction d’un appareil

responsabilité entre le résultat et le comportement. La complicité Conditions préalables à l'acte de complicité: L'acte de complicité doit être antérieur ou concomitant, positif et causal. Positif: en principe on admet pas une complicité par abstention c'est pourquoi dans certains cas le législateur va ériger ces infractions en infractions autonome. Il y a un domaine particulier ou on va admettre une exception: véritable complicité par abstention: c'est la cas des professionnel: banquier,

cumul réel d’infraction mais que la jurisprudence a appliqué sous le terme de « concours ou cumul idéal d’infraction ». Un même fait peut réaliser 2 ou plusieurs infractions s’il réalise les éléments constitutifs de ces 2 ou plusieurs infractions. Ch. Crim, 1960, Arrêt de la Grenade : évènements (attentats) liés à la guerre d’Algérie mais sur le territoire métropolitain. Un individu jette une grenade à la terrasse d’un café pour assassiner les personnes présentes. Volonté de détruire l’établissement

génocide, de responsabilité pénale des personnes morales, de la suppression des peines privatives de liberté pour les contraventions. Inflation pénale : La tendance actuelle est assurément à l’inflation pénale notamment avec la Loi Sarkozy du 18 mars 2003 dite sur la sécurité intérieure ou la loi Perben II 9 mars 2004. En tous les cas, la majeure partie des pénalistes critiquent quasiment à l’unanimité l’inflation pénale actuelle au motif que le Droit pénal s’éloigne à chaque fois un peu plus de son