Crime d'agression

dernier quart du 19ème). Période dite scientifique (du dernier quart du 19ème à nos jours). Section I – La période des réactions instinctives Tout le système répressif repose sur une réaction réflexe de la société et des individus contre le crime. Réaction brutale qui revêt des formes diverses. On peut distinguer 2 types de réaction sociales : réaction privée des victimes (on se fait justice soi même = vengeance privée) et avec le renforcement du pouvoir central : réaction publique, période

de vengeance, or la vengeance n’est pas un sentiment noble, mais humain. On peut maitriser la vengeance, on peut contenir l’envie de se venger. Mais néanmoins le sentiment de vengeance existe et il peut perdurer, surtout lorsque l’on pense que le crime est resté impuni. La vengeance est totalement déraisonnée et elle peut conduire l’individu à faire n’importe quoi, à éliminer le délinquant, à lui faire payer très cher ce qu’il a fait. Le sentiment de vengeance n’est donc pas un beau sentiment.

d'entreprise responsable de certaines infraction qu'il n'a pas commis lui même A. L'auteur matériel. Article 121-4 du code pénal : « est auteur de l'infraction, la personne qui commet les faits incriminés, ou qui tente de les commettre, soit un crime ou un délit. » L'auteur commet les faits soit une infraction consommée ou tentée. Si l'on s'en tient à cette définition, l'auteur se définit par rapport à son rôle dans la réalisation matérielle de l'infraction et en principe il est très facile de

du Septentrion. FARRINGTON D., 1986, Age and crime, in TONRY M., MORRIS N., eds., Crime and Justice. An Annual Review of Research, Chicago, University of Chicago Press, vol. 7, p. 189-250. GALLAND O., 2002, Les jeunes, Paris, La Découverte, 6ème éd. GOTTFREDSON M. R., HIRSCHI T., 1990, A General Theory of Crime, Stanford, Stanford University Press. JUNGER-TAS J., MARSHALL H., 1999, The self-report methodology in crime research, in TONRY M., éd., Crime and Justice. An Annual Review of Research, Chicago

criminel c’est étudié le crime au sens large, ou le fait infractionnel. Comme la constaté Durkheim le crime s’observe dans la plupart des sociétés et qu’elle que soit les périodes concernée. L’étude du crime au sens large n’est pas le monopole des juristes cela a toujours intéressé les psychologues, les sociologues, les psychiatres et de plus en plus les scientifiques . En effet, le crime en lui-même apporte deux renseignements par rapport à cette nature humaine : - le crime nous renseigne sur

n'en va vraisemblablement pas de même pour la société française dans son ensemble.Cf. par exempl(...) 5 Cf. F. Dubet, "A propos de la violence et des jeunes", Cultures & Conflits, n° 6, été 1992, pp. 7-2(...) 6 Cf. T.P. Caldeira, City of Walls. Crime, Segregation and citizenship in Sao Paulo, Thèse de doctora(...) 7 M. Wieviorka, A. Peralva et als, La France raciste, Paris, Seuil, 1992. 8 "Le problème de la jeunesse se pose quand quelque chose ne va pas du côté de l'ordre des succession(...)

l’infraction vont immédiatement dépendre de nombreuses conséquences procédurales en fonction de la qualification de l’infraction telles que l’instruction, la garde à vue. L’enquête de flagrance ne pourra être utilisée que si l’infraction en question est un crime ou un délit. Pareillement, les circonstances de l’infraction vont avoir des incidences en matière procédurale, certaines infractions commises à l’encontre de mineurs vont connaître des règles spécifiques en matière de prescription de l’action publique

pénale. B) La concrétisation du concept Les théories ont d’abord été affirmées dans le cadre de l’église. Le code pénal de 1810 ne la consacre pas expressément mais elle découle de la rédaction de l’article 64 ancien qui disposait « il n’y a ni crime ni délit lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l’action ou qu’il a été contraint par une force à laquelle il n’a pas pu résister ». À travers ce texte, s’il y a défaut d’intelligence ou absence de liberté, l’individu sera irresponsable

l’ensemble des crimes commis par une personne. Chaque acte transgressif étant considéré comme un crime. Dans cette conception, pour qu’il y ait un crime, il faudra non seulement qu’il y ait la transgression d’une norme sociale mais également que cette transgression ait causé un trouble effectif dans la société c’est-à-dire un dommage. A partir du moment où l’acte n’a pas causé de dommage, il n’y a pas de crime. Donc, il y a toute une série d’infraction comme l’association de malfaiteurs qui selon cette

et physiologiques de l’homme criminel. - biologie criminelle: étudie le délinquant sous l’angle de la médecine - psychologie criminelle: étudie la mentalité du délinquant ainsi que les différentes étapes jusqu’au passage à l’infraction (chemin du crime). - psychiatrie criminelle: étudie le délinquant sous l’angle de la médecine mentale - psychanalyse criminelle: explore l’inconscient du délinquant Facteur sociaux - sociologie criminelle: étudie le milieu de vie du délinquant et son influence