Critique de la raison pure

faire l’expérience de sa propre conscience. L’homme n’a alors pas accès à ce que les hommes sont. La question de l’altérité se pose alors : à quoi est ce que l’on perçoit l’humanité des autres ? Kant complète la thèse de Descartes dans La critique de la raison pure, il y affirme que l’homme n’a conscience que des phénomènes, c’est à dire sur l’expérience sensible. L’homme crée l’altérité par l’acte de penser. Pour illustrer, il n’y a pas d’élèves à proprement parler s’il n’y a pas de professeurs

sera exposée sa principale théorie philosophique du hasard. Ses autres œuvres importantes sont : Recherches sur les principes mathématiques de la théorie des richesses (1838), Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique (1851), Revue sommaire des doctrines économiques (1877). De ce fait, il s’agira de voir quels ont été les apports d’Antoine Auguste Cournot en économie et en philosophie et pourquoi a-t-il été l’un des pionniers de l’analyse

Kant, Critique de la faculté de juger, Formation continue Académie de Nantes Critique de la faculté de juger de Kant FORMATION CONTINUE 2005-2006 © Académie de Nantes 2008 1 FORMATION CONTINUE 2005-2006 Lecture collégiale de la critique du jugement esthétique dans la Critique de la faculté de juger de Kant Première séance : jeudi 11 janvier 2006, 14 h – 17 h. Découpage des séances de formation : Bien entendu, ce découpage ne peut être respecté « à la lettre », et le déroulement

siècle des Lumières auxquelles il ne cessa de vouloir contribuer, peut s'expliquer par le fait qu'il le comprit radicalement comme « siècle de la critique à laquelle il faut que tout se soumette ». Car, en se proposant de faire de cette critique une science, afin précisément de conférer un statut scientifique à cette connaissance des fins de la raison humaine dont le passé de la philosophie lui léguait le projet sous le nom de métaphysique, il fut amené à procurer à la pensée un point d'appui tout

FORMATION CONTINUE 2005-2006 Lecture collégiale de la critique du jugement esthétique dans la Critique de la faculté de juger de Kant Première séance : jeudi 11 janvier 2006, 14 h – 17 h. Découpage des séances de formation : Bien entendu, ce découpage ne peut être respecté « à la lettre », et le déroulement effectif de la première séance illustre déjà cette salutaire « résistance du réel » à nos projets les plus ambitieux… Le schéma suivant est donc susceptible de quelques variations : Première

ieJugement et critique Peut-on juger objectivement les pratiques culturelles? Transition Peut-on néanmoins concevoir une possibilité de jugement de valeur concernant les produits de la culture ? Les civilisations se caractérisent par des formes d’art, des pratiques et des traditions religieuses, soumises à une évolution plus ou moins lente déterminée soit par les innovations techniques, pour ce qui est des arts, ou par les bouleversements de mœurs et les renversements idéologiques, pour les

les accuser ? Lumières au cœur d’une réflexion politique aujourd'hui  Positivement : ensemble de penseurs qui ont mis en place des valeurs : humanisme, esprit de tolérance, autonomie des consciences, forces créatrices du progrès.  Critiques : la tyrannie de la raison, individualisme forcené, rejet de toute autorité morale transcendante, défense pernicieuse du droit naturel, défense de la souveraineté populaire qui serait à l’origine des régimes totalitaires. I. La problématique du progrès La

refonder la métaphysique[2], mais Husserl entreprend le problème de façon totalement différente, car il ne sépare pas l’objet « en-soi » du sujet; il ne limite pas non plus la connaissance du sujet en raison de son statut; ni ne pose un sujet pur comme existant réellement. Il y a dans la phénoménologie, en raison du statut des essences (Eidos), la possibilité d’avoir une forme de transcendance dans l’immanence. Les essences sont chez Husserl le fond constitutif des choses empiriques, l’idéal qui construit

sa publication il était seulement agée de 20 ans. * L’Ingénu : Paru en 1767 parle du destin funeste de l'amoureuse qui est une pure victime de l'immoralité des puissants .L'œuvre tient du contes philosophique. * Micromega : Fut paru en 1752 à Berlin. C’est un conte philosophique et un ouvrages représentatif des Lumières car Il fait des critiques sociale, morales et philosophiques … * La princesse de Babylone : Cette œuvre peu connu est un conte philosophique de Voltaire

grec Lucien. L'auteur met en scène de façon allégorique et burlesque la déesse de la folie faisant sa propre éloge, qu'Érasme n'hésite pas à transformer en véritable satire. Dans un premier temps, l'humaniste prenant la voix de la Folie, clame une critique virulente des diverses professions et catégories sociales de son époque, puis après avoir argumenté sur les bienfaits de la folie, il termine par l'énonciation de ses véritables idéaux chrétiens. *** La narratrice annonce dès le début son désir