Critique Des Courtisans

mesuré et sage, bourgeois peu scrupuleux ayant une tendance avérée pour l'hypocrisie. Mais le dialogue qu i commence ici tourne vite au conflit. Nous étudierons d'abord les enjeux de la scène d'exposition d’une comédie, puis la critique de l’hypocrisie et des courtisans. En effet, c’est une scène d’exposition qui débute in médias res c’est-à-dire dans l’action entre les deux hommes, Alceste et Philinte. Le premier cherche le conflit alors que le second est bien plus conciliant

(conseil, peste, les titres royaux, le pré appartenant aux moines). Toutes les fables de La Fontaine parlent des hommes, mais dans celle-ci, tout est fait pour que la cible du fabuliste soit très nettement identifiée par le lecteur. Ce procédé rend la critique plus violente et l’ancre davantage dans la société et l’époque du fabuliste. Même si cette fable possède la même portée universelle que « Le Loup et l’Agneau », la référence à la cour de Louis XIV est ici évidente. Enfin, le thème de la peste, mis

l'absolutisme royal et de la cour. Mais, afin d'éviter la censure, dans ses critiques, Jean de la fontaine représente les hommes - notamment Louis XIV et ses courtisans - par des animaux. Nous nous sommes ainsi demandé en quoi La Fontaine fait il la satire du pouvoir royal et de ses courtisans. Dans une première partie, nous verrons donc la satire du pouvoir royal. Nous verrons par la suite, la satire de la cour et de ses courtisans enfin, nous finirons par étudier la structure de la fable. Un monarque

le lion (v. 39-51). Dénouement sous forme de coup de théâtre. II. Un récit à visée morale A. Les ridicules de la fable 1. La critique des courtisans Critique de l’hypocrisie de la cour : analyse de la rime antithétique « être »/ « paraître » (v. 21-20), relevé du champ lexical de la comédie (v. 1-23), images des courtisans en pantins (v. 21-23). 2. La critique du monarque Dénonciation de la vanité royale : « nous » de majesté ; tutoiement méprisant à l’égard du cerf ; usage de l’alexandrin

de ce recueil sont plus philosophiques, plus longues que celles du premier. La Fontaine est quelqu'un de poétique qui aime beaucoup la solitude; il n'invente pas le sujet de ses fables (sauf pour une vingtaine), il les adapte. Dans cette fable, il critique la vie à la cour qu'il a fréquenté et d'où il a rapporté quelques portraits. 1/ Un récit vif et varié a) C'est une fable relativement longue (comme souvent dans le second recueil) mais qui suit une progression claire en 2 temps : le deuil officiel

Comme les philosophes il apporte son opinion sur les gens, il cherche à soutenir le peuple et critique cette société du plus fort. 4) Le film critique la cour et les courtisans: Dans le film, la cour est représentée grâce au roi, aux nobles, aux ministres, aux généraux, au haut clergé (l’abbé de Vilecourt). Patrice Leconte adresse une critique directe à la cour et aux courtisans, il critique le fait de séduire par l’esprit et la beauté pour être prêt du roi et avoir une position de supériorité

pendant l’enterrement. Le Roi convoque donc ce-dernier et veut le mettre à mort pour outrage. Le cerf, pour éviter une mort certaine, le flatte en lui tenant un discours habile et mensonger sur la Reine et sauve ainsi sa vie par cette ruse. C'est une critique de la cour et du Roi. L'auteur intervient uniquement pour décrire la cour. Il y a hétérométrie dans cette fable avec une alternance d'octosyllabes et d'alexandrins. Plan: I. Les caractéristiques du récit II. Les discours du Lion et du Cerf

l'impossibilité de ce geste et atténue sa responsabilité. Son discours est court, le roi est peur critiqué, les animaux sont invités à se dénoncer à leur tour. b) Le renard Vers 34 à 42 (9 vers) Il n'avoue aucune faute mais en bon courtisan qu'il est, flatte le roi: «trop bon roi» (v. 34) en lui donnant raison. C'est un personnage très hypocrite qui montre que se faire dévorer par le roi est un honneur. C'est un courtisan rusé (symbole du renard). Il rappelle que les hommes sont déplaisants et méritent d'être

s’agit de la remarque 74. Dans ce texte La Bruyère fait la satire des mœurs de la Cour. Le texte décrit successivement le comportement de différents groupes d’individus et progresse de façon pyramidale, de la base vers le sommet, du peuple des courtisans vers le Roi. Le texte est surtout original par le point de vue adopté par la Bruyère. Il s’agit de celui d’un voyageur étranger qui

régime politique totalitaire et un pouvoir absolu détenu par une minorité de personnes : la Cour Royale. Elle est notamment composée de courtisans et de coquettes qui se disputaient, nous pouvons le supposer, fréquemment. Jean-Baptiste Poquelin dit Molière, avait pour habitude de critiquer les caractères et les mœurs de son temps. Beaucoup de ses écrits furent critiqués jusqu’à la censure notamment Dom Juan en 1665. Ces censures ruinèrent relativement Molière qui dû pour s’en sortir, dans la précipitation