Critique Du Libertinage

Le XVIII' siècle s'ouvre avec la mort de Louis XIV (J 715) et se clôt avec le sacre de Napoléon 1er, le 2 décembre 1804. Il est marqué par la régence de Philippe d'Orléans et le règne de Louis XV, périodes d'affirmation du libertinage. Mais du règne de Louis XVI à la Révolution française, la France vit une évolution en de nombreux domaines: la politique, avec le passage de la monarchie absolue à la république; les sciences, avec le développement de nouveaux savoirs et de nouvelles recherches; la

développer l’économie et créer de la vie. Donc on envoie les voleurs pour travailler, les prostituées pour satisfaire les colons… = servent de main d’œuvre gratuite. La Haute société plongent dans les plaisirs, notamment avec le développement du libertinage amoureux.3-Le contexte littéraireAu XVIIIème siècle se développe le mouvement des Lumières, les lecteurs s’intéressent aux personnages animés par leur passion leur sentiment. (l’encyclopédie définie ce qu’est la sensibilité)Après le roman de Lafayette

le pouvoir et l’esclavage. 1) Critique des mœurs nobles Voltaire utilise des noms (« Thunder-ten-tronckh ») et des personnages caricaturés (avec « Madame la baronne » et « Cunégonde »). Leur pouvoir est exagéré (avec le château de « Monsieur le baron ») La noblesse est également critiquée (lorsque la sœur de monsieur le baron refuse d’épouser un homme car « il n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers »). Le libertinage qu’ils exercent casse leur image noble dont

Juan Auteur : Molière Siècle : XVII Courant : classicisme ( 3 unités, bienséance et vraissemblance ). Type : argumentatif Registre : comique et ironique aussi polémique (dieu) Objectifs : plaire et instruire Thèmes : médecine, religion, libertinage, hiérarchie sociale. Dom Juan écrit en 1665 par Molière (Jean-Baptiste Poquelin), grand dramaturge du 17ème siècle. La pièce n’obéit pas aux règles de la dramaturgie classique. L’action se déroule en plus d’un jour, en plusieurs lieux, et d’ailleurs

de roman et de nouvelles qui ont une portée moralisatrice : comme l’écrivain, l’Abbé Prévost avec Manon Lescaut, il fit le portrait d’une femme qui sombre dans la débauche, afin de critiquer le libertinage au XVIIIe siècle : XVIIème : libertinage politique (revendication de la liberté de penser) XVIIème : libertinage amoureux (provocation par rapport aux valeur religieuses) La paysanne pervertie est un roman épistolaire ce qui permet à l’écrivain de déjouer la censure mais aussi de créer un effet

Commentaire : tirade, acte I, scène2 Plan du commentaire I- Le libertinage de Don juan et sa doctrine en amour a- L’éloge de l’inconstance b- Les conquêtes amoureuses c- Renversement des valeurs II- Don Juan, un brillant plaidoyer a- Structure de la tirade b- Langage aristocratique c- Supériorité de Don Juan Pour les modernes, le libertinage, depuis le XVIIIe siècle , évoque la licence de mœurs, la recherche effrénée du plaisir. Pour les contemporains de Molière, il s’agissait

ce qui finit, quelques faits généraux se laissent distinguer. Dans la littérature, comme ailleurs, les passions politiques et religieuses s'amortissent; l'amour de la paix, de l'ordre, de l'unité, impose la monarchie absolue. Un grand courant de libertinage, philosophique et mondain, apparaît, et, en face, un fort mouvement de renaissance catholique, qui trouve d'illustres représentants, particulièrement à Port-Royal. A l'Hôtel de Rambouillet se constitue une société polie, qui prépare un public et

Lecaractère volage de Dom Juan est dénoncé par sganarelle. C'est le valet qui fait la morale au maitre, Dom Juan se fâche. I- L'apologie du libertinage. A- Dom Juan défend une cause indéfendable Dom Juan s'oppose à sganarelleen reprenant sa thèse sous forme de question rhétorique, mais on a une réponse négative. Dom Juan met en avant le libertinage, il reconnaît qu'il multiplie les conquêtes amoureuse (l.45). Il s'oppose à l'opinion commune « Non,Non » (l.7). B- Arguments de Dom Juan.

temps « je n’ai qu’un instant pour t’expliquer mes vues »(L11) . Les didascalies aussi montre son enthousiasme a approcher Suzanne « S’avance » (L3), « Lui prend la main »(L13), « la rapproche de lui » (L18) mais celle-ci n’est pas du tout pour ce libertinage qui réduirait son mariage a néant donc elle refuse malgré les avances du Compte Almaviva « Je n’ecoute rien » (L12) réplique elle vivement . Elle parait sure de son refus d’adhérer a cette union qui serait mal vue d’autant plus que le compte est

des libertins et leurs victimes. Ce roman épistolaire est le chef d’œuvre de Choderlo de Laclos, tant militaire qu’écrivain qui s’inscrit dans le mouvement libertin de la fin du XVIIIème siècle. Cette fin de siècle place donc les héros au cœur du libertinage de mœurs. Dans la lettre 9, Madame de Volanges, évoque les deux protagonistes d’un combat inégal : Madame de Tourvel, modèle de vertu et le Vicomte de Valmont, libertin notoire. Tout en dressant un tableau très noir de Valmont, Madame de Volanges