Critique Du Libertinage

et l’aisance : Est-ce vertu? c’était pure ignorance. Voltaire, extrait de Le Mondain Axes de lecture : 1° L'apologie de l'âge de fer a) la critique de l'âge d'or b) l'éloge du luxe, des plaisirs et du progrès 2° Une nouvelle idée du bonheur PARTIE 1 : L'APOLOGIE DE L'AGE DE FER : A) La critique de l'âge d'or Voltaire commence par une évocation apparemment élogieuse de l'âge d'or. Des vers 1 à 4 il emploi des expressions positives sur cet âge, une anaphore

génie. Diderot développe ses pensées et théories dans son importante correspondnace avec sa maîtresse Sophie Volland, mais aussi dans le Rêve de d'Alembert qui met en scène son ami et Julie de Lespinasse, sa Lettre sur les Aveugles, et ses textes de critique d'art, regroupés dans les Salons. Les dérives de la sensiblerie Mais à force de transports, d'accès de mélancolie, de frénésie larmoyante, et d'extase (la Religieuse de Diderot démontre tous ces aspects), la sensibilité est galvaudée, parfois

(Gercourt et M. de Tourvel), et il ne faut pas s'étonner si Valmont prend leur place auprès de leur femme ou de leur fiancée L'objet de la réflexion de Laclos Laclos a écrit plusieurs essais sur l'éducation des femmes et s'y montre très critique sur la place qui leur est assignée par les hommes dans la société et sur la façon dont on les éduque. L'écho de cette préoccupation peut se retrouver dans le roman, en particulier dans le soin qu'a pris le romancier de nous présenter un échantillon

comme une comédie) Le sous titre oriente vers une autre interprétation : D.J. et sa destinée tragique . On peut donc parler de pièce baroque et de tragi-comédie . 3-Le libertinage idéale de DomJuan Don Juan se fait l'avocat d'une conception de la vie qu'on peut désigner, d'un terme de l'époque même de Molière, comme le libertinage philosophique, idéologie qu'on appellera plus tard la libre pensée. Cette doctrine consiste à affirmer les idées suivantes : - La seule réalité qui existe, c'est le monde

n’a nulle envie de les retrouver. Scène 2 : Dom Juan et Sganarelle discutent de la manière de vivre de Dom Juan. Ce dernier fait l’apologie d’une vie de plaisir, sans contrainte où tout est possible. Le valet quant à lui, dessine prudemment une critique de ce mode de vie comme allant à l’encontre de la morale et de la religion. Dom Juan coupe court à cette discussion et explique à Sganarelle qu’ils sont arrivés dans cette nouvelle ville parce qu’une jeune promise lui plait. Scène 3 : Elvire (femme

suivant,le mouvement libertin => influence des idées des philosophes des Lumières ( rationalisme, observation, expérimenta°) dans libertinage. Roman épistolaire composé des lettres que s’échangent 13 personnages dont les 2 personnages principaux , la Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont, issus de aristocratie, mènent les intrigues en dignes représentants du libertinage, version masculine et féminine. Ces lettres font état, tt en les construisant, des liaisons ou relations sociales entre les

mariera avec vous tant que vous voudrez.". III,2 : "Va, va jure un peu, il n'y a pas de mal.". 3eme role: Sganarelle critique son maître Le valet critique sans limites son maître, aucuns termes ne semblent assez forts pour le définir : sa hargne s'accumule dans des emportements lourds d'insultes. Face à la tyrannie de son maître, Sganarelle le critique très vivement, souvent lorsqu'il n'est pas là. Ainsi, il le qualifie, dés la scène 1 de l'acte I (p. 12), de « pourceau d' Epicure

véritable philosophe des Lumières. Ce qu'elle reproche aux femmes c'est ce que les philosophes reprochaient au vulgaire: leurs principes à elles sont « donnés au hasard » c'est-à-dire sans méthode: « reçues sans examen » c'est-à-dire sans esprit critique, sans observation et « suivis par habitude » c'est-à-dire sans réflexion ce qui les transforme en automate. Merteuil au contraire fait preuve de raison, sa force réside dans l'observation de la réalité. Ses principes sont « le fruit de ses profondes

justice 2)l'exploitation de l'homme par l'homme condition féminine et esclavage -prostitution -esclaves traités plus durement que les animaux (nègre de Surinam) III- insuffisances de la justice guerres massacres "code Noir" Inquisition Critiques et propositions de société dans Candide de Voltaire Par Céline Roumégoux - publié le lundi 9 janvier 2012 à 18:00 dans synthèse question d’ensemble   Synthèse de Candide    Le XVIIIe siècle est un siècle de contestation sociale, politique

l'optimiste, de Voltaire, on retrouve l’esprit critique du siècle des Lumières. Critique de l’optimiste métaphysique de Leibnitz, débat des idées de bonheur, malheur, providence, critique avec une accumulation des faits qui lui apporte un démenti. Le mal vient des hommes, ils sont cruels, intolérants… Le mal est dans la nature (séisme, maladie), le mal est dans les institutions, surtout religieuses. Critique de la religion, satire des prêtres : le libertinage de frère Giroflée, le jésuite, l’abbé Périgourdin