Croisée d'ogives

édifices religieux comme des églises, des cathédrales, des abbayes, ou des cloîtres, avec des sculptures (statues, tympans) et de nombreux vitraux. Les églises sont orientées vers l’est. Les églises gothiques se reconnaissent grâce à leur voutes en croisée d’ogives qui reposent sur des piliers sculptés. Il comportait de nombreux vitraux qui décorent la cathédrale, éduquant sur la bible les nombreux analphabètes. Le style gothique se reconnaît par la forme des ouvertures (partie supérieure en ogive), des

d’une cathédrale (technique de la croisée d’ogive, sculptures, décor avec vitraux, dimensions). Carte de la diffusion de l’art roman et de l’art gothique. Exercice : compléter un tableau qui compare l’art roman et l’art gothique. ART ROMAN ART GOTHIQUE Date Entre l’an mil et le milieu du XIIe siècle A la fin du XIIe siècle Dimensions Eglise petite et basse Cathédrale haute et vaste Technique de construction Voûte en berceau, arc doubleau Voûte en croisée d’ogive Ouvertures Peu nombreuses et étroites

de Cluny sont richement décorées car rien n'est trop beau pour Dieu. Les abbayes de Cîteaux sont très dépouillées pour un retour à l'humilité et à la vraie foi.  III.3. L'art gothique (XII°-XV° siècles) La caractéristique principale est la croisée d'ogives qui permet de résoudre le problème de poids. Par cette technique, la poussée de l'édifice repose sur quatre piliers intérieurs, soutenus à l'extérieur par un arc-boutant et un contrefort. Les arcs sont brisés. (En fait, on sait qu'il y a aussi

messes en latin et sont pour la plupart analphabètes. Ainsi les sculptures du tympan, les fresques intérieures et les vitraux représentent-ils des épisodes bibliques. Au milieu du XII ème siècle, une évolution technique essentielle, la voûte en croisée d’ogives, permet de ne plus faire supporter le poids par les murs mais par des piliers : naissent ainsi les cathédrales gothiques – de cathedra : le siège de l’évêque- beaucoup plus grandes, très lumineuses grâce à de larges ouvertures ornées de vastes

Siècle. Le chœur est plus ancien que la nef au moins pour les murs. L’autre nef a été reconstruite après son effondrement avec les matériaux d’origine ce qui permet de dater du XVIème ces deux travées du coté de la façade. Leurs voûtes sont croisées d’ogives à chevets plats et plus anciens [fin XIVème début XVème]. Les lignes horizontales et verticales de l’édifice sont simples et structurées. La lumière rare est rouge grâce aux vitraux monochromes. Les peintures datent du XIVème Siècle. [pic][pic][pic][pic][pic][pic][pic][pic]

Il y a aussi un trône royal, surélevé et placé centre de la nef. Le plan basilical est celui de la nef à trois vaisseaux partagés par des colonnes de style classique à chapiteaux corinthiens. Le chœur à trois absides se fond avec le transept à la croisée duquel se dresse, un portique contenat quatre arcades, soutenu par de hautes tablettes portées par des colonnes, et surmonté d'une coupole. C’est donc de l’art roman. L’Eglise et le cloître de Martorana : L'église de La Martorana fut construite

Europe, ce qui est transposé de par la somptuosité de l’architecture, des cycles de verrières et de la sculpture. Les statues des 12 apôtres se situent à l’origine dans la chapelle haute, au niveau des colonnes des retombées de la voute sur croisée d’ogives. Ces sculptures sont attribuées à 3 ateliers différents par les chercheurs, d’après l’étude stylistique, que nous verrons plus tard. Ce sont des rondes bosses en calcaire lutécien, qui est une roche calcaire que l’on trouve dans la région parisienne

soit construite dans le style de l’époque, à savoir l’art gothique. Il est bon de préciser que l’art gothique est un style architectural qui se veut en rupture avec l’art roman. Ses principales caractéristiques sont l'arc brisé et la voûte sur croisée d'ogives. Cela donne un effet de verticalité important, un effet de hauteur considérable. En effet, pour élever les nefs toujours plus haut, il a fallu améliorer la technique de l'arc-boutant et pour augmenter la lumière et évider les murs, l'usage de

de 1348. Edifiée en seulement 4 ans, La Grande Chapelle, aussi appelée Chapelle Clémentine, est dédiée aux apôtres Pierre et Paul. Une nef de 52 mètres de long sur 15 mètres de large et 20 mètres de Haut est couverte de sept travées voûtées d’ogives. Elle est éclairée par de nombreuses fenêtres fournies de Vitraux commandés à un maître verrier avignonnais. Des tentures vertes semées de roses rouges sont suspendues sur les murs ; des tapis et des nattes recouvrent les dalles du sol. Les cardinaux

tombeau est ensuite installé au centre, avant l’installation d’un cercueil en or après sa canonisation, puis sa fonte pour financer la guerre de Cent Ans). *On voit bien l’évolution du style gothique : chœur transept croisée d’ogives épaisse et massive fine et légère colonnes monolithiques et courtes haute pile composée la hauteur de la nef reste ici modeste : 28 mètres, contre 35 à Notre Dame, 42 à Amiens et 48 à Beauvais. *Les gisants de Saint Louis sont rangés