Croyance Ignorance

sélectionnées par l'environnement. Ici la rationalité scientifique vient mettre en question un dogme, un point de doctrine religieuse fondamental. La religion peut-elle être l'objet d'une critique rationnelle? La religion peut se définir comme ensemble de croyances – dogmes – et de rites reliant l'homme à une ou plusieurs divinités. Elle contient donc une dimension subjective, celle de la foi, le sentiment qui nous met en contact avec la divinité et nous fait adhérer à sa parole, et une dimension objective

acquérir la sagesse autrement. Il est normal d'imposer au public (mélange hétéroclite d'une minorité de sages et d'une majorité de sots) de se soumettre à ce que les hommes les plus sages estiments nécessaire pour garantir leur jugement. Les croyances pour lesquelles nous avons le plus de garantie n'ont comme sauvegarde qu'une invitation constante au monde entier de les prouver non fondées. Si le défi n'est pas relevé, rien n'aura été négligé pour donner à la vérité une chance de nous atteindre

lésion n’est pas citée donc n’est pas contrairement à ce que certains auteurs prétendent une condition de validité) L’ERREUR Notion d’erreur : l’erreur d’une manière générale peut être définie comme une représentation inexacte de la réalité ; une croyance contraire à la réalité Définition : l’erreur est la représentation inexacte de l’objet d’une obligation ayant pour effet de priver de cause l’engagement de l’errans.

fois charmés et séduits par leurs promesses, mais aussi remplis de craintes non formulées, et attachés à leur croyances comme au mat du bateau sans le soutien duquel, en effet ils craindraient de se perdre. Mais le mat ne représente ni les préjugés ni les superstitions mais la sagesse, la raison scientifique La science n'est qu'une partie du savoir L'homme a tendance a préféré la croyance familière, quitte à prôner l'obscurantisme à une vérité intempestive qui remet en cause les précédentes façons

sais pas la réponse avec l’ironie socratique socrate met son interlocuteur en confiance se qui favorise un libre échange dans le quelle je ne vais pas sensuré mes réponse ; de cette manière je peut mesuré l’étandu de mon savoir et l’étandu de mon ignorance la condamnation à mort de Socrate . accusé de corrompre la jeunesse et d’impiété envers les dieux une lois a été promulgué interdisant d’enseigné dans la rue (cette lois été faite contre socrate ) socrate a était condamné a boire un pouson

science n'énonce rien qui ne soit prouvé, démontré c'est-à-dire vérifié et même s'il ne m'est pas possible de vérifier par moi-même que la terre tourne autour du soleil ou que la somme des angles d'un triangle est égale à deux droits (à cause de mon ignorance en matière de géométrie), ma confiance en la science n'est pas absurde; elle n'est pas le résultat d'un manque de sérieux. J'ai de bonnes raisons de ne pas douter; c'est plutôt la volonté de douter de ce qui est objectivement fondé qui pourrait ici

cette idée : « une grande perfection du philosophe, c'est que lorsqu'il n'a point de motif pour juger, il sait demeurer indéterminé » (l.17-18). Contrairement au philosophe qui, modestement, avoue son ignorance et ses doutes, l’homme commun est toujours persuadé de détenir la vérité. Il prend ses croyances, fruit de son imagination pour des vérités : tel est le sens de la première phrase du paragraphe : le défaut à éviter, c’est de croire à des vérités toutes faites qui sont des vérités imaginaires :

superstitieux mais est persuadé du contraire. Autrement dit, il ne suffit pas d’être sincèrement convaincu de la vérité d’une idée pour que cela soit une garantie suffisante. Ce phénomène illusoire nous pousse à nous demander si toute notre ignorance ne tient pas, justement, à cette certitude qui sonne comme vraie pour celui qui la pense. Pouvons-nous vraiment affirmer sans réserve la vérité ou la fausseté de quelque chose ? La pensée sceptique a tourné sa critique

relativisme culturel ainsi que de tolérance des Amérindiens, très proche de la nature. Au contraire, les Européens, définis comme « civilisés », ne connaissent pas toujours la vérité, preuve qu'une vie naturelle ne nous amène pas forcément à une ignorance totale. C'est le mythe du bon sauvage. Ensuite, nous pouvons voir que la société actuelle présente des inégalités entre les individus. Rousseau, par exemple, regrette que le progrès technique et matériel rime avec le progrès des inégalités. Ce dernier

raison vient du latin « ratio » qui signifie le calcul. Ainsi, raisonner c’est enchaîner des jugements de manière cohérente. En ce sens, la raison est une capacité qui se distingue des activités mentales qui ne font l’objet d’aucun examen (comme la croyance ou l’imagination) et s’oppose à toute forme d’incohérence comme la folie. La raison en tant que capacité permet de distinguer le vrai du faux, le réel de l’illusoire et donc d’accéder au principe d’ « intelligibilité des phénomènes ». Toutefois