Croyance Ignorance

c’est une jeune fille naïve et ignorante. Dans sa lettre nous voyions bien la simplicité et la tendresse d’Agnès pour exprimer son amour à Horace. d) Agnès est une jeune fille sans éducation, donc naïve et simple. Innocente et douce à lafois, son ignorance piège Arnolphe qui en l’éduquant de cette façon l’a poussée vers un autre homme. Un personnage moteur de l’intrigue 1) Elle apparait dans 8 scènes et toujours avec Arnolphe et plusieurs fois avec Alain et Georgette. Elle est toujours encadrée

d’une chose, de la juger justement. Cette idée préconçue nous empêche d’être libre et de consulter notre raison, afin d’avoir une réflexion personnelle. Ce sont des obstacles à la vérité, car ils permettent à des gens de vivre plus heureux dans leur ignorance et leurs illusions. Se complaire dans l’ignorance est encore plus condamnable que d’accepter des idées reçues. Cela ne justifie pas la paresse intellectuelle, qui s’oppose en tout point à la réflexion philosophique. Il n’y a plus de liberté de penser

responsable de cette ignorance ? Dans cette troisième et dernière partie du texte, l’auteur fait apparaître une variabilité dans la notion d’ignorance. En effet, jusque maintenant, il présentait l’ignorance comme une simple incapacité à savoir pourquoi l’individu faisait une certaine action, sans considérer la raison à l’origine de cette ignorance. Or ici par le morceau de phrase « nous punissons quelqu’un pour son ignorance même, si nous le tenons pour responsable de son ignorance » il montre que si

ce drôle de personnage fait pour soutenir ses mouvements et ses gestes. Nous pouvons insister encore plus sur les répliques des personnages présents sur scène, elles sont presque toutes comique ; en particuliers celle prononcée par MJ. Par ignorance, il nomme mal l’air que vient lui composer Maitre de musique : «  Cette drôlerie » ; et par ridicule, il ne parle durant une bonne partie de la scène que de son habille. Certains répliques donnent à voir le caractère colérique de ce personnage :

en 3 points, un premier paragraphe qui va jusqu'à la ligne 8 et dans lequel il insiste sur l'évolution de l'étonnement philosophique. Un second, dans lequel il met en relation l'étonnement avec l'ignorance tout en insistant sur la nature de cette ignorance, Et enfin un troisième paragraphe qui commence ligne 14, où il s'agit plus particulièrement de mettre l'accent sur le caractère principal de l'essence philosophique. La racine de la philosophie est l'étonnement, il n'y a pas de de philosophie

peut-être joué. Mais il est impossible de dire ce que c’est. Le fait de ne pas savoir est tragique en lui-même, plus tragique que si les responsabilités étaient clairement définies, et peut-être n’y a-t-il rien d’autre dans le tragique que cette ignorance ». Introduction Tragédie au XVIIème : « d’illustrations infortunes ». Les définition métaphysiques, qui convoquent une transcendance, ne sont attestées que postérieurement. Le dictionnaire de l’Académie 1664 évoque le tragique comme « action mystérieuse »

les apparences sont toujours trompeuses et seule l’acquisition de sagesse nous permettrons de savoir ce qu’elle dissimule. L’homme étant naïf par nature, il lui est impossible de vivre dans la réalité, il vit dans un monde appart dans une parfaite ignorance .

adjectif qui désigne tout ce qui n’est pas conscient. C’est de la seconde acceptation qu’il est question ici. Il s’agit de savoir de quoi n’a pas conscience celui qui n’a pas conscience. Ce terme dans le langage courant ne renvoie-t-il pas à une ignorance, à un manque ? Mais ce manque n’est-il pas blâmable uniquement quand il est possible à combler ? Ne reproche-t-on pas en effet aux individus inconscients de ne pas faire d’efforts ? N’est-ce pas ici l’obligation pour tous de réfléchir sur soi et

qu'ils seront arrivés à la connaissance mais justement parce qu'ils ne considéreront jamais qu'ils y sont arrivé. Comme si ils faisaient une quête sans fin. D'autres, eux, au fur et à mesure qu'ils élargiront leur savoir se rendront compte de leur ignorance, à la manière de Socrate qui disait qu'il ne savait qu'une chose, c'est qu'il ne savait rien[1]. Assumer qu'on n'est sûr de rien n'est pas facile pour tout le monde et si on a tendance à avoir les idées sombres il est facile de tomber dans la dépression

acquises et intouchables. La connaissance de l'Histoire semble aujourd'hui nécessaire, et paradoxalement, l'ignorance, c'est à dire le non savoir de celle-ci, semble être la cause des erreurs humaines. Cela nous amène à nous demander si cette ignorance du passé est un obstacle au futur ou encore si la connaissance du passé est une condition pour que nous ne répétions pas les mêmes erreurs ? Il semble que l'Histoire de l'Humanité et même l'Histoire de chacun soit particulièrement importante dans