Croyance Universelle

est « objective ». C’est ce que Bergson nomme « religion statique ». Cette distinction nous permet de distinguer les problèmes fondamentaux posés par toute religion: -le problème de la foi: et d’abords celui de la vérité, la foi religieuse est une croyance inconditionnelle, absolue en des idées métaphysiques dont rien ne prouve la vérité, en effet croire n’est pas savoir et pourtant le croyant éprouve de l’intérieur la certitude subjective de la vérité de sa foi. Croire n’est pas savoir; c’est croire

ce qu'il est possible cependant de définir la religion en tant que telle ? Pouvons nous caractériser la nature de la religion ? Ne peut-on pas dire notamment qu'elles ont toutes un point commun dans la mesure où elles reposent sur un sentiment (la croyance ou parfois la foi) et non pas sur la raison ? Mais, si tel est le cas, n'y a t'il pas cependant un moyen de concilier ou du moins de faire dialoguer la foi et la raison ? I. Nature de la religion A. La religion comme administration du sacré

La Science suppose-t-elle une forme de croyance ? Les corps de petite masse sont attirés par les corps de masses plus importantes (loi de Newton). La connaissance scientifique exige un effort intellectuel, constituée de théorie, elle est une connaissance rigoureuse vérifiable par la démonstration et par l’expérience. Les théories ont des connaissances rigoureuses vérifiables par la démonstration de l’expérience. Les théories ont des connaissances médiate et abstraite, c’est-à-dire constituée

pour mieux le critiquer ou pour s'en défendre. Alain part d'un constat simple mais fécond qui consiste à dire que le fanatisme (donner définition sans anticiper sur le reste du texte) est un phénomène universel, attitude qui consiste à adhérer de tout son être une idéologie ou système de croyances (sans distance critique). Il précise que ce n'est pas un phénomène contemporain (nostalgie du temps passé). Nulle époque, nulle culture n'y a échappé, comme si il était sécrété par les hommes, comme les

fondement de l'accord universel des esprits. La question est donc de savoir si nous avons la responsabilité, l'obligation de réfléchir, analyser, raisonner afin de comprendre le réel. Spontanément, la recherche de la vérité ne tombe pas sous le sens. En effet, notre quotidien est majoritairement guidé par l'utile, le vraisemblable, les croyances dites « vraies ». La quête de la vérité ne semble pas nécessaire. Cependant, si ce n'est en cherchant, comment peut-on s'assurer qu'une croyance est vraie ? N'y

geste, conduite, "Religion": ensemble solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées. La religion se définit comme un ensemble de croyances officialisées par des codes et une ligne de conduite à tenir pour honorer le Dieu ou l’être spirituel supérieur. Cette reconnaissance d’un dieu passe ainsi par sa vénération. Les hommes ont donc défini une multitude de rites et tout un ensemble de comportements symbolisant la croyance en un dieu. On peut distinguer la religion comme

remettre en cause cette croyance? Va falloir prendre conscience des causes qui nous détermine. ● Étude de la comparaison entre la pierre en mouvement et l'homme. Poursuite du mouvement de la pierre = contrainte car effet engendré par une cause extérieure (main). La causalité à l’œuvre dans le mouvement de la pierre se retrouve dans toutes les choses créées: mouvement n'est qu'un cas particulier d'un déterminisme universel / auquel rien n'échappe. ↔ validité universelle du principe de causalité

une forme inventée par l’homme afin de répondre aux questions sans réponses, une forme non rationnelle pour se satisfaire, forme qui impose la présence d’un Dieu, un être transcendant qui aurait réponse a tout. De la religion il en ressortirait une croyance dévouée c'est-à-dire une adhésion non rationnelle qui donnerait comme explication l’exploit d’une divinité. L’homme a donc essayé d’expliquer son ignorance par une idée irrationnelle qui lui permettait de se sortir de l’erreur et de l’obscurité.

vulgaire par Érasme en 1516). Ainsi, cet humanisme vise à diffuser plus clairement le patrimoine culturel, y compris le message religieux. Cependant l’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance de son choix. Les notions de liberté (ce que l'on appelle le « libre arbitre »), de tolérance, d’indépendance, d’ouverture et de curiosité sont de ce fait indissociables de la théorie humaniste classique. Par extension, on désigne par « humanisme

INTRODUCTION On a coutume de définir l'opinion comme une croyance peu fiable, incertaine, variable selon les individus, les classes sociales et les cultures. Elles se valent toutes, elles sont toutes équivalentes parce qu'elles sont toutes incertaines. DEVELOPPEMENT Prise de position Dieu, les lois, mon avis. Argument I. L'équivalence des opinions A. La diversité des opinions un premier constat s'impose : diverses, variables et opposées. Pascal, dans les Pensées : « Vérité au delà des