Cruauté

« regrette », comme le souligne le pronom personnel « nous » qui inclut Montaigne et le lecteur, que les européens se soient servis « de leur ignorance » pour les pervertir et leur inculquer les vices « de la trahison, la luxure, la cupidité et la cruauté » alors que les civilisations précolombiennes étaient magnifiques comme il l’indique dans son deuxième paragraphe. Il dénonce aussi la violence de cette colonisation à travers les expressions « villes rasées ; nations exterminées » tout ca pour « la

personnages principaux : Patrice, le beau, Isabelle-Marie, la laide, et Louise, la mère qui n’en a que pour la beauté de son fils. Isabelle-Marie voue une jalousie cette relation entre Patrice et Louise. Cela en fait-il une figure de cruauté dans le roman? En effet, cette cruauté va pousser cette dernière va réduire Patrice qu’à un simple idiot. Elle tente de se venger en le rendant laid. Elle finit aussi par détruire Louise qui incarne tout le culte de la beauté La belle bête, qui est le titre du roman

l’avarice de Madame Lefèvre, une normande. Comment la construction de la nouvelle rend-t-elle vivante et fait-elle ressortir la cruauté des hommes? Nous verrons d’abord la construction efficace du récit avec le récit réaliste, le récit rythmé avec les effets d’attente et d’accélération et le récit vivant puis nous verrons comment Madame Lefèvre est un exemple de la cruauté humaine avec le portrait de la femme avare, la paysanne qui veut paraître bourgeoise et pour finir nous nous demanderons si cette

prendre conscience de l'inhumanité de l'esclavage de par la cruauté qui lui est propre. Voltaire dénonce une pratique qui met en péril la dignité de l'être humain, et réjouit en cela un courant de son époque.Nous verrons comment Voltaire dénonce l'esclavage et l'optimisme. Dans un premier temps nous montrerons que ce texte s'inscrit dans le genre du conte philosophique. Puis dans un deuxième temps une dénonciation de l'esclavage et de sa cruauté. I- Un conte philosophique. a) les éléments du

l'église. Il est écrit ainsi pour montrer le contraste qu'il y a entre ces deux thèmes. Il y a ensuite plusieurs métaphore, au vers 1 « crachats rouge de la mitraille », elle parle du sang qui gicle à cause des coups de feu répétés, cela dénonce la cruauté et le dégout de la bataille. Puis il y a des hyperboles pour accentuer tout ces faits et répercussions comme « en masse », « tas fumant » ou encore « l'infini du ciel bleu ». Tout cela pour montrer l'immensité et l'effet démesurée de la guerre,

fonction physique, Becket place une forte symbolique pour chaque objet de Fin de partie. Ils expriment parfaitement les rapports entre les personnages, qui relèvent parfois de la cruauté. La séparation des poubelles dit l’éloignement des deux êtres y vivant pourtant si proches. Ici la cruauté est celle de Hamm. Cette cruauté est remise en évidence lorsqu’il se sert de la dragée pour faire chanter Nagg pour qu’il écoute son histoire. Les poubelles mettent en évidence la dépendance de Nagg et Nell envers

soulignée par le lien temporel " quand " qui empêche toute indignation : → Quelque soit la situation il n'y a pas d'émotion → Cache la situation pathétique B. Le ton de la neutralité de la neutralité permet de mieux faire éprouver au lecteur la cruauté du sort réservé à un esclave. Le narrateur externe se rapproche de Candide (" pauvre ") Au discours direct, Candide exprime un état horrible : l'esclave inspire la pitié. Sobriété du discours +situation qui souligne la dignité de l'esclave (celui-ci

la réception du spectacle, qui comprend le contexte et la subjectivité du spectateur. Le théâtre est la représentation jouée d’une situation conçue pour agir sur les émotions et susciter une réflexion. Le sujet premier du théâtre est la cruauté générée par un conflit. Le spectateur est invité à comprendre ou se révolter, à réfléchir, admirer ou blâmer. Le sujet peut être universel, actuel ou le plus souvent les deux. L’aboutissement du travail est la représentation. Elle repose sur

rejetée ensuite», c'est-à-dire qui l'ont encouragée, contre son gré, à commettre un acte qu'ils méprisent maintenant.  Le terme «sacrifiée» porte alors tout son sens, toute la cruauté et la bassesse des gens qui ont commis le geste, donnant alors une pleine signification à l'antithèse ironique des «gredins honnêtes».  La cruauté de la comparaison de Boule de Suif à «une chose malpropre et inutile» est également renforcée par les images précédentes et donne une entière signification au nom même de la

passer pour un monde idéal, voire un paradis terrestre. Cependant, Montaigne n’omet pas les défauts de ce peuple. D’abord son côté sanguinaire, en nous faisant part de sa cruauté voire de son inhumanité, en nous détaillant même un épisode cannibale. Puis il met en avant l’ignorance qui causera la perte des indigènes.Pour montrer la cruauté des indigènes, Montaigne raconte au lecteur comment ceux-ci font la guerre, en précisant qu’ils attaquent les autres peuples qui habitent « au – delà de leurs montagnes