Cruauté

2014-2015) SEQUENCE 2 : DE LA REMISE EN QUESTION DE L’HUMANITE DE L’ETRE (Objet d’étude : la question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVI ème siècle à nos jours.) Problématique : comment les écrivains parviennent-ils à dénoncer la cruauté de l’homme tout en résistant à sa déshumanisation ? « Chaque homme porte en lui la forme entière de l’humaine condition. » Montaigne, Essais, (III,2), 1580. « J’ai délibérément recouru au langage sobre et posé du témoin plutôt qu’au pathétique de

comporte 4 quatrains composés d’alexandrins avec des rimes croisées. Les 3 premières strophes concernent l’albatros tandis que la dernière est dédiée au poète. Ensuite, nous analyserons les principaux thèmes qui sont: l’albatros, prince de l’azur et la cruauté humaine et enfin, la figure du poète. I) L’albatros, prince de l’azur. L’albatros est dans ce poème vu comme un oiseau majestueux. On le voit d’ailleurs par l’emploi de, je cite “vastes oiseaux de mer” (vers

précédent, Cicéron dans ses Tusculanes soulignait encore le courage des gladiateurs. Mais au début de l’Empire, sous l’influence des religions plus pacifiques venues d’Orient (christianisme, culte d’Isis), les intellectuels commencent à souligner la cruauté de ces sacrifices humains déguisés. Il s’agissait en fait de deux sortes de combats assez différents : - des duels où des condamnés de droit commun devaient s’entretuer en exécution d’une décision de justice. Le châtiment était public. Sénèque

violents, les aspects de leurs enfances, et que tous les deux veulent l’amour. À cause de la laideur, souvent il y a des problèmes sociaux et psychologiques parmi les gens qui sont laids. Les gens qui sont maudit de la laideur souffrissent de la cruauté de société. Malheureusement la plupart du temps, cette détresse devient la colère. Alors, selon les comportements violents du Le monstre et d’Erik, il semble que l’idée soit vraie. Par exemple, à la fin du roman nous remarquons que Le monstre a bien

lecteur peut aussi apprécier l'évolution du personnage principal et sa prise de conscience par rapport aux relations blancs-noirs en Afrique. Cette analyse va se concentrer sur l'évolution de Toundi et sa compréhension du monde qui l'entoure. a cruauté de son père.             L'évolution du personnage principal est flagrante lorsque l'on se penche sur le vocabulaire qu'il emploie. Dés le début du livre, le lecteur est frappé par la différence de registre entre l'introduction du texte qui se trouve

témoignages parle à la place des disparus qui n'ont pas pu témoigner. Argumentation: texte 1: Dans le texte de Michel Del Castillo, l'auteur parle de la cruauté des hommes et des enfants en vers les prisonniers qui furent affectés aux travaux de déblayage. Les enfants qui habituellement sont synonyme d’innocence et de pureté font preuve de cruauté dans le texte car ils lancent des pierres aux prisonniers et des boules de neiges à Tanguy. Les kapos aussi se montrent cruels car ils assistent à la scène

démontre sa cruauté, mais il ne savait rien du sentiment pareil, peut être ce garçon ne comprenait pas ce qu'il faisait mais il est évident que c'était une vengeance par rapport à sa mère. C'est pourquoi l'auteur emploie la mythologie et les sujets de Bible par exemple «la fameuse langue bifide — une pointe pour Eve, une pointe pour Adam», «flasque bâton de Moïse» en décrivant la mort du serpent qui représente sa mère. Dans ce texte il y a 4 champs lexicaux : la mort, la haine, la cruauté et la beauté

à travers son personnage Candide, terrorisé par la guerre, l'abomination et la cruauté dont sont capables les hommes ( les soldats ici ) quand ils brûlent, violent et tuent les personnes des villages voisins ( " un village voisin ; il était en cendres" " regardaient leurs femmes égorgées [...] criaient qu'on achevât de leur donner la mort."). On voit ici un champs lexical qui exprime la souffrance, la mort et la cruauté humaine (" leurs femmes égorgées qui tenaient leur enfant à leurs mamelles sanglantes"

peu décrits ; Baudelaire insiste sur la notion d’ensemble « les hommes, l’équipage » : groupe qui assure le service sur le bateau .Emploi de l’indéfini : »l’un,l’autre » :ils sont interchangeables et n’ont pas de personnalité différenciée :seule la cruauté est mise en relief comme si elle était constitutive de l’homme puisqu’ils sont dépeints dans la capture de l’oiseau et caractérisés par « la pipe » désignée par le terme vulgaire de brûle gueule :=> peinture d’un monde grossier,trivial et fruste.

1. L. 1 à 2 : sorte d’intro· Apostrophe initiale pour capter l’attention « mes enfants » = paternalisme ; impératif /tournure négative « Ne m’interrompez point » : impose le silence, autorité· Prétérition « irrités de la cruauté de leurs maîtres » : pour capter l’attention· Analyser les pronoms « je » (Trivelin) / « nous » (Trivelin, les habitants de l’île) / « vous » (Arlequin, Iphicrate) 2. L. 2 à 6 : la 1ère loi = le passé = une loi très dure·