Culte de la Raison et de l'Être suprême

Révolution, la cathédrale est transformée en Temple de la Raison avant de devenir un entrepôt ! Mais en 1804, Napoléon, qui l'a rendu au culte, s'y fait sacrer ! Au cœur de quartier historique de Paris : son imposante architecture se reflète dans la Seine. Son architecture emblématique n’est que l’exhibition de prouesses techniques, mais relève aussi d’une dimension beaucoup plus religieuse et politique du monument. Temple de la Raison : La Commune de Paris décide ainsi de faire participer la

cet exposé sur l’hindouisme par une introduction de la religion Hindoue. Le mot « Hindouisme » est une terminologie que des voyageurs arabes ont cru bon de prêter à la religion des peuples de l'Hindoustan, en effet ils les ont nommés « Hindous » en raison du fait qu'ils peuplaient la région du fleuve de l'Indus. Ainsi le mot hindouisme est dérivé du sanskrit "sindhu" signifiant fleuve. La religion hindoue, l’hindouisme, est la plus ancienne religion vivante du monde, avec le judaïsme, datant d’environ

Révolution, la cathédrale est transformée en Temple de la Raison avant de devenir un entrepôt ! Mais en 1804, Napoléon, qui l'a rendu au culte, s'y fait sacrer ! Au cœur de quartier historique de Paris : son imposante architecture se reflète dans la Seine. Son architecture emblématique n’est que l’exhibition de prouesses techniques, mais relève aussi d’une dimension beaucoup plus religieuse et politique du monument. Temple de la Raison : La Commune de Paris décide ainsi de faire participer la

propriété à la Nation ainsi que par la suppression de la dîme, un impôt annuel prélevé par le clergé sur le Tiers état. En contrepartie, sur une suggestion de Mirabeau, l'État s'engage à prendre à sa charge l'entretien des ecclésiastiques, les frais du culte et aussi les très lourdes charges sociales et éducatives qui relevaient jusque-là de l'Église. D'une part, les prêtres sont en passe de devenir des fonctionnaires ; d'autre part, l'État se découvre de nouvelles responsabilités dans le domaine social

pouvoir craignent encore l'Église catholique, dont l'influence dans la société reste très importante. La Révolution française a déjà tenté de contrer cette influence, que ce soit à travers la suppression des ordres religieux, en 1790, ou le culte de l'Être Suprême pendant la Terreur. Mais la Restauration, puis le Second Empire, ont mis un terme à ces expériences extrêmes. En 1905, la loi de séparation de l'Église et de l'État est enfin votée, malgré un débat très vif dans une population : la France

membres, de ce mouvement, se voyaient comme une élite avancée œuvrant pour le progrès dans le monde afin de combattre l’irrationnel, l’arbitraire, l’obscurantisme. Ce mouvement qui s’est étendue à l’Europe de manière général voit le triomphe de la raison sur la foi et la croyance. Bien que l’opposition avec l’Eglise ait connut ces débuts au 16ème siècle avec les premières ruptures entre les savants et l’Eglise qui ne disent plus la même chose (ex : Galilée ou Copernic) ; on assiste à une montée en

religieuse » et donc de sombrer dans ce qu'il appelle un « faux culte ». Mais comment l'auteur oppose-t-il ces deux notions dans ce texte ? Dans un premier temps, nous verrons que pour lui, la religion est essentielle ; et ensuite que ce qu'il appelle la « foi statutaire » constitue un « faux culte ». La « vraie et unique religion », définie au début du texte, est celle qui ne contient que des lois, donc qui est universelle, et opposé au « faux culte » défini à la fin. Ce qui semble pour Kant être la

religion ? » dans la démocratie à l’épreuve d’elle-même : « Religion : le refus par l’homme de sa propre puissance de créateur, le déni radical d’être pour quelque chose dans le monde humain tel qu’il est, le report ailleurs, dans l’invisible, des raisons présidant à l’organisation de la communauté des vivants-visibles ». [nous reviendrons sur cette citation] Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’abandon, à l’origine, n’a pas le sens d’un déni radical. Paradoxe de la religion : ni déni ni libération

Rousseau : Du contrat social 1-Qu’est-ce que la volonté générale ? Quelles sont ses prérogatives et ses limites ? “ Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale ; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout ”. En effet, chaque individu peut comme homme avoir une volonté particulière contraire ou dissemblable à la volonté générale qu’il a comme Citoyen. Son intérêt particulier peut lui parler

laquelle les exploitants n’ont que le droit d’usufruit, c'est-à-dire qu’ils exploitent la terre mais ne la possèdent pas. Le travail de la terre s’effectue collectivement. Dans cette forme d’agriculture, les rendements ne sont pas très élevés en raison des instruments rudimentaires. A coté de l’agriculture l’élevage est pratiqué partout quand les conditions naturelles le permettent. Mais il constitue en gros une spécialité de certaines ethnies (Peulhs de l’Afrique occidentale, Massaï de l’Afrique