Culte de la Raison et de l'Être suprême

Les grandes religions Introduction : Dans le monde, il existe un grand nombre de religions elles-mêmes divisées. Il existe deux sortes de religions, les religions monothéistes (c’est-à-dire le culte d’un seul et unique Dieu) et les religions polythéistes qui célèbrent, elles, différents dieux. Religions polythéistes : -La religion des Romains, La religion des Grecs, La religion des Celtes, La religion des Germains, La religion des Slaves, La religion finnoise, La religion des Égyptiens, Le shintoïsme

l'homme construit un Dieu à son image. Dieu est en quelque sorte le miroir de l'homme cf texte de Feuerbach dans L'Essence du Christianisme. L'homme rend un culte au Dieu dans lequel il se reconnaît le mieux, par exemple les grecs vénèrent Apollon et Athéna en qui ils trouvent magnifiés leur propres qualités à savoir la beauté artistique et la raison philosophique. Ce transfert n'est pas sans danger car pour enrichir Dieu, l'homme doit se faire pauvre car l'homme affirme en Dieu ce qu'il nie en lui. En

divin et, en Occident, d’un Dieu unique et créateur. Qui est Dieu ? Dieu existe-t-il ? I LE SENTIMENT DU DIVIN « L’homme est un animal religieux », Feuerbach A. LE SENTIMENT RELIGIEUX 1) Une pluralité de religions Dès la Préhistoire, à travers le culte des morts, se fait jour un sentiment religieux qui, au fil du temps et des lieux, prend des formes très différentes : animisme, chamanisme, polythéismes (grec, romain, égyptien,…), monothéismes (judaïsme, christianisme, islam), sagesses à demi-religieuses

nature permet au protagoniste d’être réconforté à l’idée que les «arbres de la forêt [connaissent son] âme» (ligne 1). Il est également possible d’y discerner un sentiment d’appartenance et une solitude qui lui permet d’«entrer en [soi]-même». En raison de ce qui précède, la nature est personnifiée telle une amie ou une mère, capable d’écoute et de conseille: «vous m’avez vu souvent» (ligne 3), «Questionner tout bas vos rameaux palpitants» (ligne 11). D’ailleurs, la nature représente la liberté,

Manent : l’ordre politique comme artifice et comme instrument suprême et comme machine des machines et l’idée que l’homme comme un être historique => se sont les idées fondatrices du totalitarisme création de l’homme nouveau par le politique et le système, engagement dans une grande œuvre, une expérience )) I) Des caractéristiques idéologico-partisanes et des caractéristiques fondées sur l’idée du monopole A- Un parti religion, le culte d’un chef Le parti établit en tant que religion est l’une

morale d'une révélation surnaturelle (courant janséniste), Rousseau affirme l'existence de l'Être suprême. C'est retrouver là, après la médiation de l'éducation, le postulat « Tout est bien sortant des mains de l'Auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme » (non naturel). Devant l'« essence infinie de Dieu », l'homme doit se résigner au silence dans l'adoration : « Le plus digne usage de ma raison est de m'anéantir devant Toi. » Le déisme de Rousseau, fondé sur sa foi en la Providence

philosophiques du XIXe et du XXe siècles, comme scission de l'Homme d'avec lui-même (Feuerbach), réalisation fantastique de l'être humain (Marx), ou même comme expression « névrotique » (Freud). La religion, soleil illusoire ? C'est la question que posent certaines analyses modernes. Son Etymologie : incertitude entre 1/ religio (latin) qui signifie pratique religieuse, culte, religion 2/ religere (lat.), recueillir de nouveau, rassembler ou 3/ religare (lat.), lier, attacher. Sens subjectif : sentiment

Déclaration préliminaire. De l'Empire. Du Gouvernement. Du Conseil d'État. Des ministres. Des tribunaux. Du culte. De l'administration. Dispositions générales. L'indépendance de Haïti est proclamée le 1er janvier 1804. Jean-Jacques Dessalines, ancien esclave, devenu chef des troupes insurgées après la capture de Toussaint Louverture, et qui avait vaincu les troupes françaises, commandées par Rochambeau, à Vertières, le 18 novembre 1803, est aussitôt proclamé gouverneur général à vie, avec

social qui, sinon, pourrait être dissout par l’intelligence. Bergson distingue la « religion dynamique », de « la religion statique ». La première est celle des mystiques qui sont censés prendre un contact direct avec l’Absolu, soit : la source même de l’Etre ou « l’élan vital ». La religion statique, celle que nous évoquons, a une fonction sociale. Par ses « fabulations » elle donne une triple assurance à l’homme qui garantit l’ordre moral contre les désordres que pourraient y introduire l’intelligence

social qui, sinon, pourrait être dissout par l’intelligence. Bergson distingue la « religion dynamique », de « la religion statique ». La première est celle des mystiques qui sont censés prendre un contact direct avec l’Absolu, soit : la source même de l’Etre ou « l’élan vital ». La religion statique, celle que nous évoquons, a une fonction sociale. Par ses « fabulations » elle donne une triple assurance à l’homme qui garantit l’ordre moral contre les désordres que pourraient y introduire l’intelligence