Curiosité Philosophie

1ère partie de la discussion socratique Cette étape-ci est celle où la discussion commence entre Socrate et son interlocuteur. Socrate va faire un examen critique en commençant par poser une question à son interlocuteur en ayant recours à l'ironie qui signifie l'art d'interroger en faisant semblant d'être ignorant, pour amener l'interlocuteur à dire ce qu'il prétend connaître. C'est pour cette raison que Socrate est toujours

L'évolution de Brodeck dans l'histoire Brodeck est : anxieux : doit écrire un rapport, forcer par les autres '' toi, tu sais écrire'' , '' nous on ne sait pas faire cela'' intrigué par '' l'Anderer '' '' ne me demandez pas son nom, on ne l'a jamais su'', '' il était différent'', '' je dois l'avouer, j'avais l'impression que c'était un peu moi '' malheureux : détacher de sa femme qui ne parle plus depuis que Brodeck est de retour des camps → elle s'est faite violée amoureux de

Nous apprenons au début du texte que le bramin est un professeur aisé et cultivé (« très savant », « il était riche » (l.2)). Dans les lignes 10 à 40, « ah mon révérend père » (l.27) qui montre qu’il est un homme respecté et important La distorsion qui apparait est que malgré le fait que le bramin soit cultivé dans tous les domaines et appartienne à un milieu aisé, il est malheureux. En effet étant curieux il se pose des questions sur le monde qui l’entoure. Mais ne trouvant pas de réponses aux

Francis Dupond Journaliste Curieux, Fouille-merde, perspicace  Une enfance oublié   La vie de Francis commença réellement en 1950, à l’âge de 20 ans. Ce qui se passa avant fut effacé de sa mémoire. Il se réveilla le 12 décembre 1950 dans un lit d’hôpital. Il était maigre et fatigué, et ne savait plus qui il était.  Une jeune infirmière lui annonça alors que cela faisait 5 ans qu’il était dans cet hôpital, dans un coma profond. Il avait été retrouvé dans un camp, au milieu de cadavre. Personne

Tristesse – Alfred de Musset J'ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaieté; J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie ; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté. Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu parle, il faut qu'on lui réponde. Le seul bien qui me reste au monde Est d'avoir quelquefois pleuré. __________________________________

Le fait de se tromper sur quelqu'un implique qu'on ait identifié ce qu'on croyait vrai, mais qui s'avère être faux. Cela suppose que l'on s'attendait à une vérité, une authenticité, une adéquation entre ce que l'on pensait savoir de l'autre, et ce qu'il est réellement. Et parfois, certains signes nous dévoilent qu'il n'en est rien, et que finalement l'autre est différent de ceque je pensais savoir de lui. Mais qu'en est-il du rapport que j'entretient avec moi-même : puis-je dire également que je

Puisque au début, dans les périodes protohistoriques, nos ancêtres ne pouvaient pas expliquer ni connaître : ils pensaient vivre à la fois dans deux mondes que l’on a appelés, en Occident, l’âme et le corps. Le corps, c’est tout à fait clair : il est tangible, palpable, blessable, guérissable. L’âme, ce sont les nuages, l’air, la lumière, en somme tout ce qui – pour nos sens bornés – paraît ne pas avoir de consistance, ne peut pas être palpé, ni touché, ni senti, ni vu, mais ce que nous imaginons

Un cabinet de curiosités était un lieu où étaient entreposés et exposés des objets collectionnés, avec un certain goût pour l'hétéroclisme et l'inédit. On y trouvait couramment des médailles, des antiquités, des objets d'histoire naturelle (comme des animaux empaillés, des insectes séchés, des coquillages, des squelettes, des carapaces, des herbiers, des fossiles) ou des œuvres d'art. Apparus à la Renaissance en Europe, les cabinets de curiosités sont l'ancêtre des musées et des muséums. Ils ont

Pascal Bernier vit et travaille à Bruxelles. Depuis la fin des années 1980, il fait l'objet de nombreuses expositions aussi bien nationales qu'internationales. Après avoir présenté plusieurs de ses œuvres dans l'exposition Wunderkammer - Cabinet de curiosités contemporain en hiver 2011-2012, le Botanique se propose d'embrasser une vision élargie de son travail de peinture, de dessin, de sculpture et de performance, en conjuguant des pièces récentes et plus anciennes ainsi qu'une série d'œuvres directement

 Les Cabinets de curiosités Les cabinets de curiosités désignent un lieu ou simplement un meuble dans lequel on collectionnait et exposait des objets rares ou étranges. Dans ces collections, on pouvait distinguer quatre catégories : les objets créés par l'homme (artificialia), les objets de la nature (naturalia) avec un intérêt pour les monstres ( On pouvait trouver dans certaines collections une corne de licorne par exemple ), les objets exotiques (exotica), les instruments scientifiques (scientifica)