Cyberespace

remercié pour sa compréhension à propos les retards qui ont freiné l'achèvement de cette enquête. 9 Références Rapport d'enquête : Les usages des Technologies dans la LME – Déc. 07 –F. Lombard 44 Alava, S. (1998, 10 au 12 décembre 1998). Cyberespace et pratiques de formation: des mirages aux usages des enseignants. Paper presented at the Colloque GRAF 98 Quatrième colloque européen sur l'autoformation, Dijon. Allen, D., & Tanner, K. (2005). Infusing Active Learning into the Large-enrollment

inscriptions représentaient trois blocs distincts. Et puis, un virage technologique s’est opéré. Le besoin de publier facilement ses pages Web a engendré les cybercarnets (Weblogs) permettant de façon simple d’ajouter sa propre voix aux conversations du cyberespace. La possibilité pour les lecteurs d’ajouter leurs réflexions aux cybercarnets les a rendus plus conversationnels, comme les babillards électroniques, avec des contributions datées. Les cybercarnets ont créé un pont entre la discussion et la publication

truchement des réseaux numériques (pouvoir d’abolir les barrières). Interactivité illimitée du web annonce la formation d’une sphère universelle du savoir, sans auteurs, sans hiérarchie de nature, produit de la coopération des sujets et des machines. Cyberespace : méditation collective de l’esprit humain rejoignant la prophétie de la noosphère. Plus de conflit ou de critique, mais seulement partage, coopération, fusion des esprits. 6. Pour une cohabitation… culturelle : entretien avec Dominique Wolton Avec

multiplier sur les réseaux avec le très haut débit et les origines des attaquants vont se fragmenter et se diluer) en cours au niveau de la planète. La technologie et la législation doivent être simultanément utilisées pour offrir aux utilisateurs un cyberespace tranquille. Le retour sur expérience, au niveau social On ne peut plus envisager une politique numérique sans mettre en œuvre en parallèle un volet doté d’une réflexion sociale, tant les effets d’une innovation technologique à succès planétaire

plus important que le nombre des foyers connectés, l'écrasante majorité des connexions s'effectue depuis les entreprises ou des cybercafés. Si l'on en croit les estimations de différents cabinets d'études, le nombre d'internautes drainés par ces cyberespaces est supérieur à 300 000, ce qui porte à environ 500 000 le nombre d'utilisateurs réguliers en Algérie (rapport trimestriel ARPT, 2003).Ces chiffres paraissent dérisoires par rapport aux pays occidentaux mais si l'on tient compte de la progression

principe de communication repose sur la création d'un canal au sein duquel des personnes s'inscrivent et échangent entre elles. De nombreuses interfaces sont disponibles, du simple texte à l'emploi d'un avatar, image personnifiant un individu dans le cyberespace. Afin de clavarder, un logiciel et un serveur de clavardage sont nécessaires. La première formule est le IRC. Utilisant son propre protocole, elle nécessite l'emploi d'un logiciel comme mIRC (http://www.mirc.com/) pour Windows ou Ircle (http://www

une adresse E-mail ou à un U.R.L. ( Le sérieux : Le client le plus difficile à « accrocher » et à convaincre est toujours le premier ! dans la politique, c’est encore plus vrai dans le cyberespace que dans la réalité. La façon avec laquelle seront accueillis les premiers visiteurs sur le site, constitue évidemment un élément déterminant de la confiance qu’elle saura inspirer. Alors comment réagir avec honnêteté dans cette situation ? Plusieurs

Les Belles Lettres, 2009. LAMINE, Claire, PERROT, Nathalie, Les AMAP. Un nouveau pacte entre producteurs et consommateurs ? , éditions Yves Michel, coll. Société civile, 2008. LÉVY, Pierre, L’intelligence collective. Pour une anthropologie du cyberespace, Paris, La Découverte, 1994. MAILLET, Thierry, Génération participation, M21 éditions, 2006. MCCONNELL, Ben, HUBA, Jackie, Citizen Marketers: When People Are the Message, Kaplan Business, 2006. MINGUET, G., OSTY, F., En quête d’innovation. Du projet

documents photographiés mettant en scène des enfants. Par conséquent, les Etats membres du Conseil de l’Europe, « convaincus de la nécessité de mener, en priorité, une politique pénale commune destinée à protéger la société de la criminalité dans le cyberespace, notamment par l’adoption d’une législation appropriée et par l’amélioration de la coopération internationale »38, se sont mis à l’œuvre et ont adopté la Convention. Celle-ci classe les infractions en 4 catégories à savoir celles contre la confidentialité

regroupements socioculturels qui émergent du réseau lorsqu’un nombre suffisant d’individus participent à des discussions publiques pendant assez de temps, en y mettant suffisamment de cœur pour que des réseaux de relations humaines se tissent au sein du cyberespace. » 11.Les communautés de débat Elles ont pour objectif d’établir le dialogue autour des centres d’intérêt communs des membres. Ces communautés peuvent être plus ou moins passives ou actives. Notamment dans le cas de l’abonnement de l’internaute