Céline Voyage Au Bout De La Nuit Bardamu

L'Étranger de Camus => il tue « l'Arabe » sans savoir bien pourquoi, il menait avant cela une petite vie sans beaucoup d'intérêt, il ne connaît pas de sentiments très très forts (la mort de sa mère l'attriste peu...). Ex : Bardamu dans Voyage au bout de la nuit de Céline est un personnage peu sympathique, un peu lâche m ais en même temps, les descriptions qu'il donne de la guerre, l'Amérique, les colonies font ressortir toute l'absurdité du monde et des hommes. C- Le

Katow était seul, seul entre le corps de son ami mort et ses deux compagnons épouvantés, seul entre ce mur et ce sifflet perdu dans la nuit. Mais un homme pouvait être plus fort que cette solitude et même peut-être que ce sifflet atroce : la peur luttait en lui contre la plus terrible tentation de sa vie. Il ouvrit à son tour la boucle de sa ceinture […] » Dans Vol de nuit, Saint-Exupéry, célèbre les pionniers de l'Aéropostale qui ont risqué leur vie pour assurer la liaison avec l'Amérique du Sud. Dans

mélanges, il pastiche les écrivains qu’il admire. Le mythe du génie autodidacte (Rimbaud, Céline, Jean Genet) est faux. Rimbaud assimile plus vite que la plupart des gens, ses premiers poèmes sont parnassiens ou imités de Victor Hugo, il écrit un poème satirique à l’égard de Théodore de Banville, « pour tuer le père », il répertorie tous ses tics, extrêmement insolent. Les deux autres sont des tricheurs, Céline a énormément lu, Genet, censé tout d’un coup dans sa prison écrire des poèmes, a volé des

siècle), défenseur des valeurs chevaleresques dans un monde où ces valeurs n’ont plus de sens, qui parcourt l’Espagne dans le but de combattre le mal et de protéger les opprimés. On peut également citer Voyage au bout de la Nuit (XXe) de Louis Ferdinand Céline dont le personnage principal, Ferdinand Bardamu est une sorte d’antihéros puisque, confronté à l’horreur de la première guerre mondiale où il était soldat (ainsi que du colonialisme et de l’entredeux guerres) et ne parvenant pas à affronter les dures

le long des chemins du front. Dorgelès a écrit cette œuvre à la mémoire de ces soldats inconnus. Bien après Le Feu, Louis Ferdinand Céline s’inspire à son tour de son expérience du combat pour écrire Voyage au bout de la nuit, publié en 1932. Il est plongé dans l’horreur de la guerre alors qu’il n’a que 20 ans, comme son personnage principal, Ferdinand Bardamu. Dans son livre, il dénonce l’absurdité de la guerre. Pour lui, l’héroïsme et le patriotisme sont bons pour les discours des états-majors

totalitarisme et leurs cortèges d’horreurs concentrationnaires. Au XXème siècle, l’homme se définit par ses actions (chez Sartre, Camus, Malraux, on trouve des héros engagés dans l’action, y compris terroriste) ou par son langage (Bardamu dans Voyage au bout de la nuit de Céline). Au XXIème siècle, la question du terrorisme, de ses manifestations et de ses sources fournit aux romanciers le matériau d’une nouvelle interrogation sur le mal qui règne dans le monde (Yasmina Khadra, Khaled Hosseini, Hubert

totalitarisme et leurs cortèges d'horreurs concentrationnaires. Au XXème siècle, l'homme se définit pal"' ses actions (chez Sartre, Camus, Malraux, on trouve des héros engagés dans l'action, y compris terroriste) ou par son langage (Bardamu dans Voyage au bout de la nuit de Céline). Au XXIème siècle, la question du terrorisme, de ses manifestations et de SeS Sources fournit aux romanciers le matériau d'une nouvelle interrogation sur le mal qui règne dans le monde (Yasmina Khadra, Khaled Hosseini, Hubert

que ce soit sous la forme d’un poème tel que le dormeur du val, où Rimbaud dénonce l’horreur des combats en faisant le spectacle de la mort d’un jeune soldat, ou encore sous la forme d’un roman engagé tel que Voyage au bout de la nuit où l’écrivain Céline fait découvrir à son héros Bardamu la violence et l’absurdité de la guerre, en utilisant le cynisme et l’ironie. De plus, les écrivains peuvent avoir recours à un réalisme cru dans le but de choquer, de sensibiliser le lecteur quant aux horreurs

capable de remédier à l’injustice et à l’inégalité. A/ La moralisation du monde du travail Le XIXème siècle a été le siècle de démoralisation du monde du travail. Les ouvriers étaient confrontés à des conditions de travail inhumaines : travail de nuit, travail des enfants, promiscuité des hommes et des femmes, asservissement… Hugo insiste sur la sagesse des femmes : elles étaient des proies sexuelles tant pour les ouvriers que pour les patrons. La pauvreté incite au vol, au mensonge, à la tromperie

https://www.editions-ellipses.fr/PDF/9782340023161_extrait.pdf5 Cr oi ss an ce e t m on di al is aƟ o n de pu is 1 85 0FICHE 1 Taylorisme et fordisme «ථL’usine est un automate contrôlé par quelques personnes surveillant des écrans. L’automaƟ saƟ on fait disparaître l’emploi industriel comme la mécanisaƟ on a fait disparaître l’ emploi agricole.ථ» Michel Volle, e-conomie, Economica 2000 �Ì L’enjeu L’accéléraƟ on des transformaƟ ons du système producƟ f conduit les pays qui s’in- dustrialisent