Darwinisme

sommes entrés de plain-pied dans ce que l'on pourrait appeler l'ère du Chapelier Fou, c'est à dire l'irruption de l'irrationnel dans ce qu'il a de plus poétique et de moins maîtrisable au beau milieu d'un monde jusque là bien tenu. En vertu d'un darwinisme élémentaire il a bien fallu s'adapter. Aujourd'hui être IS dans le monde merveilleux de PetitMou, c'est être un hybride monstrueux, un mélange aussi subtil qu'indéfinissable de chaman, de Ménie Grégoire, de Dédé la Bricole, de Bobologue, de charlatan

à la Société Linnéenne de Londres, présente deux théories, dont l'une ressemblant au darwinisme, les deux hommes travaillant au même moment sur ce sujet. Cependant, seul Darwin restera à la postérité car il possédait bien plus de données empiriques. Il propose donc une théorisation de la sélection naturelle, cette sélection s'effectuant par l'influence de l'environnement. Lorsqu'il est rationalisé, le darwinisme se réduit à plusieurs concepts : les variations, la variabilité, la stabilisation héréditaire

ascendance commune entre l'homme et le reste de la « création ». Cela révolutionne le monde de son époque en contredisant ce qu'à toujours affirmé l'Eglise. Ainsi, une nouvelle vision du monde voit le jour. Celle de l'évolutionnisme, aussi appelée le Darwinisme, qui explique que l'Homme n'est pas une créature créée à l'image de Dieu, mais qu'il a une origine commune avec le singe, un animal. L'homme fait donc partie intégrante de la nature. Ainsi, les sciences ont montré que l'Homme est une création

évolution collective : celle des espèces en développement (populations d’individus). * Reprise de cette idée par Jean Piaget (1896-1980) en psychologie de l’enfant (ou du développement) et par Jean-Pierre Changeux en neurobiologie avec le darwinisme neural-mental. * Ontogenèse  = s’agit du développement de l’individu, de la fécondation jusqu’à l’état adulte. Echelle de temps de la psychologie du développement (à travers des microgenèses ≠ Life Span). Le développement peut être envisagé

ou Utilitarisme) ; Les pauvres existent en raison de leur intempérance sexuelle, ce sont des animaux faisant des enfant au-delà de leur capacité économique (malthusianisme) ; La pauvreté est génétique, ils faut donc les tuer, c’est un eugénisme (Darwinisme Social) il ne faut pas aider le pauvre car ce serait ne pas lui rendre service, il pourrait plus s’aider lui-même (aide-toi toi-même). Le melting pot, il faut partager les valeurs des USA. B. Du rêve à la Réalité : a. Une machine génératrice

et, en fait, dans le fonctionnement du cerveau. Autrement dit, il emprunte la voie réductionniste que Durkheim avait voulu éviter, en particulier lorsqu’il se préoccupait de constituer la sociologie comme science indépendante de la biologie et du darwinisme social12.D'autre part, Searle n’évite pas non plus les écueils classique du conventionnalisme qui, lorsqu’il est utilisé à des fins d’explication fondamentale, pose inévitablement un problème de régression logique, car on a toujours besoin d’une

l’espèce deviendra de plus en plus sophistiquée. La sélection naturelle permanente fait que ceux qui sont le mieux adaptés à un certain milieu, ou à un certain environnement écologique assureront la survie de l’espèce dans ce cadre-là…. 3/9 …Le Darwinisme démontre que la nature n’est qu’une suite ininterrompue de mutations dont quelques unes seulement survivront, parce que la nature en aura précisément besoin à ce moment là. C’est exactement la même chose quand nous pensons et sommes submergés de

sa psychopathologie la réaction c’est-à-dire l’ensemble des conduites par lesquelles l’organisme dans sa totalité réagit à son environnement pour le modifier afin de l’adapter à ses besoins et ses intérêts » on peut y voir un parallèle avec le darwinisme. Ce comportementalisme donnera naissance plus tard à des méthodes de conditionnement telle que les méthode ABA « applied behaviour analysis » créé par Ole Ivar lovass psychologue américain d’origine norvégienne. L’ABA comporte un programme de

société. Selon lui, certains Hommes sont naturellement plus fort que d’autres, c’est un fait qu’on ne peut combattre. Il est donc inutile d’essayer de réduire les inégalités : elles sont naturelles et par conséquent normales et immuables. C’est le darwinisme social. Il laisse une grande place au déterminisme naturel, considérant la supériorité absolue de la nature sur l’Homme. Le milieu physique est l’élément déterminant de l’organisation sociale et on ne peut aller contre lui. Paul Vidal de la Blache

le principe de mérite créé des inégalités scolaires. Cela est contradictoire au principe d’égalité. Ainsi la finalité de ce principe serait de rendre les élèves inégaux avec des vainqueurs et des vaincus qui subissent l’humiliation. Il parle de darwinisme scolaire dans lequel il y a une élite, ce qui est contraire au principe égalitaire de l’école. Dans son développement, on voit donc bien qu’il expose un paradoxe. L’école est censée être égalitaire alors que le principe sur lequel elle est fondée