David Hume La Croyance

démarche très axiomatique et subjective de Descartes. Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de Descartes. Les philosophes anglais, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au détriment de la raison pure. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son éthique. Il se démarqua pourtant de son aîné

les hommes concluent un contrat social accordant des pouvoirs illimités à un « souverain » qui ainsi garantit la paix. Les racines de la religion sont celles de la politique : la peur, l’ignorance et le désir y dictent la conduite des hommes. La croyance en Dieu, en principe, est une réponse à la peur de la nature. Les hommes en viennent cependant à redouter Dieu lui-même, car leur ignorance les prive de la connaissance de sa volonté. L’autorité religieuse apporte précisément une réponse à cette

premier principe dans la démarche philosophique et scientifique de Descartes. B) Le sujet est-il incorporel ? David HUME, Traité de la nature humaine (1740) « Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre. » Platon, sur le fronton de son académie. « Tout notre connaissance commence avec l’expérience. » formule de l’empirisme. Dans cet extrait du Traité de la nature humaine, Hume défend une thèse empirisme quant au sujet. D’après lui, le sujet se constitue à travers la somme de ses expériences

échappé et qui leur dévoile la vérité sur le monde, à la fois parce qu'ils manquent de preuves et parce qu'ils ne veulent pas admettre que toutes leurs croyances sont fausses. Ainsi on peut distinguer deux situations: d'un côté la vérité n'est pas toujours disponible ou suffisamment établie, ce qui nous amène à ne pas la reconnaître plus de la croyance que de la preuve, ce qui explique au passage qu'elles soient si diverses de par le monde... D'autre part, une vérité est souvent une erreur rectifiée

_Toc196743901 h 12 1. Projection et existence (Heidegger) PAGEREF _Toc196743902 h 13 2. Limagination et le nant (Sartre) PAGEREF _Toc196743903 h 13 C. La conscience, le moi et le monde PAGEREF _Toc196743904 h 14 1. Le moi nest pas directement connu (Pascal, Hume) PAGEREF _Toc196743905 h 14 2. La conscience doit sextrioriser dans le monde pour se comprendre (Hegel) PAGEREF _Toc196743906 h 15 3. La conscience se constitue dans le rapport autrui (Hegel, Sartre, Goffmann) PAGEREF _Toc196743907 h 16 III. Approches

et le temps des rationalistes et des empiristes s'opposant sur tout comme deux charognards s'entredévorant pour un morceau de chair délaissée. Défendu dans la partie la plus notable par les philosophes Francis bacon, John locke, George berkeley, David Hume et d'autres après eux, l'empirisme considère que la connaissance se fonde sur l'accumulation d'observations et de faits mesurables, dont on peut extraire des lois générales par un raisonnement inductif, allant par conséquent du concret à l'abstrait

(16e-18e siècles). Science : maths, physique, chimie… C’est l’époque où la science se détache de la religion et devient autonome. Elle met en place une rigueur, une méthode rationnelle grâce à l’expérimentation. La science d’affirme en abandonnant la croyance au profit de la preuve. Les avancées dans la connaissance de la nature et du corps humain sont considérables. -1543 : Copernic : héliocentrisme : L’homme n’est plus au centre de la galaxie. -1666 : création de l’Académie des sciences sous Louis

3. Rétention et protention 12 B. La projection 12 1. Projection et existence (Heidegger) 13 2. L’imagination et le néant (Sartre) 13 C. La conscience, le moi et le monde 14 1. Le moi n’est pas directement connu (Pascal, Hume) 14 2. La conscience doit s’extérioriser dans le monde pour se comprendre (Hegel) 15 3. La conscience se constitue dans le rapport à autrui (Hegel, Sartre, Goffmann) 16 III. Approches morales 18 A. La conscience morale 18 1.

en se soumettant à une préparation intérieure afin que sa recherche progresse vers la vérité. A ce titre, il prête une grande importance à la psychanalyse, non pas à titre thérapeutique, mais en ce qu'elle permettrait de mieux écarter certaines croyances naïves qui ne seraient que la projection de nos désirs et pulsions. Ce qu'il appelle la "psychanalyse de la connaissance" permettrait la libération pour l'homme de ce qui fait obstacle à la recherche scientifique, et marquer alors dans sa recherche

Nouveau   Monde=   suscite   un   extraordinaire   engouement.   -­‐>  Une  réfléxion  nouvelle  allait  naitre  sur  la  diversité  des  hommes,  de  leurs  modes  de  vie   et  croyances.     1)  Invariance  &  diversité  des  cultures  :  le  même  et  l'autre     Anthropologie  =  née  d'une  réflexion  autour  de  la  diversité  des  cultures  humaines