David Hume La Croyance

Les déf de base st fondées sur 2x2 concepts: -la rivalité et la non-rivalité -exclusion et non-exclusion A-Rivalité non-rivalité §1 Le concept de B public Le concept de B public semble avoir été créé au XVIIIè notamment par David Hume & Adam Smith. Hume examine dans son traité sur la nature humaine en 1739 la P de B communs & les difficultés de cette P. En 1776 l'économiste et philosophe britannique Adam Smith dans sa recherche sur la nature & les causes de la richesse des

composer de 60 conseillers qui vont voter rationnellement et doivent choisir entre trois bien collectif donc il y aura 3 biens collectifs: -Un pont -Une université -Un opéra 2) Le problème du passager clandestin: Free-Rider C’est semble-t-il David Hume qui le premier à analyser le phénomène de passager clandestin. En 1968 Garrett Hardin dans son article "La Tragédie des biens commun" développe cette idée. La création d'un bien public nécessite la connaissance des préférences des individus, mais

comme des faits naturels, et ces faits expliquent les idées et les valeurs qui apparaissent. Les explications des idées et des valeurs humaines se présenteront alors sous la forme suivante : « Les croyances intellectuelles d’une personne s’expliquent par ses croyances morales ; ses croyances morales sont expliquées par des traits naturels caractéristiques du type de personne qu’elle est. »[13] Ce naturalisme ne doit cependant pas être réduit à une conception matérialiste, cette dernière étant

des Lumières, et donc avec la découverte des vertus de la raison. Ce mouvement vise à faire triompher les « lumières » de la raison sur l’ « obscurantisme » des croyances spontanées. L’obscurantisme, c’est : * Seule la croyance dans l’existence d’un univers surnaturel donne un fondement aux comportements humains. * Cette croyance dépasse les capacités rationnelles du sujet humain et requiert de sa part une soumission intégrale. Le mouvement des Lumières, sous l’impulsion de philosophes

est de comprendre le monde à la Lumière de sa raison. Ceci vient s'opposer aux ténèbres de l'obscurantisme dans lequel est maintenu le peuple par les autorités politiques et religieuses. Les penseurs des Lumières veulent détourner les hommes des croyances et des superstitions en remettant en cause la suprématie de la religion et en préconisant le développement de l'esprit critique (« Aies le courage de te servir de ton propre entendement » Emmanuel Kant). Le siècle des Lumières s'appuie donc sur l'usage

causes et des effets nécessaires à la maximisation de leurs décisions. Le processus décisionnel peut-être obscurci par l’incertitude dans la recherche de la meilleure solution. À tout cela s’ajoutent les problèmes liés aux préjugés humains, aux croyances, aux perceptions, de telle sorte que face à un évènement, le choix fait ou la décision prise n’est pas toujours la meilleure. À tout le moins est elle considérée comme la plus satisfaisante. 4. Les réalistes assument que dans la hiérarchie des

cette interrogation, le début du livre VII de la République de Platon, où se trouve l’allégorie de la caverne : voir cours de Mme Angot. Autres exemples : le film Matrix : nous pourrions n’être que des cerveaux dans une cuve ; le film eXistenZ de David Cronenberg : le monde pourrait n’être qu’une sorte de grand jeu vidéo. I. Les sciences déductives [la démonstration] On peut ranger les sciences en trois grandes catégories : les sciences déductives (logique et mathématiques), les sciences

est liée au réel est de deux types : - La vérité logique (ou mathématique) ne concerne que la validité d'une proposition. - La vérité empirique (de la physique ou des sciences naturelles) fait référence aux phénomènes. (Cf. Manuel pages 291 et 292 où Hume et Kant disent la même chose en beaucoup de mots). Examinons chacune d'elle tour à tour. LA VÉRITÉ LOGIQUE Revenons à notre exemple où nous demandons à quelqu'un notre chemin : si nous généralisons, nous pouvons dire que celui qui dit la vérité explique

COURANTS DE PENSÉE DE L’APPRENTISSAGE : (Source : http://wwwens.uqac.ca/~pminier/act1/graph1.htm) 500-700 av JC Rationalisme SOCRATE PLATON Empirisme ARISTOTE 16ème et 17ème siècles Cartésianisme DESCARTES Empirisme anglais LOCKE HUME 19ème siècles (fin) Structuralisme WUNDT TITCHENER 20ème siècles (début) Empirisme logique COMTE BERNARD MACH Fonctionnalisme DEWEY Mentalisme Psychanalyse FREUD LACAN ARICKSON Béhaviorisme PAVLOV WATSON THOMDIKE

d’inconscient – ou, plus exactement, de ses antécédents philosophiques depuis le début du XVIIe  siècle. Vaste voyage dans le temps, avec visite obligatoire de quelques monuments qui ont pour nom Descartes, Pascal, Malebranche, Spinoza, Leibniz, Hume, Kant, Fichte, Schelling, Schopenhauer, Nietzsche, Husserl, MerleauPonty et Heidegger. La question du sujet Ce n’est pas le genre de balade qu’on fait en un week-end, fleur à la boutonnière et Guide vert sous le bras. Mais, pourvu qu’il dispose