David Hume

long du XVIIIe siècle[réf. nécessaire]. Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de Descartes. Les philosophes britanniques, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au détriment de la raison pure. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son Éthique2. Il se démarqua pourtant de son

même et sur qui nous sommes vraiment. Justement, peut-on réellement parvenir à la connaissance de soi? Je crois que non, il n’est pas possible d’en arriver à une connaissance de soi. Premièrement, car, d’aucune façon on peut réellement voir ce soi. David Hume et l’empirisme sont des défenseurs de cette idée, partant du fait que l’expérience est la seule chose sur laquelle on peut réellement se baser. Ainsi je peux savoir que je marche mais jamais je ne verrai ce « je » qui marche. Deuxièmement, je me

de la perception : Mais quelque chose a changé dans la façon dont on va interroger la perception. Désormais, la perception va engager une réflexion sur la formation sensible du sujet, dans et par sa communication avec le monde. Comme le montre David Hume, les sens jugent d’eux-mêmes. La perception n’est pas à penser sur le modèle de la raison, comme un jugement extérieur qui poserait l’existence de son objet. Elle doit se penser à partir d’un contact avec le monde, à partir du sentiment de la présence

mais le savoir empirique ne peut garantir la permanence de l’affirmation qui pose cette vérité. Nous comprenons ainsi la différence fondamentale qui place l’expérience du côté de la pratique : la présence du temps. Le philosophe empiriste, David Hume, le saisit clairement en affirmant que la proposition « le soleil se lèvera demain » est aussi claire et distincte que son contraire et qu’il est impossible de démontrer par avance laquelle des deux sera vraie. Seule une habitude nous fait choisir

pour être instruite par elle, il est vrai, mais non pas comme un écolier qui se laisse dire tout ce qu’il plaît au maître, mais au contraire, comme un juge en fonctions qui force les témoins à répondre aux questions qu’il leur pose ". David Hume, Enquête sur l’entendement humain, 1748 Il est impossible de faire rentrer le réel dans la certitude par la raison Tous les objets sur lesquels s'exerce la raison humaine ou qui sollicitent nos recherches se répartissent naturellement en deux

généalogie, d'une explication de l'homme comme être entièrement corporel et animal dirigé par des pulsions et des affects qui expliquent ses croyances. Nietzsche est ainsi en ce sens un philosophe de la nature humaine et a pu de ce fait être rapproché de David Hume et de Freud[15]. La réévaluation des valeurs [modifier] Le second aspect majeur de la pensée de Nietzsche est la réévaluation des valeurs qu'il soumet à la méthode généalogique. Ce projet se manifeste, de La Naissance de la Tragédie à ses dernières

au long du XVIIe siècle[réf. nécessaire]. Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de Descartes. Les philosophes britanniques, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au détriment de la raison pure. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son Éthique2. Il se démarqua pourtant de son

d'Holbach / 1723-1789 / La morale universelle) "Pour être heureux, il faut que la passion soit joyeuse et gaie. La propension à l'espoir et à la joie, c'est richesse réelle; la propension à la crainte et au chagrin, c'est la pauvreté véritable." (David Hume / 1711-1776) "Dans la perspective de ce nouveau royaume qui n'est plus que d'ici-bas, l'homme, qui est en même temps matière, vie et conscience, l'homme, enfin libéré de l'illusion post mortem et devenu libre, donc responsable de ses choix, a

limité à la vénération d'un objet, à une religion non-intellectuelle résultant d'un« procès (processus) purement aveugle, impulsif, affectif »[4], avec des « passions, des besoins, des craintes mais jamais aucun discernement[4]. » À l'inverse, David Hume considère le fétichisme comme partie prenante du polythéisme, et le connote plus ou moins comme un synonyme d'idolâtrie. C'est à partir de ces deux visions du fétichisme et de sa place dans le processus de construction de la religion que la

odmietal Lockeove delenie vlastnosti vecí a všetky považuje za subjektívne - „ byť znamená byť vnímaný“- ESSO AST PERCIPI - je solipsista - solipsiszmus- je to fil smer, názor je odvodený z latin slova solus- jediný, ipse- sám DAVID HUME - empirik - jeho názor na Boha bol agnosticko- deistický - využíval induktívnu metódu BARUCH SPINOZA - hlavnou metódou poznania je dedukcia- v konkrétnom procese poznania používame skúsenosť, ktorá zhromažďuje materiál poznania