De l'autre côté du miroir

énumère certaines caractéristiques ; respect à ses sœurs, réhabilité aux morts … On y trouve aussi des signes de cruauté, il fait empoisonner Tibert de façon violente … Citation6 : Le monstre Camus reprend la dichotomie du prince et du monstre de l’autre côté, Suétone raconte ce que Caligula a fait de monstrueux, relations incestueuses avec ses sœurs, avec d’autres hommes, comportement extravagant jusqu’à la folie. Que-est-ce-que Camus emprunte à Suétone : Ce qui intéresse Camus, est Caligula en tant

lui-même, le « stade du miroir » en quelque sorte. Mais elle montre également toute l’artificialité de sa personne, sa capacité à se fondre dans un rôle social. Enfin, elle peut être vue comme le symbole de l’ambition, annonciateur de l’ascension sociale du futur Bel-Ami. (Pistes pour l'explication) I. La prise de conscience du personnage Le but est de montrer que la montée des marches est le corollaire d’une prise de conscience de soi de la part du héros. 1. Le rôle des miroirs (leur place, leur symbolique)

Fille au miroir, une œuvre de Norman Rockwell | Norman Rockwell : Un illustrateur américain né à New York en 1894 et mort à Stock-bridge en 1978. Peintre neutraliste de la vie américaine du 20ème siècle, il est célèbre pour avoir illustré de 1916 à 1960 les couvertures du magazine Saturday Evening Post. En 1935, il illustre les romans de Mark Twain, Tom Sawyer et Huckleberry Finn. En 1943, il participe à l'effort de guerre en publiant l'affiche The Four Freedoms distribuée dans le monde

couleur du fond, ce qui la rend visible. Par son contenue, elle donne une dimension plus intime à l’œuvre. Placé au-dessus du miroir nous pouvons lire Johannes de eyck fuit hit 1434, ce qui signifie: Jan Van Eyck fût ici.[1] Non seulement par la date inscrite, cette phrase atteste en quelque sorte que celui ait été le témoin de la cérémonie des époux Arnolfini, mais le miroir le prouve également, et ce, par la présence de sa silhouette. Un double autoportrait Cette fois-ci, par son contenu

I] Le rapport à l’autre : Nous savons que Le lien avec soi-même se construit dans le rapport à l'Autre. C’est pourquoi beaucoup de personnes actuellement, trouve en la communication via les outils informatiques (Smartphone, Internet…) un moyen pour eux, de se libérer. De se sentir plus apte à communiquer sans que des problèmes comme la timidité, l’apparence ou encore le mal être de quelqu’un se fasse ressentir à travers les paroles échangés. L’email provoque un réel engouement depuis maintenant

caractéristiques. Il fait ensuite la description du « jeune » Perdican. Suite à cela le chœur fait la présentation de Dame Pluche qui sont tour va faire la présentation de la « belle » Camille. 2) La présentation des personnages introduit un jeu de miroir que l’on peut remarquer, tout d’abord lors de la description physiques de Maître Blazius « son ventre rebondi ; son triple menton » qui font penser à un gentil bonhomme trait amplifier par la dernier phrase du chœur qui évoque le vin donc quelqu’un

(Acte 1scène1, 3,4.Acte3, scène4 (monologue où il résume l’acte) Le chœur est à la fois spectateur et témoin. 2°Une complicité avec le spectateur * Cela est mise en évidence à travers les différents monologues, le spectateur écoute, comprend .Ce côté de témoin et présentateur se rejoint ici. Il donne des informations sur les personnages .A travers le chœur on assiste à une sorte de témoignage. * Dans l’Acte 1 scène 1, il met en évidence les défauts des différents personnages en annonçant et

pauvre Frère Jacques ? ), bon nombre de petits anglo-saxons connaissent aujourd’hui encore le personnage d’ Humpty dumpty, et donc la réponse de la devinette. Alice par exemple, dans le deuxième récit de ses averntures, De l’autre coté du miroir, ne doute pas une seule seconde, et reconnait Humpty dumpty sans aucune hésitation : -“ when she had come close to it, she saw clearly that it was Humpty Dumpty himself.” L’ auteur insiste d’ailleurs sur la certitude de la jeune fille:

est nouvelle au 19e siècle et elle incarne la modernité si chère à Baudelaire. C’est une forme dense et brève qui en dit plus long qu’il n’y paraît. Dans ce texte, on y décrit une scène presque ordinaire, la rencontre de deux enfants, l’un riche l’autre pauvre, séparé par un grillage fermé. Problématique : Pourtant, derrière ce récit apparemment

métaphore du miroir. Placé devant telle ou telle chose, le miroir de la conscience produit un reflet qui est savoir de telle ou telle chose. Mes mains, mes jambes et mon visage y prennent place et j’ai conscience de moi comme corps. À la limite, on peut imaginer que je place devant le miroir chacune de mes pensées. Mais chacune de mes pensées n’est pas encore moi. Après avoir épuisé la liste de mes occurrences, reste la question de savoir qui je suis, moi, cette conscience? Seul devant le miroir, je m’approche