De Quoi La Culture Nous Libère Telle

est un esprit qui pense en et par lui-même, qui parvient à se détacher d’autrui pour énoncer ses propres jugements. Mais un esprit libre est-il seulement un esprit libéré des préjugés ? Est-ce seulement un esprit autonome ? Ceci suppose donc de découvrir de quoi un esprit libre est libre.      De quoi l'esprit est-il libre ? De quoi peut-il s'affranchir ? Dans quel but devrait-il le faire ? I. Un esprit libre, c'est un esprit indépendant.     A. Qu’est-ce que l’esprit ? A première

()La crise de la culture – Hannah Arendt :    Hannah  Arendt  (1906‐1975)  est  une  des  figures mères  de  la  philosophie  politique  du  XXe  siècle. Sa pensée est directement liée aux totalitarismes qu’elle a connus et dont elle a souffert. Elle  ne peut et ne doit pas être étiquetée dans l’échiquier politique sous les rubriques du socialisme, du  libéralisme ou du communisme etc., étant donné qu’elle a toujours prôné la  liberté de penser et de  modifier ses convictions, faculté de penser 

et Propriété II. LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE : LA QUESTION DE LA LIBERTÉ A. Le Progrès Technique, Facteur de Libération ? 1. La Neutralité de la Technique ? 2. Le Principe de l’Action Extérieur à la Technique 3. La Technique comme Fin en soi B. La Culture Technique comme Aliénation 1. De l’« Homo Sapiens » à l’« Homo Faber » 2. Le Travail et la Dialectique de la Liberté et de la Servitude III. LE TRAVAIL, LA TECHNIQUE ET LE BONHEUR 1. La Nature et le Travail : la Question du Bonheur 2. Le Bonheur dans

la limite d’un tel déterminisme (Alain) ? Peut-on réellement parler de fatalisme ? N’est-ce pas un terme trop fort, enlevant toute liberté, tout libre arbitre, dans la conduite de la vie ? Quelle peut-être la part de mauvaise foi d’une telle conception ? Et à quoi servirait la psychanalyse, si tout était déjà joué ? Sartre a beaucoup parlé de cette domination de l’être par son inconscient, pour la rejeter. Nous sommes responsables de nos actes, et nous ne pouvons, ni ne devons, nous cacher derrière

L’art Introduction : éléments d’histoire de l’art 2 Une très brève histoire de l’art (Gombrich) 2 La suppression des temps morts (Kundera) 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à

l’on pense devoir vouloir. Donc la liberté ne résiderait pas dans le simple fait de choisir ou de vouloir, puisque je peux mal choisir ou le faire malgré moi. Être libre suppose donc une connaissance qui guiderait mes choix Mais peut-on posséder une telle connaissance ? Et ai-je toujours le pouvoir ou la volonté de faire ce que je dois faire ? A y réfléchir de plus prés, il semble donc difficile de prétendre être libre. Dans cette mesure, l’idée même d’une liberté, au sens d’une parfaite maîtrise de

L’art Introduction : éléments d’histoire de l’art 2 Une très brève histoire de l’art (Gombrich) 2 La suppression des temps morts (Kundera) 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 5 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6

également souvent présentée comme une malédiction. Ainsi dans la Genèse, il est dit que le travail est conséquence du péché originel, c'est parce que l'homme a désobéi à Dieu qu'il est exclu du jardin d’Éden et qu'il devra travailler pour se procurer de quoi vivre.: "Le sol sera maudit à cause de toi [...] à force de peine [...] produire épines et ronces [...] gagnera le pain à la sueur de ton visage [...] tu es poussière et tu retourneras à la poussière". L'humain doit donc engager une lutte contre la

Arendt parle ainsi en philosophe qui remet en question « la doxa », l’opinion commune. Elle montre qu’être philosophe c’est d’abord se poser des questions et si possible des bonnes questions. Ce en quoi, il faut reprendre tout le questionnement sur ce que nous pensons  de la nature de l’Homme: l’homme est le seul être dont la nature est d’être une question comme le dit saint Augustin « quaestio mihi factus sum », je suis devenu question pour moi-même

choisit ou celle de ses affects. Cette cohérences on l’appelle aussi sens. Il est anthropocentré. (cf le texte extrait du Gai savoir, la fable des animaux). -Mais aucune valeur n’est transcendante, donc toutes les valeurs sont conventionnelles. En quoi elles donneraient alors du sens, selon quels critères les juger, comment savoir si certaines valeurs ne valent pas mieux que d’autres  si elles sont arbitraires. Ce qui légitime une valeur, c’est qu’elle permet de vivre. Donc c’est la capacité qu’a