Decision 76 71 Dc 30 Décembre 1976

........................................................................................................................p. 30 1. La répartition avant 1958....................................................................................................................................................................................................................... p. 30 2. Les articles 34 et 37 de la Constitution................................................................................

|206 |24,6 |+1,6 | |Spécialités |103 |12,3 |+10,4 | |Panachés et sans alcool |71 |8,5 |-2,2 | |TOTAL Bières |837 |100 |-0,7 | (Source environnement 2001) |

par segment nécessaire i. Caractéristiques produits 1. Les types de bières Le marché en volume (en millions de litres) PDM en volume évolution Bières de luxe 457 54,6 -3,7 Spéciales 206 24,6 +1,6 Spécialités 103 12,3 +10,4 Panachés et sans alcool 71 8,5 -2,2 TOTAL Bières 837 100 -0,7 (Source environnement 2001) le marché en valeur (en millions d'€) PDM en valeur évolution Bières de luxe 537,65 41,7 -4,4 Spéciales 414,42 30,5 +3,5 Spécialités 232,9 21,2 +13,1 Panachés et sans alcool 82,73 6

le produit d’une imposition à un EPIC. De même, la CSG sur les sociétés affectée en partie à un organisme privé investi d’une mission de service public à la qualité d’imposition de toute nature. Dans le prolongement de ces décisions, le CC a jugé, dans sa décision du 29 décembre 1998 « qu’aucun principe fondamental reconnu par les lois de la République n’interdit que le produit d’une imposition soit attribué à un établissement public ou à une personne privée chargée d’une mission de service public

de jurisprudence : Dalloz, Les grands arrêts de la jurisprudence administrative 19ème édition, 120 arrêts classés chronologiquement (ouvrage de base à acheter en plus d'un manuel, à moins qu'on préfère chez PUF Droit administratif, les grandes décisions de la jurisprudence administrative, mais les arrêts sont classés thématiquement et avec seulement les extraits les plus significatifs des arrêts) Synthèses (à bannir les memento) Delvolvé, le Droit administratif, Dalloz, édition 2010 (à lire

2003 suit la jurisprudence du Conseil Constitutionnel et met fin aux dernières incertitudes pesant sur cette notion, renforçant par la même le principe d’unicité du peuple français (2). 1) Un principe affirmé par le Conseil Constitutionnel Dans sa décision 91-290 du 9 mai 1991 relative à la loi portant statut de la collectivité territoriale de Corse7, le Conseil Constitutionnel en refusant l’appellation de « peuple corse » au motif que la mention d’un « peuple corse, composante du peuple français est

l'événement s'avère fréquent, notamment en vue de faire intervenir le peuple souverain ou ses représentants – c'est à dire le pouvoir constituant dérivé – d'une manière particulière, afin de marquer par une certaine solennité l'importance de la décision politique prise. Dès lors qu'une telle procédure spécifique de révision de la constitution existe, la constitution est considérée comme rigide, ce qui permet de garantir sa supériorité dans la mesure où elle bénéficie d’une certaine immutabilité

la méthode de codification à droit constant: Sa mise en œuvre dans l'élaboration du nouveau code de commerce et ses conséquences sur le droit applicable en Polynésie française Yves-Louis Sage* La loi du 16 décembre 1999 a autorisé le gouvernement français à codifier par voie d'ordonnance dans un grand nombre de matières. Ainsi, l'ordonnance n°2000-912 du 18 septembre 2000 devait proposer ce que l'on a appelé le nouveau code de commerce. Cet article propose un bilan de la réforme entreprise

ARRETS PREFACE 2 TC, 30 juillet 1873, Pelletier 7 CE, 19 février 1875, Prince Napoléon 8 CE, 26 novembre 1875, Pariset 9 CE, 13 décembre 1889, Cadot 10 CE, 21 juin 1895, Cames 11 TC, 9 décembre 1899, Association Syndicale du Canal de Gignac 12 CE, 29 mars 1901, Casanova 13 CE 10 janvier 1902 Compagnie Nouvelle de Gaz de Deville-lès-Rouen 14 CE, 18 avril 1902, Commune de Néris-les-bains 15 TC, 2 décembre 1902, Société immobilière Saint-Just 16 CE, 11 décembre 1903, Lot 17 CE, 10 février

petites fiches 3 TABLE DES ARRETS TC, 30 juillet 1873, Pelletier ...................................................................................................... 7 CE, 19 février 1875, Prince Napoléon ....................................................................................... 8 CE, 26 novembre 1875, Pariset .................................................................................................. 9 CE, 13 décembre 1889, Cadot..................................