Decor Le Misanthrope

tragédie, style auxquelles Corneille et Racine se sont voués possède trois règles fondamentales à respecter : -Unité d’action : l’intérêt doit être concentré sur un seul fait ou sur une seule crise morale. -Unité de lieu : Un seul lieu donc un seul décor neutre le plus souvent. Le plus souvent une antichambre du palais. -Unité de temps : Toute l’action se déroule en 24 heures. À cause de ces 3 unités, la tragédie est chargée de récits : les actions se passent ailleurs, à l’entracte ou dans les coulisses

habits , mimiques , gestes des personnages ce qui nous aide a comprendre leur caractères ou l'ambiance d'une scène. Par exemple dans Rhinocéros de Ionesco ou encore le Roi se meurt, la présence de didascalie est abondante, elles nous indiquent le décor, le jeu des acteurs, les costumes des personnages... Les pièces de Ionesco sont très riches en indications scéniques, ceci fait que la lecture du texte devient compréhensible et n'a donc pas besoin d'être joué. De plus, à travers le dialogue des

importantes qui permettent de mieux comprendre l'œuvre. Le langage théâtral doit désormais s’adresser aux sens du spectateur et plus seulement à son esprit. Toute la structure de la scène dans la conception d’Artaud : l’éclairage, les éléments du décor, les costumes…est importante. Or, cette manipulation du sens et de la signification ne se fait plus par un travail sur le texte mais il se fait directement sur la scène. Le résultat d’une telle représentation a une valeur expressive beaucoup plus forte

spectateur).             A- Les artifices • Vers, diction : pas très naturel. Le Misanthrope : dans la vie, même quand on est fâché, on ne parle pas en vers comme Alceste : « Non, je ne puis souffrir cette lâche méthode/Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode » • Décors, même bien faits + lieux, changements de lieu : pas comme dans la vraie vie. Le spectateur sait que les personnages évoluent dans un décor de carton. •En attendant Godot => personnages peu reluisants : difficile de s'identifier

ridicules (1659), Molière devient un auteur adulé, jalousé, redouté. En 1664, les dévots font interdire Tartuffe, qui dénonce l’hypocrisie religieuse. Molière obtient néanmoins la protection du roi. Son Dom Juan (1665) provoque un nouveau scandale. Le Misanthrope (1666) reçoit un accueil mitigé. Entre 1668 et 1670, l'Avare, Tartuffe et le Bourgeois gentilhomme sont des triomphes. Détermination du genre : tragi-comédie • Détermination du sujet : ce que raconte l’œuvre, du thème : les problèmes abordés par

permet de le représenter, de la mise en scène en passant par le jeu des comédiens et des procédés qui guident le metteur en scène. Des indications pour la représentation sont ainsi glissées à l’intérieur même des dialogues. Par exemple, dans le Misanthrope, Célimène demande « des sièges pour tous », cela sous-entend des accessoires, des laquais et les déplacements de ces derniers. Mais la grande majorité des indications scéniques sont données sous forme de didascalies. Les didascalies, très présentes

se prête au débat d’idées. Importance du dialogue argumentatif, forme vivante, héritière du dialogue philosophique. Analyse des scènes du corpus : Giraudoux et Dumas fils. Faire référence également aux scènes argumentatives chez Molière, Le Misanthrope, sur l’amitié, où chaque personnage, Alceste et Philinte, défend sa thèse. La double énonciation théâtrale : derrière le personnage, c’est le public qui est visé. Les idées s'incarnent dans des personnages. Le texte théâtral est principalement

spectacle théâtral, l'être humain se libère de ses pulsions, angoisses ou fantasmes en les vivant à travers le héros ou les situations représentées sous ses yeux. La catharsis désigne donc, d'abord, la transformation de l'émotion en pensée. 10- Le Misanthrope est une comédie de caractère et de mœurs. Dans cette pièce Molière critique, avec les personnes qui représentent les différents défauts des catégories sociales. 11- Les règles classiques pour écrire une pièce de théatre au XVII siècle sont les

marque un tournant. Se démarquant sur tous les points, le livre est un antiroman presque sans intrigue. Il se penche sur l’isolement volontaire, qui finit par dégénérer en insupportable névrose, du duc Jean Floressas des Esseintes, un aristocrate, misanthrope et excentrique, aux gouts et tendances délibérément hors norme – car il hait et fuit la norme. Dernier survivant d’une famille tombée en dégénérescence, la vie de cet anti-héros est relatée depuis son enfance jusqu’à ses débauches orgiaques l’ayant

n'aura pas lieu ; Amphitryon 38 ; Electre. –Hugo, Hernani ; Ruy blas. –Ionesco, Rhinocéros ; La Cantatrice chauve. –Molière, Le Bourgeois gentilhomme ; l'Avare ; Tartuffe (à lire en priorité pour les 1° ES) ; le Malade imaginaire ; Dom Juan ; Le Misanthrope. –Musset, On ne badine pas avec l'amour. –Racine, Andromaque ; Britannicus ; Phèdre. –Sartre, Huis- clos. –Shakespeare, Roméo et Juliette; Hamlet; Macbeth; Othello. * Poésie * –Apollinaire, Alcools ; Calligrammes ; Poèmes à Lou. –Baudelaire, Les