Décret Crémieux

août. Échec d'une insurrection bakouniniste à Lyon 7 octobre: Léon Gambetta, ministre de l'Intérieur quitte Paris en ballon et atterrit à Montdidier) dans la Somme; il tente de créer de nouvelles armées 24 octobre: le décret Crémieux accorde la nationalité française aux juifs d'Algérie. 27 octobre: le maréchal Bazaine capitule dans Metz. 28 octobre : les Prussiens prennent le Bourget 30 octobre: Le général Trochu, laisse sans secours, les combattants

surtout sous la IIIeme République. En effet, la IIeme République, dans son élan révolutionnaire de 1848 et sous l’impulsion de Schœlcher, abolit toute forme d’esclavage et de traite négrière sur le territoire français comme le précise l’article 1 du décret du 27 avril 1848 : « L’esclavage sera entièrement aboli dans toutes les colonies et possessions françaises, […] tout châtiment corporel, toute vente de personnes non libres, seront interdits ». Dans le même mouvement d’émancipation des colonies et

peuple révolutionnaire en armes) entre dans la mémoire rép. On la retrouve en 51, 71 et 1944. Après la chute de la Monarchie le gouvernement provisoire à l’hôtel de ville (Commune de Paris en 92) dominé par les hommes du National (Arago, Marie, Crémieux, Lamartine), les radicaux ne sont plus que 2 + 2 socialistes (Blanc et l’ouvrier Albert). Temps de la République fraternelle : arbre de la liberté plantés et bénis, drapeau tricolore, abolition de la peine de mort pour motifs politiques = mesures

Paris devant l’Hôtel de Ville. Ce gouvernement est divisé en deux parties : d’un côté, on trouve des républicains modérés rassemblés autour du journal Le National comme le poète Lamartine, le savant Arago et des avocats comme Ledru-Rollin, Marie et Crémieux ; de l’autre côté, on peut compter des démocrates unis autour du journal La Réforme comme Armand Marrast, Louis Blanc et Flocon. Il s’établit alors entre ces deux tendances une opposition, les démocrates souhaitant donner à la République une orientation

mixtes; - ils ont droit de créer et bailler des tuteurs et curateurs et d'apposer les scellés; - ils ont droit de faire inventaire des biens des mineurs auxquels ils ont fait pourvoir de tuteurs et curateurs et non autrement; - ils peuvent faire les décrets des biens situés dans leur détroit, pourvu que les criées aient été faites et publiées dans le lieu de leur juridiction; - ils connaissent des causes d'entre le seigneur Haut Justicier et ses sujets pour ce qui concerne les domaines, droits et revenus

mais en zone occupée s'ajoutent des décrets allemands. Le gouvernement de Vichy va mener une politique de restriction des droits des juifs dès son installation, sans que les Allemands n'aient exprimé la moindre demande. Dès juillet 1940, le ministre de la justice Alibert, crée une commission de révision des 500 000 naturalisations prononcées depuis 1927. Le retrait de la nationalité concernera 15 000 personnes dont 40% de juifs. L'abrogation du décret Crémieux privera 100 000 Juifs d'Algérie de

France, avant d'être placé, en 1896, sous l'administration du ministère de l'Intérieur. Sujets français mais non citoyens, les Algériens n'ont pas le droit de vote aux élections de l'Assemblée nationale. Une injustice d'autant plus criante que le décret Crémieux du 24 octobre 1870 accorde aux 37 000 juifs d'Algérie la naturalisation française. En 1873, la loi Warnier accélère le démembrement des propriétés tribales au profit des Européens. Le déséquilibre au sein de la population s'aggrave. Les lois

juive relativement importante. D'autres paramètres liés aux événements propres à chaque pays entrent en ligne de compte. En Algérie, après son indépendance, les juifs ayant acquis la nationalité française lors de la colonisation française (décret Cremieux en 1871) quittent massivement l'Algérie. Le mouvement antisioniste largement favorisé par le panarabisme a encouragé le départ des juifs. Quant à la communauté juive d’Égypte, elle a quitté le pays en 1956 lors des événements de la nationalisation

par les Français en 1830. L'Algérie recouvre son indépendance en 1962. « Les monuments historiques ont été bien préservés malgré tout le long de l'histoire algérienne, mais dès l'arrivée des Français, la dégradation fut désastreuse. Plusieurs décrets ont fait que des prisons ou des villes aient été construites sur d'anciennes villes romaines, à l'exemple de Lambèse » [49]. « Lors de l'indépendance, la même politique est menée, ce qui fait que plusieurs sites sont pillés, délaissés, abandonnés

bourgeois réputés assez riches pour être capables de voter avec discernement et en toute indépendance (suffrage censitaire). Pour couronner le tout, le 27 avril 1848, à l'initiative du ministre des colonies Victor Schoelcher, le gouvernement publie les décrets d'abolition de l'esclavage dans les colonies françaises. De plus, le gouvernement va créer des “ ateliers nationaux” afin de permettre aux chômeurs d’avoir un emploi. Tant de générosité inquiète les conservateurs. Ceux-ci se regroupent dans une mouvance