Déficit de la Sécurité sociale en France

THIERRY PECH, ALTERNATIVE-ARBITRAGE -SEPTEMBRE 2011 Résume : La France comme la Grèce et L’Italie sont condamnées à l’austérité si la France veut conserver la confiance de marches financières elle va devoir prendre la situation en mains au niveau des déficits. Pour cela il existe des marges de manœuvres pour maitriser les déficits sans faire couler le sang et les larmes. La dette publique française a considérablement augmente depuis la crise on constate que par rapport a nos voisins

fondamentalement des sciences politiques. Elles sont issues d’une longue histoire traversée notamment par une préoccupation essentielle : celle de la transparence financière. Par ailleurs elles ont toujours été influencées comme l’appartenance du lien social. Ainsi elle se présente comme un instrument privilégié d’analyse de développement voir de création des sociétés politiquement organisées. Il en résulte que les réformes financières entreprises contrairement à ce qui est parfois estimé ne sont

c'est-à-dire la justice, la sécurité et la diplomatie. Dès lors il a très peu de dépenses publiques et donc par suite très peu d’impôts. Cette évolution est commune avec d’autres pays (cf contrat social de Rousseau  passage à un rôle différent de l’Etat : plus soutenu). S’il intervient il porte atteinte aux libertés. Au 19ème siècle, il n’y avait qu’un impôt sur la terre et le patrimoine. Cette conception a été abandonnée à la fin du 19ème siècle (idem pour les EU et la GB). La France commence à intervenir

en février 1992, ratifié par la France en septembre 1992 par référendum et entré en vigueur le 1er novembre 1993, prévoit que les pays de l’Union européenne peuvent participer à l’Union économique et monétaire (UEM) à condition de remplir cinq "critères de convergence". Parmi ces critères, deux concernent le déficit et la dette cumulés de l’ensemble des administrations publiques (État, Sécurité sociale, collectivités territoriales) : d’une part, le déficit des administrations publiques ne

modèles pouvant servir à guider l'action politique. La politique économique gèrent la rareté. Comment la répartition sera-t-elle effectué entre les différents agents économiques? Il doit y avoir conciliation entre l'efficacité économique et la justice sociale. LES COURANTS DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE La réflexion économique apparaît chez les philosophes grecs (Aristote et Platon) qui étudie la gestion domestique puis celle de la cité. Au moyen age c'est la morale chrétienne qui inspire la pensée économique

DOSSIER DOCUMENTAIRE – CHAPITRE 10 Document 1 : D. Chamblay, M. Montoussé. G. Renouard, 50 fiches pour comprendre les débat économiques actuels, Bréal, 1999 Le système de protection sociale est victime de son succès. De 17,66 % du PIB en 1970, les dépenses de protection sociale sont passées à 30,8 % en 1996. - Cette croissance des prestations est tout d'abord due au processus de généralisation et d'amélioration de la couverture des besoins. - La hausse des prestations résulte aussi de la croissance

disponible Cf fiche redistribution La redistribution c l’ensemble des opérations permettant de passer du revenu primaire o revenu disponible des ménages. Le revenu disponible=revenu primaire (impots – cotisations sociales)prélèvements obligatoires + prestations sociales (=env 1 /3 des ressources des ménages modestes) Le revenu dispo est soit consommé soit épargné (taux d’épargne =16%) II -/ Objectifs de la redistribution objectif d’assurance assurance contre la maladie,le chomage

2009.Le taux du livret A et des autres produits d'épargne est déterminé depuis juillet 2004 par une formule d'indexation automatique. Ce dispositif avait été mis en place par le règlement du CRBF du 24 juillet 2003. À partir de 2009 la Banque de France calcule ces taux quatre fois par an. L'arrêté du 29 janvier 2008 a modifié le mode de calcul du taux du Livret A : il est désormais calculé comme la demi-somme de l'inflation et de la moyenne des taux courts (Euribor et Eonia), avec un plancher minimum

primauté du principe de la capacité contributive 8 C. Le recourt à la contrainte à la dissuasion ou à l'incitation. 8 SECTION 2. L'histoire des finances publiques 8 1. Les origines historiques des Finances Publiques 9 2. Les finances publiques en France 10 A. les finances sous l'ancien régime 10 B. La période révolutionnaire et la réorganisation napoléonienne 10 C. Les finances au moment de la restauration 12 D. La conception moderne des finances publiques 13 E. Les finances post modernes 14 TITRE

chose que la demande ; pour qu’un besoin devienne une demande, il faut qu’il ait un prix. Qui sont les économistes ? Du temps d’Aristote et de Platon on parle d’économie, mais de leurs temps à celui des canonistes (les savants qui ont pensé la vie sociale en occident : comme Saint Augustin), nous sommes dans une économie domestique, elle est subordonnée à la morale ; on ne peut pas faire n’importe quoi au nom de l’économie. Vers le 11ème siècle, Saint Thomas d’Aquin condamne le prêt à intérêt : pour