Delinquance Juvenile Point De Vue Psychologique

.................12 C - L’ORGANISATION DE LA PRISE EN CHARGE DE LA SANTÉ MENTALE DES ENFANTS ET DES ADOLESCENTS....13 1. Des origines à la désinstitutionalisation .........................................13 2. Les secteurs de psychiatrie infanto-juvénile, évolution et disparités ........................................................................................13 3. Les établissements médico-sociaux accueillant des enfants handicapés ou souffrant de troubles psychiques......................

fait état d’une massification, d’un rajeunissement ou d’une violence accrue de la délinquance des mineurs. On note une forte représentation des garçons dans la délinquance juvénile. *C’est une délinquance massive, territorialisée et sans doute le plus inquiétant une délinquance socialisante pour le mineur – cad qui permet au mineur de trouver une place dans la société. * renforcement de la violence de la délinquance des mineurs * Ce qui a influencé la construction de ce DPM, ce sont les textes

populaires –qui recrutent des femmes comme actrices de la violence armée- n’épargnent jamais les femmes et les adolescentes d’une localité occupée par des groupes de bandits. Quant au mécanisme qui entretient cette violence armée, il repose sur divers points, plus ou moins récurrents d’une commune à l’autre, qu’il faut nécessairement articuler entre eux, soit : 1) l’appropriation d’un espace public par un groupe armé. Cette annexion n’est rendue possible qu’en raison de l’absence de l’Etat via ses services

camarades...). Autrement dit, l’enfant est narcissiquement dépendant, dans des proportions bien plus grandes que l’adulte. L’échec scolaire entame généralement gravement l’estime des autres, et tend à priver l’enfant de cet étayage narcissique psychologique¬ment vital pour lui. Même les adolescents, qui font volontiers démonstration de mépris vis-à-vis du « bon élève », ne le font guère que sous le prétexte qu’il est « trop sage », trop conformiste, trop docile face aux autorités, et non du seul fait

sociale difficile. Le gouvernement s’est intéressé à ces territoires car le risque de ne pas maîtriser ces populations et notamment les jeunes le préoccupe. À la vue des différentes lois sur la prévention de la délinquance, les jeunes de ces quartiers se trouvent stigmatisés et considérés comme de potentiels délinquants. Le risque de délinquance devient croissant et se trouve apparenté à un virus. Ce virus social nécessite une solution « médicamenteuse », ce que s’affère à développer le Plan Banlieue

Freud fut amené a élaboré une théorie de la séduction (1895-1897) qui suppose que le traumatisme se produit en deux temps séparés par la puberté : 1. Le premier temps est celui de la séduction proprement dite. C’est l’événement sexuel du point de vue de l’adulte, mais pré-sexuel pour l’enfant. Il n’y a pas, à ce moment là, de refoulement dans l’inconscient pour l’enfant; 2. Le deuxième temps, c’est un nouvel événement, par forcément de nature sexuelle, qui fait resurgir, par association

groupe secondaire. Parmi cette typologie de groupe nous avons les clubs sportifs, les syndicats, les associations professionnelles… Mais lorsqu’on parle de groupe secondaire, on parle également d’une collectivité structurée, organisée, programmée en vue d’atteindre des objectifs. Les comportements sont régis par des règles formelles pré-établies. La distinction entre ces deux typologies de groupes n’est pas aussi catégorique. En effet, un groupe secondaire peut devenir un groupe primaire, par

retard, le juge peut décider de porter ses faits à la connaissance du public, en affichant, par exemple, le jugement de condamnation sur le lieu de travail de l’auteur. Mais ce dernier a un droit de réponse et peut, sur le même lieu donner son point de vue. Enfin, la restitution consiste à rendre ce que l’on a perdu. Elle est ordonnée lors de l’inexécution d’un contrat, Lorsqu’un des cocontractants a livré la chose mais n’est pas payé, l’autre devra lui restituer la chose. Mais, on ne peut

1945, si l’effort en E.P. est visible grâce à des manifestations physiologiques et énergétiques, à des mobilisations anatomiques, il est néanmoins orienté vers un but moral : la reconstruction collective. Et il fait également appel à un versant psychologique : la volonté. On peut constater que cette définition préalable de l’effort recouvre plusieurs dimensions, même si à la Libération l’E.P. accorde une place identifiable à certaines dimensions qu’à d’autres. Peut-on affirmer que ces dimensions

dans la société, pour modifier les réactions de rejet de celui-ci d'où les notions de réhabilitation et de réadaptation. Les malades mentaux chroniques qui sont suivis ou non en psychiatrie nécessitent un suivi quotidien dans leur milieu de vie en vue de les insérer au mieux. La plupart du temps ce sont les travailleurs sociaux qui en ont la charge. Il est clair que ce n'est pas parce qu'un patient est stabilisé que ses problèmes d'insertion et de qualité de vie sont résolus. Nous savons tous