Delinquance Juvénile Conséquence

distincts ; il relevait de ce fait des réponses différenciées de celles appliquées aux adultes. Aujourd’hui, on considère que le jeune âge n’écarte pas toute sanction, mais qu’il serait inopportun de ne pas tenir compte des particularités de la délinquance juvénile. Le droit qui leur est applicable a été non seulement éclairé par les apports des sciences humaines, mais aussi marqué par la période sombre de la guerre. Il s’agit de l’ordonnance du 2 février 1945 ; elle est l’expression d’un projet de

l’Education Générale et Sportive, et le Commissariat Général de l’EGS en 1940, ce qui traduit la volonté de contrôle du sport par l’Etat. Chaque région et département se voient dotés de sa direction de l’EGS. Nous observons encore aujourd’hui les conséquences de cette politique au plan local. 3 Pour une vue synthétique, voir T. Terret, « France », in J. Riordan, A. Krüger & T. Terret (Dir.), Histoire du sport en Europe, Paris, l’Harmattan, 2004

renvoie à la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen. Cela a été affirmé dans un arrêt du Conseil constitutionnel du 16 juillet 1971[1]. Justification du principe Le principe de la non-rétroactivité de la loi dans le temps est une conséquence du principe de légalité. Si une loi nouvelle rétroagit, on pourrait faire d'un acte une infraction alors qu'au moment où il a été commis, il n'était visé par aucun texte. Ce principe a été critiqué, comme le principe de légalité, mais il a été

de la jeunesse. La « jeunesse » n'est pas une catégorie homogène, ni dans l'espace, ni dans le temps. Les « jeunes » d'ici ou d'aujourd'hui ne sont pas ceux de là-bas ou d'hier. Tout comme le souligne Claude Rivière dans “L’excès festif juvénile tempéré par le rite” : « ce qui sera dit d’une certaine jeunesse ne s’applique pas à l’ensemble des jeunes ». Cette notion est pourtant l'objet de nombreux débats médiatiques ou politiques. Elle apparaît comme problème social, entre autres, par le

12/ LA BIOETHIQUE 13/ DONS D'ORGANES ET DONS DU SANG 14/ ASSISTANCE MEDICALE A LA PROCREATION 15/ LES TESTS GENETIQUES 16/ L'EUTHANASIE 17/ LA BANLIEUE 18/ LA POLLUTION 19/ LE CHOMAGE 20/ EXCLUSION ET PAUVRETE 21/ LA DELINQUANCE 22/ LA FAMILLE 23/ L'IMMIGRATION 24/ LES PERSONNES AGEES 25/ LES FEMMES 26/ L'ENFANT 27/ LES BIENFAITS DU RIRE 28/ LES VIOLENCES CONJUGALES 29/ LE STRESS AU TRAVAIL LES MCV Définition: Les MCV sont des affections touchant

qui créent la déviance en instituant des normes dont la transgression constitue la déviance. Ce sont les groupes sociaux qui donnent l’étiquette « déviant ». Donc la déviance ne correspond pas à un acte commis par une personne, mais est la conséquence de l’application par les autres de normes et de sanctions à un transgresseur. Donc le déviant est celui auquel cette étiquette a été appliquée. Becker prend un exemple emprunté à Malinowski : une tribu dans les îles Trobriand (vers la Nouvelle

et, sans avoir de statistiques à l’appui, la corrélation entre un enfant ayant des lacunes dans sa construction identitaire et le taux de délinquance juvénile n’est pas ardue à faire. En résumé, en plus de permettre aux détenus de garder leur intégrité psycho-sociale, les conditions carcérales de Norvège sauvent aussi une partie de leurs générations juvéniles qui, dans un pays comme les États-Unis, aurait été gravement perturbée et aurait occasionné à sa suite diverses problématiques sociales et

Quelles conséquences en tirer? Ne faut-il pas se poser la question à savoir si un changement de paradigmes à ces deux niveaux (pénal et criminologique) ne s'avère pas nécessaire? 1. LES PERSPECTIVES CLINIQUES ET LEURS POSSIBILITÉS D'INTÉGRATION DANS LE SYSTÈME PÉNAL 1.1 Les deux orientations cliniques dans la prise en compte de la délinquance et de son auteur Nous pourrions résumer les deux orientations de la manière suivante. La première orientation. On peut considérer que la délinquance nous renvoie

son ouvrage cœur de banlieue où il a repris l’analyse de la violence dans une perspective contemporaine. Selon lui, la violence fait partir de la culture de la rue. Il s’agit de restituer à la violence son cadre spécifique en dehors de la délinquance juvénile. Dans une vision où la violence physique est positivée, c’est la subculture de rue ou la sous- culture des adolescents qu’il étudie. Cependant, la question qui se pose est celle de savoir comment du coté des acteurs cette violence est valorisée

*actes illocutoires : manière dont l’énoncé est utilisé en situation concrète et action souhaitée sur l'auditeur lors de la formulation de l'énoncé. Ex : Je veux que tu viennes me voir *actes perlocutoires : effets produits par l’énonciation ; conséquences des actes locutoires et illocutoires (convaincre, faire croire…) Ex : l’homme se déplace pour me rejoindre Des frontières floues : si, debout auprès d'un lac gelé, je crie à un patineur : "La glace est mince, par là !" l'acte illocutoire informe