Démodocos

première chose que le roi des Phéaciens propose est une libation en l’honneur de Zeus, qui est le « dieu des suppliants ». De plus, on loue l’aède pour son chant inspiré par « la muse » qui est une déesse des arts. Ce privilège fait que l’aède Démodocos reçoit force offrandes et honneurs. La prière et la complainte sont deux pratiques étroitement liées, très pratiquée au cours du récit. Ulysse se plaint des dieux qui l’auraient abandonnés et il prie le dieu du fleuve de lui ouvrir son cour. Les

connues partout », ou « Ulysse l’ingénieux ». Il est très bon stratège, entre autre quand il aveugle le cyclope après l’avoir rendu ivre. Mais il est stratège et diplomate depuis l’Iliade, avec l’épisode du Cheval de Troie, qu’évoquera ensuite l’aède Démodocos. Comme tous les héros épiques, Ulysse tient ses qualités de surhomme d’un caractère divin. On le dit en effet souvent « égal aux dieux », et c’est parce qu’il est en fait un héros au sens mythologique grec : le descendant d’une divinité et d’un

rapport de complicité. Les dieux deviennent familiers =) ex : chant XIII p 220 , Athéna met sur le même pied d’égalité. Ex : Nausicaa prend Ulysse pour un dieu. ¤ par rapport au récit , ils maitrisent Ulysse ainsi que les évènements. Démodocos invoque la muse avant de parlet. Dramaturgie de l’Odyssée dirigée par les dieux. II/ les monstres ( aspect fantastique) - Sirènes - Cyclope - Charrydbe et Scilla - Lestrygons - Lotophages - Les bœufs du soleil =) opposant dans le trajet

"hé oh tu m'entends ?" pour s'assurer qu'on est en communication _Fonction phasique dans l'Odyssée : répétitions. _Hommage rendu à l'aède, ex: Démodocos : "de tous les hommes de la terre les aèdes méritent les honneurs et le respect" (Ulysse). Il veut dire que l'aède est inspiré des dieux > Sacralisation: mission sacrée, glorification "Démodocos entre tous les hommes je te salue" "tu chantes avec un grand art le sort des grecques ". _Souffrances et exploits des grecques. _L'aède glorifie-t-il

grand nombre. Quelques mises en scène 2004 : Jacques Nichet, texte par Irène Bonnaud et Malika Hammou, Théâtre national de Toulouse 2006 : Philippe Brunet, masques, décor et costumes d'Yves Leblanc, musique de François Cam, Théâtre Démodocos (Paris) 2006 : Anne Delbée, au centre culturel Robert Desnos (Ris-Orangis) 2008 : René Loyon, à l'Atalante (Paris), nouvelle traduction de Florence Dupont (L'Arche Éditeur) 2011 : Wajdi Mouawad, traduction par Robert Davreu, musique

Calypso puis sa navigation jusqu'en Phéacie et l'accueil que lui a fait Nausicaa. La conversation et le repas terminés, Ulysse passe la nuit au palais. Chant VIII [modifier] Le lendemain, Alcinoos invite Ulysse à un banquet en son honneur. L'aède Démodocos chante la querelle d'Ulysse et d'Achille au temps de la guerre de Troie ; Ulysse ne peut retenir ses larmes à ce souvenir, mais il les dissimule et seul Alcinoos s'en rend compte. Pour changer les idées de son hôte, Alcinoos ordonne des jeux improvisés

les Phéaciens en l’honneur de leur hôte, avec banquet, jeux, dons et chants redoublés de Démodocos, qui raconte 3 micro-récits secondaires dont il faudra interroger la cohérence : la dispute entre Ulysse et ; les amours d’Arès et d’Aphrodite (VIII, 266-369) ; et une 2ème version, après celle, surprenante, d’Hélène au chant IV, du cheval de Troie, à la demande d’Ulysse, à qui les discours de Démodocos tirent les larmes. Les récits qu’Ulysse fait de son périple antérieur, aux chants IX à

Circé et Calypso | |Sensibilité : |Oubli/ Indifférence : | |( Il pleure lorsque Démodocos évoque Troie. |( Festoie chez Circé et oublie presque de rentrer. | |( Il a hâte de rentrer chez lui |( Il arrive presque a Ithaque puis vire vers Eole.

offrit son cœur à Jasion, quand ils s’unirent sur la couche de l’amour dans un champs trois fois labouré, Zeus ne fut pas longtemps sans l’apprendre, sans le frapper de sa foudre aveuglante ! » ( chant V, vers 121 à 128) ou lorsque Demodocos raconte les amours d’Aphrodite et Arès « L’aède préluda sur la lyre un très beau chant , sur les amours d’Arès et Aphrodite au diadème. » (chant VII, vers 266-267) Ici se sont pas des récits réellement guerriers, mis à part l’épisode des

donc pour qualité de présenter des réactions purement humaines face à la mort. Ces réactions sont celles de la passion et du regret, qui témoignent de sa sensibilité. Il pleure la mort de ses camarades péris à Troie, lorsqu’il entend le récit de Démodocos par exemple. Il se montre surtout civilisé face à la mort que, selon la coutume grecque, il va ritualiser pour la rendre moins affreuse. Ainsi revient-il à Aiaé, auprès de Circé, afin de donner une sépulture digne à Elpénor, lui garantissant par