Déportation en droit français

pour une longue guerre de position. _ Les années 1915 à 1917 sont marquées par l’échec de violentes offensives. Les Alliés échouent en 1915 en Dardanelles et en 1916 sur la Somme ; la même année, les Allemands ne parviennent pas à faire céder les Français à Verdun. La guerre d’usure échoue. Guerre de mouvement (p.86) : Phase des combats privilégiant les offensives et durant laquelle le front est encore mobile. Guerre de position (p. 86) : Phase des combats pendant laquelle les armées sont retranchées

est condamné une nouvelle fois, à dix ans de travaux forcés, avec, toutefois, circonstances atténuantes. Épuisé par sa déportation de quatre longues années, Dreyfus accepte la grâce présidentielle. Ce n'est qu'en 1906 que son innocence est officiellement reconnue au travers d'un arrêt sans renvoi de la Cour de cassation, décision inédite et unique dans l'histoire du droit français. Réhabilité, le capitaine Dreyfus est réintégré dans l'armée au grade de commandant et participe à la Première Guerre

Comment les résistants parviennent –ils à faire triompher les valeurs républicaines face à l’occupant et au régime de Vichy ? I- L’occupation et le régime de Vichy Après la défaite de juin 1940, le territoire français est divisé : - En zone libre (sud), le maréchal Pétain, installé à Vichy, gouverne directement. - En zone occupée (nord), l’administration du pays est placée sous l’autorité des autorités militaires allemandes. En 1940, Pétain obtient les pleins pouvoirs : c’est la fin de la

également l'émergence à une échelle inconnue jusqu'alors de crimes de masse particulièrement atroces et pour certains sans précédents, tout particulièrement à l'instigation de l'Allemagne nazie et du Japon impérial. Parmi ces crimes figurent la déportation en camps de concentration, camps de travail et camps d'extermination, comportant des chambres à gaz à des fins d’extermination de populations entières (Juifs, Slaves, Tziganes), ou de catégories particulières d’individus (homosexuels, handicapés

immédiatement déchiffrables par la communauté ashkénaze, se révèlent soudain inappropriés, et pourtant irremplaçables. « Après Auschwitz, écrire de la poésie est barbare. » affirme Theodor Adorno peu après la catastrophe[4]. De même, le survivant français qui veut témoigner par la littérature se trouve « privé de toute référence [...] Ce qui frappe c'est [...] l'absence de matrice littéraire, due d'ailleurs à l'étrangeté d'un phénomène, celui du camp de concentration, totalement extérieur à la culture

Introduction : C’est une affiche de propagande qui a été crée et affichée dans la région de Matignon en France entre 1940 et 1942 par R. Vachet. Elle est produite par le Centre de propagande de la Révolution Nationale d'Avignon. Elle est destinée au peuple français et plus principalement aux habitants de la région d’Avignon. La propagande désigne un ensemble d'actions exercé sur l’opinion pour l’amener à avoir et a appuyer certaine idées. Cette affiche a été réalisée à la suite de la défaite militaire Française

Le capitaine Albert Dreyfus, premier officier juif français est condamné pour espionnage en 1894. Bien qu'innocent, les militaires le juge hâtivement et ce simple fait divers devient en 1898 une affaire d'état, quand il devient évident qu'une erreur judiciaire à été commise et que l'armée refuse de condamner le véritable coupable. Cette crise profonde divise la France en deux camps : les dreyfusards, partisans de l'innocence Dreyfus et des valeurs républicaines et les anti-dreyfusards, qui croient

génocides. Une analyse diachronique facilite l'appropriation de l'étude. C’est la nécessité de panser les blessures qui a déterminé la construction des premières mémoires (l’héroïsation nationale de la France libre, de la Résistance et de la Déportation). D’autres mémoires émergent dans un second temps : celle des victimes des génocides (les Juifs et les Tsiganes), celle ensuite des prisonniers de guerre ou des anciens du STO se nommant « déportés du travail » ; celles des « Malgré-nous » alsaciens

De l’Etat français à la IV République (1940 -1946) I - Un régime né de la défaite (1940) Problématique : Comment les forces politiques issues de la résistance arrivent elles à restaurer la République et ses valeurs en 1946 ? Juin 1940, l’armée française connait une déroute. Une débandade politique accompagne cette déroute. Le 10 juillet, l’assemblée nationale vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Refusant la capitulation, le gouvernement de Pétain demande l’armistice et accepte les

td Droit administratif : responsabilité Conseil d’Etat, Assemblée, 12 avril 2002, Maurice PAPON, N°238689 Introduction Edouard Laferrière, commissaire au gouvernement, définissait dans ses conclusions sur l’arrêt de Conseil d’Etat, 26 juillet 1877, Epoux Lemonnier, la faute personnelle comme la faute révélant « l’homme avec ses faiblesses, ses passions, ses imprudences », l’opposant à la faute de service réduite à un « acte dommageable impersonnel » qui révèle un administrateur « plus ou moins