Des abeilles et des hommes

l’on a de soi-même. Descartes lui ni toute forme de conscience chez les animaux, c’est la théorie des « animaux machines ». Pour lui les animaux ne sont pas différents des machines et ne peuvent donc pas être dotés de conscience. D. admet que les Hommes aussi peuvent ressembler à des machines mais ils ne correspondent pas à la théorie. Les animaux sont considérés comme des machines car comme celles-ci ils ne peuvent parler et même si c’était le cas ce langage serait à dissocier du langage Humain

pouvons contempler chaque jour. C’est de cette union que ces édifices résistent à l’épreuve du temps. A l’instar les abeilles forment des chaînes cirières afin de se nourrir et d’apporter la quantité nécessaire à leur progéniture et la survie de toute la ruche. On retrouve aussi de formidables de chaînes dans l’histoire contemporaine. Je pense aux ponts aériens, réalisés par des hommes libres pour venir en aide à ceux qui sont loin, isolés et qui souffrent en leur apportant réconfort, soins, nourriture

de la recherche de l'amour vue sous un jour superficiel1. Ce côté futile et artificiel est largement mis en valeurs tout premièrement par le titre lui même. Les ingénus sont des personnes qui sont d’une franchise naïve et ne dissimulent rien. Ces hommes ne d’une grande candeur se font séduire par ces femmes qui par de simple artifices les entrainent dans les mailles de leur filets. Ceci est d’autant plus renforcé par le fait que Verlaine qui, dans la première strophe, fait rimer « jupes » avec « dupes »

social, fait pour vivre en groupe et ce qui le distingue des autres animaux sociaux comme les abeilles, c'est le fait qu'il ait la parole. On ne peut donc pas dire que les animaux sont vraiment heureux, en effet, ils sont commandés pas leur instincts, et n'ont pas de recul sur leur vie, contrairement à l'homme qui, grâce à la parole et à la vie en société, peut parler de ce qu'il vit avec les autres hommes. En satisfaisant à ces besoins, il réalise sa nature, et pourrait donc être heureux. Mais

des moustiques et des mouches mais non des abeilles (à propos du bourdonnement des abeilles, souvent opposé à celui des insectes, voir plus bas). En particulier, c’est justement hum qui décrit la façon dont Winnie l’Ourson chante ses fameuses comptines ; il s’applique également au chant avec la bouche fermée, où il ne peut pas y avoir de paroles. En allemand, le verbe summen se conduit de façon similaire ; il recouvre néanmoins les moustiques et les abeilles ; le verbe français bourdonner décrit initialement

toutes « cités est naturelles, puisque les communauté antérieurs dont elle procède le sont aussi » (l.5). Étant donnés qu’on considère, que tous les hommes sont nées dans une communauté politique, d’origine naturel, les cités, par leur origine, le sont aussi. Cependant, certains théologiens, considèrent, que d’un point de vue de la théologie, les hommes, dans leur nature, vivaient en cité, avant même que les cités existent. Dans ce sens, l’existence d’un organisme politique est apparu dans le but

l’ensemble de l’espèce sous l’aspect d’un développement continu, bien que lent, de ses dispositions naturelles. Par exemple, les mariages, les naissances qui en résultent et la mort, semblent, en raison de l’énorme influence que la volonté libre des hommes a sur eux, n’être soumis à aucune règle qui permette d’en déterminer le nombre à l’avance par un calcul; et cependant, les statistiques annuelles qu’on dresse dans de grands pays mettent en évidence qu’ils se produisent tout aussi bien selon les lois

vérités qui servent de leçons. Tout parle en mon ouvrage, et même les poissons. Ce qu’ils disent s'adresse à tous tant que nous sommes. Je me sers d’animaux pour instruire les Hommes. Illustre Rejeton d’un Prince aimé des cieux,2 Sur qui le monde entier a maintenant les yeux, Et qui faisant fléchir les plus superbes têtes, Comptera

manque à l’argumentation de Descartes : une étude de cas éthologique. Et que, sans pour autant dire que Descartes dévalorise l’animal, il ne lui rend pas pour autant justice. En effet une étude de Karl Von Firch, un entomologiste propose une étude des abeilles : celle-ci serait capable par des signes physiques apparentés à une danse, peuvent exprimés des direction ou l’emplacement d’une nouvelles sources de nourriture. Biens que les signes ne sont pas aussi développés que chez l’Homme, le comportement

sentiment… Différences fondamentales avec le langage humain : le message n’apporte aucune réponse (abeilles) sinon une conduite (qui n’est pas une réponse). Il n’y a pas de dialogue. La communication animale ne porte que sur des données objectives pas linguistiques. Les contenus du message animal sont limités et stéréotypés : fixité (infinis dans le langage humain). Cf. travaux de Benveniste. Les hommes peuvent babiller le bec en l’air, pépier comme des oisons, ressasser comme des perroquets, mais