Des visages des figures

performance « absolue » où, à l’aide de la chirurgie esthétique, elle transforme son corps et son visage, qu’elle modèle aux idéaux de la beauté féminine à travers l’histoire de l’art (Vénus de Botticelli, Mona Lisa…). Elle crée ainsi « l’art charnel » qui est une manière de revisiter à travers son corps des formes de beauté. Au fur et à mesure des opérations, on assiste à une métamorphose du corps et du visage de l’artiste. N’ayant pas peur de perdre son ancienne physionomie, Orlan revendique, par contre

décide de peindre cette scène et de la représentée comme une mêlée chaotique. La composition est marquée par le désordre ; au centre, la tache rouge du soldat français tué, un poignard espagnol et un poignard français sont dirigés vers lui. Les visages des hommes expriment la sauvagerie, leurs regards sont ceux de bêtes féroces. Paradoxalement, seuls les yeux des chevaux expriment l’incompréhension de ce chaos, ils semblent rester dignes. Ici, Goya révolutionne la représentation de la guerre. Traditionnellement

précis d’un visage, le caractère, la profondeur du regard, la Marylin Monroe de Warhol devient un produit sans détail, une forme vide, une image « pure », reproduite indéfiniment. Avec le travail sur la couleur, le visage paraît voilé, effacé. Par l’assemblage de ces portraits, tour à tour hauts en couleurs, sombres ou saturés, allant jusqu’à faire disparaître en partie les traits du visage, l’artiste révèle la mort de l’image en parallèle à la mort de la célébrité. En représentant des visages de Marilyn

extrêmement complexes. Les figures représentées par Picasso sont parfois très claires dans ce qu'elles expriment, parfois plus ambigües. C'est cette complexité qui fait aussi la richesse de Guernica. Analyse des figure de l’oeuvre Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval : Presque

succession d'images extrêmement complexes. Les figures représentées par Picasso sont parfois très claires dans ce qu'elles expriment, parfois plus subtiles. Analyse de l’œuvre : Le taureau Figure récurrente du travail de Picasso, elle symbolise la brutalité et l’indifference des ennemis (franquistes et allemands)sur les habitants du petit village Ici, La bête hébétée reste au milieu du propre carnage qu’elle a causée Le taureau Figure récurrente du travail de Picasso, elle symbolise

Saltimbanques, collection dans laquelle Picasso peint principalement des Arlequins, figure emblématique de la Comédia Del Arté iltalienne. Le tableau représente un arlequin en train de boire un verre dans un cabaret et assis a côté d'une femme qui lui détourne le regard. Au fond, nous pouvons apercevoir un guitariste avec un chapeau éloigné des autres et qui cache ses yeux. Les couleurs utilisées sont chaudes sauf pour le visage de l'arlequin et de la femme qui eux sont représentés par des couleurs froides

hurlante marque la souffrance Picasso dans son atelier à paris, peignant Guernica. Diapo 6 -Le taureau=figure mythique du Minotaure ,motif central de l’oeuvre Au milieu du bombardement ,il apparaît impassible, statique.( bouche ouverte et langue pointue lui donnent une expression) ???,ses yeux=yeux humains . Il semble fixer le spectateur. Certains y voient une figure de la bestialité et de la cruauté, d’autres le symbole de la résistance. -L'oiseau entre cheval et taureau a peine

pupille, cils...) pourtant il ne donne pas de lumière ou peu b) la lampe portée par le bras d'une figure féminine qui semble voler. Petite lumière qui éclaire pourtant toute la partie centrale du tableau. Lumière d'espoir? Cette lumière délimite un triangle dont elle est le sommet.(référence à la structure des œuvres de l'époque classique) 3: les éléments de l'œuvre: a) dans le triangle central: figure centrale de l'œuvre : le cheval: symbole du peuple martyr

douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval : Presque au centre de la composition, il symbolise, des dires même du peintre, le peuple. Une lance transperce son flanc et le blesse à mort. La tête est rejetée en arrière, la bouche semble hurler et laisse visibles les dents et la langue pointue. Le taureau La figure mythique du Minotaure est un motif central de l’œuvre de Picasso : Au milieu de la débâcle il apparaît impassible

le Christ. Les personnages se séparent en trois groupes, tout d’abord ceux du haut, ils tentent à plusieurs, avec moult précautions et difficultés de descendre délicatement le corps du Christ. Ceux du bas pleurent le messie défunt, à gauche, la figure caractéristique de la vierge Marie en pleurs soutenue par deux femmes et aux pieds de laquelle, une troisième pleure aussi, ces trois femmes pouvant êtres assimilés aux trois autres « Marie » contemporaines du Christ : Marie-Madelaine, Marie Salomé