Des visages des figures

Chabert dans le roman de Balzac du même nom : Le jeune avoué demeura pendant un moment stupéfait en entrevoyant dans le clair-obscur le singulier client qui l’attendait. Le colonel Chabert était aussi parfaitement immobile que peut l’être une figure en cire de ce cabinet de Curtius où Godeschal avait voulu mener ses camarades. Cette immobilité n’aurait peut-être pas été un sujet d’étonnement, si elle n’eût complété le spectacle surnaturel que présentait l’ensemble du personnage. Le vieux soldat

En quoi ce passage nous présente il une scène de l'esthétique romantique ? C'est ce que nous verrons dans une première partie consacrée à l'étude regard du narrateur et personnage principal. Puis dans un second temps nous analyserons l'image de la figure de Foedora. Enfin nous finirons par une analyse critique de l'amour dans ce passage. Le personnage de Raphaël se trouve caché durant ce passage derrière des rideaux, observant la scène au travers de petits trou percé à l'aide d'un couteau dans

social. Ici : seulement le visage (figure, peau, joues, yeux, le bout de son nez : portrait par morceaux), variable selon les jours « certains jours… D’autres jours… d’autres fois » : le temps est déterminant, ce n’est pas toujours le même visage. Proust a déclaré qu’il voulait élaborer une « psychologie dans le temps » L.27 « chacune de ces Albertine était différente » : plusieurs Albertine en une, l.30 aussi. A part le temps, qu’est-ce qui fait varier le visage d’Albertine ? 3/8 : « la tristesse »

Ancien nonce à Madrid, Giambattista Pamphilj, devenu pape en 1644 sous le nom d’Innocent X. À l’occasion de son année jubilaire, il commande son portrait à Vélasquez. Le portrait montre Innocent X solidement carré dans sa chaire, son visage dégageant une détermination et une ténacité que souligne le regard fixe posé sur nous. Ces œuvres, par leur facture, annoncent la troisième et dernière période stylistique du peintre. “Le Pape Innocent X” de Vélasquez (1650) fut le sujet de plusieurs toiles

douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval : Presque au centre de la composition, il symbolise le peuple. Une lance transperce son flanc et le blesse à mort. La tête est rejetée en arrière, la bouche semble hurler et laisse visibles les dents et la langue pointue. Le taureau : La figure mythique du Minotaure est un motif central de l’œuvre de Picasso. Au milieu de la débâcle il apparaît impassible

pyramide il y a la mort représentée par le soldat, sur une assez grande largeur et au sommet l’espoir symbolisé par la lampe sur un espace plus étroit. IV- Analyse des figures principales: le cheval: Il se trouve vers le centre de l’œuvre et symbolise le peuple. Une lance transperce son flanc et le blesse à mort. Le taureau: Son visage semble neutre et n'exprime aucune émotion. Seules la langue pointue et ses yeux humains lui donne une certaine expression. Il fixe le spectateur. On peut y voir une

comme c’est le cas des musiciens ou des deux tortues. L’accent est mis sur la verticalité : la femme se tient debout, devant un rocher élevé qui la surplombe, rocher lui-même strié de lignes verticales. Contrastant avec la mort tragique du poète, le visage raphaélesque de la femme, et l’arrière-plan vaporeux inspirent la douceur, l’élévation et la spiritualité. 3. Les deux tortues en bas à droite rappellent que la première lyre aurait été fabriquée à partir d’une carapace de tortue. Leur présence au

faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non. IJespèce de visage inoui que le hasard ou une industrie bizarrement spéciale lui avait façonné, riait tout seul. Gwynplaine ne s'en mêlait pas. Le dehors ne dépendait pas du dedans. 5 Ce rire qu'ii n'avait point mis sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche, il ne pouvait l'en ôter On lui avait à jamais appliqué le rire sur le visage- C'étaii.rn rire automatique, et d'autant plus irrésistible qu'il était petrifià

avant J.C (640) Cruche à bouche ronde, céramique beaucoup exportée Traitement miniaturiste 26cm d’hauteur, les figures dessus mesurent 4,5cm Remarquable par la diversité des thèmes Utilisation d’incitions de couleurs => effet de polychromie * Trois registres figurés avec le thème : défilé de soldats avec des boucliers ronds (fait avec une très grande finesse), technique de figures noires (inventé au début du siècle de Corinthe et s’est rependue. Processus triple de cuissons, en atmosphère

curieusement... ». On remarque que la description itinérante (description en mouvement prise en charge par l'auteur-narrateur omniscient) cède la place à une description postée (le descripteur est immobile, sur le palier, nous proposant un gros-plan du visage de ce vieillard). Dans ce segment narratif, on peut parler de focalisation interne dans la mesure où c'est Nicolas Poussin (personnage présent comme personnage dans l'action, donc intra-diégétique) qui semble décrire le vieillard de son propre point