Des visages des figures

pyramidale qui affermit la stabilité de la figure. Les cheveux sombres, recouverts d’un léger voile, encadrent le visage aux sourcils épilés qui attire toute l’attention du spectateur [ détail b ]. Une présence « qui crève l’écran » Avec son regard pénétrant et son léger sourire, Monna Lisa semble défier le spectateur et s’en amuser. Léonard a su capter une expression fugace passée sur le visage de la jeune femme. Il représente avec précision les muscles de son visage et tous leurs mouvements, notamment

Le peintre de la Gorgone Introduction : Le cartel : * C'est un dinos à figures noires, dit le dinos du peintre de la Gorgone. Il date vers 580 avant JC, sa provenance est incertaine, peut être de Cerveti. Il fait 93 cm de haut, il est conservé à Paris, au musée du Louvre, il se trouve dans la collection Campana et a été acquis en 1861. Son numéro d'inventaire est le E 874. Il est en bon état de conservation. C’est de ce vase qu’est tiré le nom du peintre. Il s’agit de son vase éponyme.

face à plusieurs personnages féminins très stylisés et qui s'imposent davantage par leurs formes et dimensions comme des "stèles" plutôt que comme des personnages individualisés. Ce ne sont pas des individus qui sont représentés mais des types, des "figures" imposantes à l'aspect statique et recueilli. L'espace de la toile est divisé selon des "bandes" verticales qui évoquent une séquence ou une suite. Néanmoins on observe que la limite entre les différentes parties de l'œuvre n'est pas absolument étanche

ternes, plus estompées. l’Empereur , la majestueuse bonté dont est empreinte la figure de Napoléon, sont autant de traits qui distinguent cet exceptionnel morceau de propagande. La bataille d'Eylau ( tableau 1 ) Description : Au premier plan, de nombreux détails horribles frappent le spectateur : baïonnette couverte de sang gelé, visages bleuis, gestes raidis, amoncellement des corps, renversement des visages, effet de coupure du bord du cadre, dans les interstices sous le cheval blanc

1937 Mouvement : Picasso avec Georges Braque (artiste-peintre et sculpteur français), développe au début du 20ème siècle le Cubisme. Il ramène sur une seule planche, différentes surfaces et objets, il y a donc une simplification de la forme en figures géométriques repris par Picasso. Il y a un écrasement des reliefs qui ramène tout sur un même plan. Les formes sont simplifiées et éclatées. Grâce a cette œuvres les artistes de l'époque dénoncent la cruauté de la guerre. Contexte historiques :

lorsque les victimes sont des civils. Même si un évenement précis est à l'origine du tableau, Guernica évoque toutes les guerres, passées et à venir. ANALYSE DES FIGURES PRINCIPALES Le tableau de Picasso n'est pas la simple illustration d'un événement, mais sa transposition en une succession d'images extrêmement complexes. Les figures représentées par Picasso sont parfois très claires dans ce qu'elles expriment, parfois plus ambigües. C'est cette complexité qui fait aussi la richesse de Guernica

temps très réel, en effet il s’agit d’un type de personne très banal avec une « bonne nature » très authentique. Son physique est, lui aussi, tout à fait courant pour un vieillard : « un front chauve », « un menton court  garni d’une barbe grise » et visage « singulièrement flétri » par l’âge sur un « corps débile ».Néanmoins, les détails du portrait révèlent une part de mystère chez ce vieillard, une transposition du réel ou « un je ne ce quoi qui affriande les artistes » et qui pousse le jeune peintre

ordinaire le même rapport que l’image entretient avec la chose, il pourrait affirmer la profondeur et l’étrangeté que la dimension diurne du langage nie et repousse. Le langage de la poésie ne serait donc pas un langage qui fait place aux images et aux figures, mais une image de langage, langage impersonnel, langage d’absence, ombre du langage, image des mots et "mots où les choses se font image". Mais selon une conception courante, l’image vient après l’objet ("nous voyons, puis nous imaginons") dans un

femme à l'enfant : Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant pietà (figure de la vierge pleurant la mort du Christ). Sa douleur est visible (visage renversé, la bouche hurlante) et l'enfant est mort (yeux vides, tête et bras ballants) -Le taureau : Figure mythique du Minotaure : il apparaît impassible et statique. Il semble fixer le spectateur (yeux humain). Figure ambiguë : on peut y voir la figure de la bestialité et de la cruauté, mais aussi le symbole de la résistance. -L'oiseau

(1960-1988) est un peintre américain. Noir américain d’origine portoricaine et haïtienne, Jean-Michel Basquiat a su assimiler ce mixage des cultures dans une œuvre prolifique (=il a créé beaucoup d’œuvres) et critique qui mêle dessin, peinture et collage. Figure mythique des années 1980, il puise ses sujets dans la culture populaire, la société de consommation et l’histoire du peuple noir. Il est mort de façon prématurée à l’âge de 27 ans. Présenter contexte Cette œuvre a été peinte à New York, dans