Des visages des figures

rester célibataire. Louise débute son autoportrait avec une description de la partie supérieure de son visage, et plus précisément avec une description de ses yeux dont elle semble très fière. Cette manière d’introduire son autoportrait n’est pas innocente puisque le regard est l’une des choses les plus importantes, celle qui se remarque en premier chez une personne et qui donne vie au visage. Elle nous parle ensuite de son front puis de ses cheveux auxquels elle paraît accorder beaucoup d’intérêt

Analyse du tableau: La femme au chapeau, MatisseTrop à ajouter plus commentaire sur la peinture elle même Exemple: cou orange qui se confond ou partie du visage verte -> Intro « Donatello chez les fauves ». Cette citation est tirée d’un article de Louis Vauxcelles publié le 17 octobre 1905 dans Gil Blas à la suite du Salon d’automne de 1905 pour désigner la salle XII. Salle dans laquelle André Derain, Maurice de Vlaminck ou encore Henri Matisse ont exposé. La salle était composée d’une petite

préfiguration de Juliette : caractérisée par une absence énigmatique , uniquement objet de discours .Figure de l’ermetisme (assimilée à Diane , qui refuse la fertilité , Roméo parle d’elle dans une poésie d’une sincérité douteuse . Scène 5 acte 1 , Juliette prend le relais , elle ne veut pas de paris et peut être assimilée à Rosaline . Juliette ou l’anti Rosaline : rosaline absente / juliette présente . dès le bal juliette est chaude VS l’autre ; un glaçon . Rosaline silencieuse / juliette rapport

techniques, il conserve les règles traditionnelles de la composition. Ainsi la Descente de Croix, peinte vers 1435, présente les figures sur un fond neutre. Le corps du Christ est au centre de la composition, tourné vers le spectateur. À gauche, la Vierge, dans un drapé d'un bleu profond, s'affaisse parallèlement au corps de son fils. Les autres personnages ont un visage calme aux traits réalistes. Le tournant italien Vers 1450, année du Jubilé, van der Weyden voyage en Italie, très vraisemblablement

dans le tableau comme dans une scène, à la différence des œuvres d’arts médiévales essentiellement contemplatives et narratives, d’où il se trouvé exclu. Alberti insiste beaucoup sur le rôle important et nouveau du spectateur. Il considère que la figure humaine est la seule mesure de tout ce que l’artiste peut chercher à peindre. D’autre part, en conseillant de peindre le tableau comme une fenêtre ouverte par laquelle il voit se dérouler « l’historia » ou « ce qui y sera peint », Alberti donne une

noir. On arrive à percevoir que c'est une figure humaine qui est représenté. On voit l'intérêt chez Bacon pour la figure humaine, un intérêt plus poussé vers l'homme que vers la scène reproduite, que l'histoire ou la narration qui y siège. Il ne veut pas peindre une mise en scène ou un spectacle, il veut vraiment peindre l'homme, la nature humaine. On y ressent une atmosphère de mort, morbide, sombre, torturé. Nous sommes un peu mal à l'aise face à ces visages torturer. Francis Bacon à cette capacité

qu’un : « je suis moi ». 2. Un individu ne peut pas définir son visage en une ou deux phrases car l’individu est composé de multiples visages. D’après l’étude de René Lecuyer les personnes peuvent révéler jusqu’à 43 facettes différentes pour décrire leur visage. Toutes ces facettes changent en fonction des circonstances, des étapes de notre vie etc.… Les facettes du visage permettent de rendre compte de toutes les figures possibles d’un individu au cours de sa vie. 3. La mémoire s’organise

s’agit de Saskia : la femme du peintre.  La jeune fille à la perle – Jan Vermeer en 1665 Qualifiée de « Joconde du Nord », ce visage à la troublante beauté n'a pas perdu une once de son mystère en trois siècles et continue de susciter bien des interrogations. Loin d'être méticuleusement indiqués à la manière d'autres portraitistes du temps, les traits de la figure ne sont pas nettement définis, accentuant d'autant sa beauté. Fondue avec la joue droite, l'arête du nez est invisible. Vermeer, par

centre-ville (le marché) la colline et le jardin de la Maison de la Lumière d'Or la mer Temps : le printemps (avant l'été-quand il arrive dans la ville) l'été Les personnages : Mondo : C'est un garcon d'une dizaine d'années, sans domicile et famille. Il a un visage rond et tranquille, des yeux noirs un peu obliques. Il a les cheveux bruns,cendrés qui paraissent presque gris à la tombé de la nuit. Son apperence physique le fait sembler à un homme adulte et pas à un enfant de son âge. Il travaille au marché pour

d’elle que le visage. Le grand boubou bleu qu’elle portait traînait jusqu’à terre et ne laissait rien apparaître d’elle que le bout pointu de ses babouches jaune d’or, lorsqu’elle marchait. La voilette de gaze entourait le cou, couvrait la tête, repassait sous le menton et pendait derrière, sur l’épaule gauche. La Grande Royale, qui pouvait bien avoir un mettre quatre-vingts, n’avait rien perdu de sa prestance malgré son âge. La voilette de gaze blanche épousait l’ovale d’un visage aux contours