Descartes Freud Raison Comparaison

de ses actions sont dépourvues de conscience. Selon Alain, la passion et la conscience sont intimement liées, si l’animal, lui n’a pas de passion c’est qu’il n’a pas de conscience car passion suppose conscience. Inversement, c’est pour cette même raison que l’on peut affirmer que l’Homme, lui, possède une conscience, ce dernier éprouvant des passions. Alain, pour défendre sa thèse, nous éclaire donc sur la notion de conscience et de passion. Nous commencerons par définir en quel sens il est bon

elle a pour conséquence l’inhibition (« elle détourne la volonté des actions utiles ») voire la « stupeur » qui paralyse et exclut toute réponse adaptée. Descartes et Spinoza ne voient pas comment cette passion pourrait être bonne ou utile. Pour éviter la peur, il faut toujours essayer d’anticiper (voir ci-dessous les textes de Descartes et Spinoza) 3. La peur est nocive pour l’ individu, elle est aussi particulièrement dangereuse dans ses formes collectives . C’est ce qu’a expliqué par

définit traditionnellement comme un principe individuel de la pensée par opposition au corps. Il est ce qui n’est pas tangible, le bastion de nos pensées, inaccessible à autrui. L’esprit est assimilable à la pensée, qui elle-même se rapproche de notre raison. Du fait de son immatérialité, il nous semble souvent impossible que quelqu’un puisse l’influencer ou l’atteindre. Ainsi nous nous targuons d’être des libres penseurs. Mais qu’est-ce vraiment qu’un esprit libre ? Une réponse simple pourrait être de

UN DESTIN DES AFFECTS DANS LA DÉPRESSION : L’EMOUSSEMENT AFFECTIF ELABORATION D’UNE METHODOLOGIE DE RECHERCHE A PARTIR DES EPREUVES PROJECTIVES Michèle EMMANUELLI, Maître de Conférences à l’Université Paris V- René Descartes, psychanalyste, membre de la SPP. Marie-Christine PHEULPIN, Maître de Conférences à l’Université Paris XIII, Psychologue clinicienne, SM3, Hôpital Sainte Anne. Paris. Pascale BRUGUIERE, Psychologue clinicienne , Service de Psychiatrie Adulte, Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière

montrer à l’homme les limites de sa raison, construit son explication en trois points : 1. En bon pédagogue il s’appuie tout d'abord sur ce que l’homme peut observer par lui-même de plus impressionnant : le spectacle de la voûte céleste dont il est obligé de convenir qu’il le dépasse. 2. Puis il envisage les données que pouvait fournir l’imagination au sens scientifique, quand elle dépasse les apparences sensibles pour montrer au libertin confiant dans sa raison, les limites de la pensée conceptuelle

souverainement réel, qui possède toutes les perfections. Nous, hommes, ne pouvons en concevoir que quelques unes. - La science L’homme, fini, a un entendement fini, borné : il ne connaît pas tout, il est faillible (il se trompe) et il doit raisonner, enchaîner ses idées. Dieu inversement dispose d’un entendement infini et donc connaît tout (omniscience) et de manière parfaite. Rousseau décrit la suprême intelligence : « Elle est purement intuitive, elle voit également tout ce qui est et tout

vivent avec leur famille et n’ont pas besoin des autres pour survivre. Une suite de catastrophes va les amener à entre en société (lier des relations nécessaires avec autrui), ce qui provoque le développement de la propriété privée -> inégalités + raison morale (connaissance du bien et du mal). En conséquence, il y a bien l’idée d’une nature humaine dans le sens où une certaine idée, définition de l’homme, est antérieure à toute culture. Le problème : Rousseau pense bien un état de nature mais celui-ci

une sorte de communion sans distance, l'intuition s'oppose donc à la connaissance discursive (= discours), qui procède par le raisonnement. C'est pourquoi dans cette perspective on peut reprocher à la connaissance intuitive de ne pas fournir ses raisons. L'évidence intuitive peut être trompeuse. PASCAL- L'ordre du coeur. B – Texte d'Aristote L'acuité du sens se mesure à la capacité de saisir avec précision les différences olfactives et aussi à la capacité de percevoir ses différences de loin

 Cours de philosophie 2012-2013 (T ES, T S) Programme 1 La consience, l’inconscient 2 Le désir et l’amour 3 Le bonheur et le plaisir 4 L’Histoire (ES) 5 Le langage et les échanges 6 La vie, l’esprit et la matière 7 La raison, la connaissance et le sens 8 La technique - Le travail (ES) 9 La vérité et l’illusion 10 L’art et le beau 11 Dieu et la religion 12 Nature et culture 13 L’Etat, le pouvoir et la violence 14 La Justice et la morale 15 La liberté et le destin

1er philosophe a avoir fait du présent un objet d’intérêt. C ds l’actualité que doit s’exercer notre jugement critique. Les ind st juges de leur époque. Dimension iconoclaste de la curiosité : je vais la où le tradi ne m’a jamais dit d’aller. Pour Freud, la pulsion de curiosité est la sublimation de la pulsion sexuelle. Il faut prolonger la pensée de Kant et Foucault par la réflexion de Georg Simmel, sociologue alld : un certain nb d’objets de notre quotidien permettent la def° des grandes formes